La situation financière est satisfaisante et permet la réalisation d’investissements à un niveau supérieur à la moyenne des communes de taille comparable avec un moindre recours à l’emprunt.
Il a toutefois été relevé que les procédures comptables et de commande publique étaient insuffisamment formalisées. Elles ont justifié la formulation de plusieurs recommandations.
Par ailleurs, l’opération d’urbanisation du secteur de Talin, enclavée et trop ambitieuse pour le marché immobilier local, a dû être stoppée en 2014 avec un déficit de 1,6 M€.
Le pilotage de la politique scolaire est rendu complexe par l’absence de carte scolaire et d’outils de suivi. La diminution du nombre de classes et plus encore la fermeture de bâtiments ont contribué à la réduction du coût par élève, mais la mise en place de la réforme des temps scolaires a contribué à l’augmentation du budget dédié, qui est passé de 2,4 à 2,6 M€ entre 2013 et 2015, malgré une mise en œuvre maîtrisée.
Selon la commune, le coût de la réforme des rythmes scolaires a représenté 185 000 € en 2016 alors que le montant des aides reçues de l’Etat ne s’est élevé qu’à 69 000 €.
