À la demande du Sénat, la Cour a analysé la valorisation à l’international, par les musées nationaux, de leur marque et de leurs savoir-faire en matière d’ingénierie culturelle. Sur un marché croissant, dont les potentialités demandent à être mieux évaluées, les musées français ont développé un flux d’activités récurrentes (expositions, conseil) qui leur procurent des ressources propres. Leur réputation leur permet également de s’engager sur des opérations plus globales et emblématiques (Centres Pompidou provisoires, Louvre Abou Dabi). La Cour formule six recommandations visant à inciter les musées et les administrations qui les accompagnent à tirer encore mieux profit des évolutions de la demande internationale.