Les résultats en deux mots
L'étude révèle que la loi de 2016 sur la fin de vie en France a stimulé des évolutions positives dans la pratique des soins palliatifs, avec notamment une amélioration du dialogue patient-professionnel. Cependant, des problèmes subsistent, tels que le manque de données et de recherche, les lacunes en formation, et des disparités dans l'application des dispositions.
Recommandations
Parmi les préconisations des auteurs figure la nécessité de garantir l’accès à une sédation profonde et continue jusqu’au décès à domicile et en EHPAD sous réserve d’une prise en charge par les services d’hospitalisation à domicile, par une équipe mobile de soins palliatifs ou par un praticien libéral titulaire d’un diplôme de soins palliatifs.
Contact : IGAS
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