La situation financière de la commune ne présente pas de risque particulier et son autofinancement représente en 2015 127 € par habitant contre 83 € pour la strate nationale. Le caractère élevé et constant de l’autofinancement, fondé pour partie sur le dynamisme de l’assiette fiscale, impose que la commune s’interroge sur la pertinence de maintenir les niveaux actuels des taux de la fiscalité et mette en adéquation le montant des recettes communales et les besoins réels de financement de ses projets.
La fiabilité des prévisions budgétaires doit être améliorée et les rapports d’orientation budgétaire complétés d’un bilan des actions menées et d’une vision prospective pluriannuelle pour les budgets annexes des quatre zones d’aménagement concerté et des trois zones d’activités.
Les outils de gestion des ressources humaines doivent être renforcés et les modalités de fixation et d’attribution de plusieurs primes devront être précisées afin de se conformer aux textes en vigueur.
La collectivité, qui compte 19 régies, doit en rationnaliser le nombre et engager un processus de sécurisation de leurs opérations. Elle doit en outre préparer les opérations de clôture de deux zones d’aménagement concerté lancées il y a plus de 20 ans.