Dans ce contexte, la Cour dresse plusieurs constats, parmi lesquels :
- Alors qu’il ambitionne, à l’horizon 2030, d’être un des acteurs majeurs en matière de R&D et d’expertise sur la connaissance du sous-sol et de ses usages, le BRGM doit renforcer son expertise, notamment en géologie pour l’inventaire des ressources minérales, et faire évoluer son organisation ;
- Les demandes croissantes de la puissance publique impactent l’activité, de plus en plus soutenue, du BRGM, qui doit disposer de moyens supplémentaires ;
- L’inadéquation entre les ressources humaines et les capacités à faire constitue un défi susceptible de déséquilibrer les dépenses à moyen terme ;
- Pour améliorer sa performance, le BRGM doit renforcer ses outils de pilotage.