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En vertu de l’article R. 241-18 du code des juridictions financières, le rapport d’observations
deviendra communicable aux tiers dès qu’aura eu lieu la première réunion de l’assemblée
délibérante suivant sa réception. En conséquence, je vous serais obligé de bien vouloir me
faire connaître, dès que possible, la date de cette réunion.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Directeur général, l’expression de ma considération
distinguée.
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La réponse suivante a été enregistrée :
M. Patrick HOUSSEL, ancien ordonnateur, par courrier du 20 novembre 2014
enregistré au greffe le 26 novembre 2014.
Ce rapport devra être communiqué par le président du conseil de surveillance aux
membres de cette instance lors de la plus proche réunion suivant sa réception. Il fera l’objet
d’une inscription à l’ordre du jour, sera joint à la convocation adressée à chacun de ses
membres et donnera lieu à un débat.
Ce rapport sera, ensuite, communicable à toute personne qui en ferait la demande et
mis en ligne sur le site internet des juridictions financières
www.ccomptes.fr/guadeloupe-
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CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
6
SYNTHESE
Le centre hospitalier universitaire (CHU) de Pointe-à-Pitre est l’établissement de référence et
de recours de la Guadeloupe. Il a vocation à couvrir l’ensemble de l’offre de soins depuis les
soins de premier recours jusqu’aux activités les plus spécialisées. Son bassin de
recrutement en médecine, chirurgie et obstétrique (MCO) correspond à 408 090 habitants
hors les îles du Nord, population en stagnation et en vieillissement, par ailleurs très touchée
par la situation économique défavorable. Le CHU constitue le premier employeur public avec
un effectif moyen correspondant à près de 10 % du nombre de fonctionnaires de la
Guadeloupe. La communauté de travail du CHU constitue par ailleurs un microcosme
globalement représentatif des différentes composantes sociales de la Guadeloupe.
Le CHU est placé aujourd’hui dans la perspective d’une restructuration, essentiellement
motivée par des raisons de sécurité et de mise aux normes parasismiques. Le coût de
l’opération, prévue pour un aboutissement en 2020, est de l’ordre de 590 M€, à la charge de
l’Etat.
Le CHU ne parvient pas à atteindre ses objectifs d’offre de soins en médecine. Pourtant, les
séjours hors bassin sont de 5,5 % pour le CHU, soit un taux de fuite
2
inférieur au taux
régional. En chirurgie, le taux de fuite est également inférieur à celui observé pour la région,
sauf pour certaines spécialités où le taux de fuite est proche de 22 %. La part de marché du
CHU en médecine est en diminution sur la période alors qu’elle augmente en chirurgie. La
part de marché occupée par la chirurgie ambulatoire est très faible pour le CHU.
Le pilotage institutionnel local par l’agence régionale de santé (ARS) est peu prégnante. Le
pilotage financier se fait
a posteriori
et relève plus du contrôle de régularité des opérations et
des procédures que d’une analyse des problématiques posées. La validation d’une prévision
budgétaire pourtant estimée insincère a été relevée. Aucun contrat pluriannuel d’objectifs et
de moyens (CPOM) n’a été établi pour l’établissement, en contradiction avec la
réglementation en vigueur. Les contraintes externes qui s’exercent sur le pilotage de
l’établissement sont essentiellement dues au caractère social spécifique de l’environnement
du CHU.
Fiabilité des comptes
La pratique des rattachements, des provisions, des amortissements, du suivi des
immobilisations a été analysée dans le but d’apprécier la fiabilité des comptes présentés. De
nombreuses recommandations de régularisations ont été émises par la chambre qui insiste
sur les progrès à effectuer en la matière en vue de la certification prévue pour 2016. Les
corrections à apporter aux comptes, afin d’en effectuer le retraitement, doivent
s’accompagner d’une évaluation plus précise des carences des systèmes d’information, tant
pour les charges que pour les produits, des lacunes dans les fichiers de facturation ayant été
relevées (absence de séjours de nouveau-nés dans les fichiers, facturation manuelle d’actes
de biologie, actes de laboratoire sans facturation, rétrocessions de médicaments sans
enregistrement de recettes).
Fin 2013, le CHU présente un déficit évalué à 50 M€. Cependant, l’exactitude de ce montant
est incertaine au regard de l’importance des recettes à classer (qui passent de 19 M€ à
50 M€ en 2013), et de l’absence de reprise d’amortissements et de provisions.
2
Voir définition de cette notion p. 20 sous 2.1.5. L’attractivité
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
7
Analyse financière
En matière de résultat comptable, une détérioration est observée entre les exercices 2008 et
2010, correspondant à la mise en place du système de financement par tarification à
l’activité (T2A). Les charges de personnel augmentent régulièrement sur toute la période
2008-2013 pour atteindre, fin 2013, plus de 213 M€ alors qu’elles étaient de 179 M€ en
2008.
Le taux de croissance annuel est compris entre 1,5 % et 5,4 % alors que le point d’indice de
la fonction publique est gelé depuis 2010. En fait, la période est marquée par de nombreux
conflits sociaux dont les protocoles de sortie de crise se sont traduits, selon l’inspection
générale des affaires sociales (IGAS), par des « cortèges de promotions, reclassements et
intégrations ». La principale composante des recettes est représentée par les produits
hospitaliers pris en charge par l’assurance maladie. Ces produits d'exploitation augmentent
de manière importante sur toute la période. L’entrée du CHU dans la T2A s’est faite avec un
coefficient de transition élevé (1,0615) du fait de la surdotation historique, elle-même
révélatrice d’une inadéquation entre les moyens et le niveau d’activité. Cette surdotation peut
être évaluée à 6,7 M€ par an.
En 2011 et 2013, une amélioration de la capacité d’autofinancement est constatée. La
situation du CHU évolue d’une insuffisance d’autofinancement en 2009 et 2010 à une
capacité d’autofinancement de 7,45 M€ en 2011 et 23,63 M€ en 2013. L’emprunt et
l’amortissement permettent de dégager une augmentation du fonds de roulement net global
sur la période.
Les créances du CHU demeurent très élevées, même si leur montant total est passé de
141 M€ en 2011 à 90 M€ à la clôture 2013, soit une baisse de près de 36 %. Elles portent
principalement sur la caisse générale de sécurité sociale (CGSS). Les sommes dues par les
hospitalisés et consultants baissent régulièrement sur toute la période, principalement en
raison des admissions en non-valeur. En 2012, les dettes fiscales et sociales s’élevaient à
61 M€, soit plus du double de celles constatées fin 2011. A la fin de 2013, les dettes fiscales
et sociales représentaient 14 M€ et les dettes envers les fournisseurs atteignaient 24 M€.
L’insuffisance de fonds de roulement et de trésorerie engendre un volume de factures
impayées très important. Cette situation affecte gravement l’image de l'établissement auprès
de ses fournisseurs et de ses partenaires institutionnels. Par ailleurs, le délai moyen de
paiement des mandats reste très élevé. Il dépasse très largement les 50 jours prévus par la
réglementation.
Le poste « emprunts » a été abondé tous les ans depuis 2008. L’endettement est en
constante augmentation sur la période. Après un recul en 2009 (4,66 M€) sous l’effet de
l’arrivée à échéance de certains emprunts, une forte augmentation est observée à partir de
2010, liée à la souscription d’un emprunt de 50 M€. L’endettement du CHU correspond à un
encours de plus de 121 M€ au 31 décembre 2013. La chambre relève que le CHU a financé
des dépenses de court terme par du financement à long terme.
L’examen du financement des investissements met en exergue le fait que le recours à
l'emprunt est la seule source de financement des investissements du CHU. A titre d’exemple,
en 2010, les emprunts représentaient plus de 99 % des ressources d’investissement.
L’amortissement du capital de la dette en 2010 a été réalisé à son tour en ayant recours à
l’emprunt. Cette situation est préoccupante.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
8
Gouvernance
Dans le cadre de la nouvelle gouvernance, le directoire a été installé le 21 juin 2010 et le
conseil de surveillance a été mis en place le 23 juin 2010.
Il n’existe pas d’organigramme de direction stabilisé au CHU sur la période sous revue mais
une nouvelle organisation est en place depuis novembre 2013. Le nombre de directeurs de
premier rang est relativement élevé pour un établissement de cette taille (entre 11 et 15 sur
la période). Si les affectations thématiques des directeurs ne présentent pas de
chevauchement, le défaut de coopération et le manque de communication entre ces
directeurs a nécessité la réunion fréquente du comité de direction sous l’égide du directeur
général depuis 2012. Les tendances relevées au niveau de la direction générale se déclinent
au niveau des directions fonctionnelles.
Doté de 13 pôles initialement, le CHU s’oriente vers un nouveau découpage en huit pôles
mais est, aujourd’hui encore, dépourvu de la contractualisation prévue par pôle, en l’absence
de contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM) pour l’établissement.
Activité
Le CHU présente des taux d’occupation des lits en médecine (73,7) et en obstétrique (56) en
diminution sur la période et peu performants par rapport aux autres CHU. C’est la chirurgie
qui présente le taux le plus performant. Les indices de performance du CHU concernant les
durées moyennes de séjour se situent au-delà du 8
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décile de la région, sauf en médecine.
Pour la médecine, la chirurgie et l’obstétrique, les indices sont médiocres, comparés à ceux
de la même catégorie d’établissements.
La comparaison des indicateurs de coût avec des CHU de taille similaire montre que le coût
du personnel non médical des services cliniques est élevé. Cette remarque est encore plus
flagrante pour les dépenses administratives, logistiques et techniques.
« L’indice de facturation » qui rend compte de l’efficacité de la chaîne de facturation et
repose sur l’évaluation des conséquences financières des retards de facturation, est très
médiocre (valeur 18, l’optimum étant de 0).
Pilotage des ressources humaines
L’effectif du CHU tous budgets confondus a augmenté de 9,3 % entre 2008 et 2013.
L’évolution des contrats à durée déterminée (CDD), en augmentation de plus de 15 % entre
janvier 2009 et janvier 2011, s’est traduite ensuite par des intégrations de contractuels dans
le cadre de protocoles de lutte contre la précarisation signés en contradiction avec le plan de
retour à l’équilibre en vigueur.
L’augmentation de l’effectif est essentiellement due à celle du personnel non médical
(+ 31,6 %), alors que le personnel médical augmente de 21 %. Parmi le personnel non
médical, l’évolution de l’effectif est plus marquée chez le personnel administratif et de
direction (+ 52,5 %), le personnel technique (+ 29,7 %) et le personnel de soins (+ 29,1 %).
La direction des ressources humaines est confrontée à la rotation rapide de l’emploi des
directeurs et de leurs proches collaborateurs. Elle ne dispose pas des fonctions relatives au
dialogue social, à la formation continue et aux conditions de travail qui relèvent d’une autre
direction.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
9
L’organisation matricielle de la direction contribue à éparpiller la prise en charge et le
traitement des dossiers des agents et engendre de nombreuses carences dans leur suivi, en
raison d’un manque de communication interne et de l’absence d’un système d’information
partagé. La gestion administrative des commissions administratives paritaires locales
présente, jusqu’en 2012, des retards marqués qui pénalisent les agents individuellement ou
les avantagent injustement quand des décisions sont prises sans répondre à des impératifs
réglementaires
Aucun document ni procédure officielle ne permet de réaliser un état des jours et des heures
de travail dus au CHU. En l’absence de système de pointage et de calcul objectif du temps
de travail effectué et d’harmonisation des règles de gestion en la matière, la chambre ne
peut que conseiller une réflexion globale, fondée sur la mise en place d’un système
d’information permettant de tracer, pour chaque agent, le temps de travail effectué et
disposant d’une interface avec le système d’information relatif à la paye.
L’absentéisme est préoccupant pour le CHU. Le nombre annuel de jours d’absence par
agent dépasse 30 depuis 2001. En fonction des données transmises par la direction des
ressources humaines pour 2013, les absences cumulées correspondent à plus de 375
équivalents temps plein (ETP) pour l’ensemble du CHU. La lutte contre l’absentéisme n’est
pas, pour l’heure, satisfaisante.
Les dossiers de reversement liés au paiement d’indus occasionnent une charge de travail
supplémentaire. Absence de communication entre services, absence de mise à jour des
fichiers d’affectation des agents, transmission de documents défaillante sont autant de
dysfonctionnements qui entraînent des erreurs et un lourd travail de vérification pour les
agents de la direction des ressources humaines, en l’absence de système d’information
efficace.
De nombreuses irrégularités ont été relevées au cours des contrôles et audits effectués au
CHU, irrégularités qui résultent des protocoles de fin de conflit ou qui témoignent d’une
crainte des conflits à venir et d’une perte de repères. La direction du CHU doit se cantonner
strictement à la mise en oeuvre des règles propres à la fonction publique hospitalière pour
rétablir l’équité au sein de l’établissement. Le soutien des pouvoirs publics est indispensable
à cette fin.
En l’absence de dialogue social instauré directement auprès des agents, le recours quasi-
systématique au rapport de force est devenu la règle, entraînant des mouvements sociaux
particulièrement offensifs. Aucune des situations de blocage vécues par l’établissement n’a
donné lieu à engagement d’une procédure pour voie de fait et entrave à la liberté du travail.
De surcroît, la signature de certains protocoles de sortie de conflit et la validation de
certaines décisions faisant suite à ces protocoles locaux, ont clairement dérogé aux droits de
la fonction publique et engagent la responsabilité de l’administration.
La fonction « achats »
L’organisation en matière d’achats est défectueuse en raison d’une multiplicité d’acteurs,
source de confusion occasionnant de nombreux dysfonctionnements et pénalisant le bon
approvisionnement et la qualité du service rendu aux patients. Malgré l’installation d’un
« pôle logistique », l’organisation de la commande demeure perfectible.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
10
La commande est réalisée, pour une partie majoritaire, par les directions et services du pôle
logistique, mais, également, par près de 25 centres de gestion. Les regroupements effectués
au sein du pôle logistique ont laissé perdurer un certain éclatement des achats sans que
l’autorité et la transversalité d’une direction des achats ne soient perceptibles. Par ailleurs, le
suivi de la gestion souffre de lacunes de la part de la direction des finances.
Enfin, au regard des initiatives prises à l’échelon national, la situation du CHU apparaît
singulièrement en retrait en matière de coopération et de mutualisation.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
11
RECOMMANDATIONS
1. Engager à brève échéance l’élaboration d’un contrat pluriannuel d’objectifs et de
moyens en relation avec l’ARS.
2. Sécuriser la comptabilité d’engagement en relation avec l’ensemble des services
dépensiers.
3. Effectuer une analyse approfondie des systèmes d’information afin de déterminer
l’origine des distorsions pouvant influer sur la fiabilité des comptes de l’établissement
et de régulariser ces nombreux défauts observés dans les comptes.
4. Placer la coopération entre les services et les directions comme objectif déterminant
dans le cadre du projet de reconstruction et de définition de nouvelles méthodes de
travail.
5. Placer toute nouvelle mesure de recrutement sous l’autorité et le contrôle du
directeur général.
6. Définir un projet de service pour la direction des ressources humaines, incluant la
polyvalence des agents et la communication interne.
7.
Mettre en place un système d’information automatisé relatif à la gestion du temps de
travail, disposant d’une interface avec le système de la paye.
8. Mettre en place un plan d’action relatif à l’absentéisme, incluant un volet de
prévention et un volet de contrôle.
9.
Mettre en place une revue systématique et périodique des fichiers de la paye en vue
d’une détection rapide et exhaustive des erreurs.
10. Veiller au respect des règles de droit propres à la fonction publique hospitalière pour
rétablir l’équité au sein de l’établissement.
11. Formaliser les procédures de dialogue de gestion avec les centres de gestion dans le
cadre de la future certification.
12. Etablir un plan de retour à l’équilibre adapté à la réalité du déficit, tel qu’évalué, dans
la perspective de la certification des comptes.
L’établissement a affirmé dans ses réponses avoir déjà mis en oeuvre certaines de ces
recommandations.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
12
1.
PROCEDURE ET THEMES DE CONTROLE
Jusqu’à l’exercice 2008, les chambres régionales des comptes exerçaient l’examen de la
gestion des établissements de santé au titre d’établissements publics locaux. Les
établissements de santé ayant été transformés en établissements publics nationaux par la loi
n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé
et aux territoires, l’examen de leur gestion revient à la Cour des comptes. Cet examen est
délégué aux chambres régionales des comptes depuis l’exercice 2009 par arrêtés du
1
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juin 2010 et du 15 novembre 2013 du Premier président. L’article R. 111-1 III du code des
juridictions financières dispose qu’en cas de délégation, les dispositions s’appliquant au
contrôle sont celles relatives au jugement des comptes et à l’examen de la gestion des
établissements publics relevant de la compétence directe des chambres régionales des
comptes.
Le présent examen de la gestion a porté sur :
-
Le positionnement stratégique de l’établissement et son pilotage externe
-
La fiabilité des comptes
-
L’analyse financière rétrospective
-
L’analyse médico-économique
2.
LE POSITIONNEMENT STRATEGIQUE DE L’ETABLISSEMENT ET SON PILOTAGE
EXTERNE
L’analyse de l’organisation de l’établissement vise notamment à connaître l’équilibre entre sa
mission d’établissement de proximité et sa mission d’établissement spécialisé de référence.
Il importe donc en préalable de pouvoir situer l’établissement dans son environnement en
détaillant les facteurs externes qui l’influencent et les interactions qui orientent son activité.
2.1. L’insertion de l’hôpital dans son environnement
Le centre hospitalier universitaire (CHU) de Pointe-à-Pitre est l’établissement de référence et
de recours de la Guadeloupe. Il a été conforté par le schéma régional d’organisation des
soins dans sa vocation à couvrir l’ensemble de l’offre de soins depuis les soins de premier
recours jusqu’aux activités les plus spécialisées. Il est lié à la faculté de médecine de
l’université Antilles-Guyane et 4 écoles de formation paramédicale lui sont rattachées
(puériculture, infirmiers anesthésistes, soins infirmiers, ambulanciers).
Le CHU de Pointe-à-Pitre/Abymes regroupe actuellement une quarantaine de services
hospitaliers répartis sur quatre sites :
le Centre Hospitalier Principal,
l'hôpital Joseph Ricou,
le pôle logistique,
le secteur psychiatrique.
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20
Dans les paragraphes qui suivent, l’indicateur « taux de fuite » correspond au rapport entre
le nombre de séjours de la zone géographique sélectionnée pris en charge en dehors de
cette zone et le nombre total de séjours issus de la zone sélectionnée (une zone
géographique qui ne contient aucun établissement hospitalier présente un taux de fuite de
100 %).
2.1.5.1.
En médecine et obstétrique
Les données régionales présentées par l’ATIH-PMSI pour l’année 2012 sont les suivantes :
Le CHU, en dépit d’une baisse constatée de son activité, présente une attractivité notable
hors chirurgie. Deux établissements privés dépassent régulièrement leurs seuils d’activité
(Eaux-Claire et Polyclinique de la Guadeloupe).
L’observation des données du PMSI confirme que le développement de l’activité de
médecine dépend de la présence d’un plateau technique étoffé (IRM, laboratoires d’analyses
et de biologie médicale). Les séjours hors bassin sont de 5,5 % pour le CHU, soit un taux de
fuite inférieur au taux régional. Inversement la faible occupation des lits, l’étroitesse du
plateau technique pourraient expliquer le déficit d’activité.
Pour l’obstétrique, les séjours hors bassin sont négligeables avec 0,4 % très nettement sous
le taux moyen régional. Les données d’activité traduisent une diminution du nombre de
naissances, un nombre significatif d’accouchements par césarienne, des taux de mortalité
infantile et maternelle élevés ainsi que l’augmentation du nombre de nouveau-nés en
surpoids. Certains aspects affectant la prise en charge relèvent de problématiques partagées
avec le secteur médico-social comme les contraintes socio-économiques affectant des
populations spécifiques (femmes isolées, précarité, couverture sociale des femmes
enceintes).
2.1.5.2.
En Chirurgie
Les données régionales présentées par l’ATIH-PMSI pour l’année 2012 sont les suivantes :
Région
Séjours de la
région (1)
Séjours avec domicile de la
région (5)
Solde
(7)
Nombre
Nombre
%
Nbre
dont
TOM
dont
étrangers
%
Nombre
%
Nombre
Nombre
%
%
9A -
Guadeloupe
65 790
64 736
98,4
841
.
64
1,3
213
0,3
70 683
5 947
8,4
-7,8
9B -
Martinique
104 930
102 707
97,9
2 059
2
109
2
164
0,2
106 610
3 903
3,7
-1,8
9C - Guyanne
38 754
35 011
90,3
319
.
190
0,8
3 424
8,8
38 644
3 633
9,4
-8,6
9D - Réunion
177 501
150 659
84,9
26 340
25329
355
15
502
0,3
152 811
2 152
1,4
13,6
Pour chaque région :
(1) Ensemble des séjours (et/ou séances) dans l'ensemble des établissements de la région; ce nombre est décomposé en 3 sous ensembles décrit au (2), (3) et (4)
(2) Séjours pour des malades domiciliés dans la même region
(3) Séjours pour des malades domiciliés dans une autre region (i.e. attractivité)
(4) Séjours pour des malades dont la région de domicile n'a pas été précisée
(5) Ensemble des sejours, quelque soit le lieu, dont les patients sont originaires de la région
(6) Dont, séjours pour des malades domiciliés dans la region mais effectués dans une autre region (i.e. fuites)
(7) Différence entre le nombre de séjours réalisés dans la région et ceux faits pour des malades qui y sont domiciliés
Séjours dans la
région (2)
Séjours domicile autre région
(attractivité) (3)
Domicile non
précisé (4)
Séjours hors région
(fuite) (6)
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
21
En 2012, le taux de fuite du CHU en chirurgie est de 6,7 %, taux inférieur à celui observé
pour la région sauf pour certaines spécialités, d’ortho-chirurgie notamment où le taux de fuite
est proche de 22 %. En effet, à partir de 2009, un transfert d’activité est constaté au profit du
secteur public régional. Ce transfert peut s’expliquer par le développement d’une activité de
chirurgie ambulatoire au sein des structures publiques, qui assurent traditionnellement l’offre
chirurgicale de recours et de référence (chirurgies spécialisées voire hyperspécialisées,
interventions lourdes).
La Guadeloupe, comme les trois autres régions ultramarines, présente un taux de recours à
la chirurgie et à la chirurgie ambulatoire très inférieur aux taux nationaux. Toutefois la part
des séjours pris en charge en ambulatoire en Guadeloupe est supérieure à celle de la
métropole.
En termes de production, ces éléments trouvent une traduction différente. Ainsi pour la
Guadeloupe, le taux de chirurgie ambulatoire au titre de sa production est de 41,6 % contre
36,2 % en métropole.
2.1.5.3.
En termes de part de marchés
La part de marché est un indicateur clé qui permet de préciser l’importance d’un produit, d’un
service ou d’une société sur son marché pour une période donnée. Elle peut s’exprimer par
un ratio d’activité, d’actes médicaux réalisés ou par un ratio de valorisation de cette activité.
Les données d’activité concernant le CHU disponibles sur le site « HospiDiag
11
» développé
par l’agence nationale d’appui à la performance des établissements de santé (ANAP) sont
rappelées dans le tableau suivant.
Part de marché du CHU
2008
2009
2010
2011
2012
En médecine sur la zone d’attractivité
54,9
52,4
52,3
48,1
48,0
En médecine sur la région
40,6
38,1
38,4
34,6
35,3
En chirurgie sur la zone d’attractivité
44,6
44,3
46,0
47,0
46,5
En chirurgie sur la région
35,4
35,7
37,4
37,6
36,2
En obstétrique sur la zone d’attractivité
52,1
43,4
46,0
47,6
51,1
En obstétrique sur la région
35,8
30,1
38,4
38,8
38
En chirurgie ambul. sur la zone
d’attractivité
14,6
16,4
18,8
19,4
14,9
En chirurgie ambul. sur la région
13,4
14,4
16,7
17,1
12,8
Source : HospiDiag ANAP
11
Région
Séjours de la
région (1)
Séjours avec domicile de la
région (5)
Solde
(7)
Nombre
Nombre
%
Nbre
dont
TOM
dont
étrangers
%
Nombre
%
Nombre
Nombre
%
%
9A -
Guadeloupe
12 700
12 382
97,5
244
1
14
1,9
74
0,6
13 699
1 317
9,6
-8,4
9B -
Martinique
12 944
12 401
95,8
511
.
33
3,9
32
0,2
13 311
910
6,8
-3,1
9C - Guyanne
7 647
6 070
79,4
67
.
43
0,9
1 510
19,7
6 892
822
11,9
-9,9
9D - Réunion
26 342
20 028
76
6 228
5926
125
24
86
0,3
20 574
546
2,7
21,6
Pour chaque région :
(1) Ensemble des séjours (et/ou séances) dans l'ensemble des établissements de la région; ce nombre est décomposé en 3 sous ensembles décrit au (2), (3) et (4)
(2) Séjours pour des malades domiciliés dans la même region
(3) Séjours pour des malades domiciliés dans une autre region (i.e. attractivité)
(4) Séjours pour des malades dont la région de domicile n'a pas été précisée
(5) Ensemble des sejours, quelque soit le lieu, dont les patients sont originaires de la région
(6) Dont, séjours pour des malades domiciliés dans la region mais effectués dans une autre region (i.e. fuites)
(7) Différence entre le nombre de séjours réalisés dans la région et ceux faits pour des malades qui y sont domiciliés
Séjours dans la
région (2)
Séjours domicile autre région
(attractivité) (3)
Domicile non
précisé (4)
Séjours hors région
(fuite) (6)
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CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
24
L’ordonnateur précise dans ses réponses qu’
« un recensement de toutes les conventions du
CHU a été mis en place en 2012-2013 dans le but d’optimiser la gestion financière. Toutes
les conventions ont été scannées. Le fichier va être déposé sous un espace collaboratif avec
des droits d’accès ciblés selon les utilisateurs ».
Le recensement effectué par le CHU à la date du 5 novembre 2013 comprend
316 conventions en vigueur qui peuvent être réparties en 9 catégories :
Mises à disposition ou co-utilisation de matériel,
Missions de santé publique,
Recherche médicale clinique,
Etablissement de Préparation et de Réponse aux Urgences Sanitaires (EPRUS),
CGSS et mutuelles,
Transport,
Archéologie préventive,
Activités libérales,
Coopérations avec des établissements de santé et divers.
La chambre constate que l’extrême diversité des partenaires concernés et le mode de
renouvellement, très majoritairement par tacite reconduction, ne facilitent pas un suivi avisé
et centralisé de ces conventions. Elle encourage toutefois la direction financière du CHU à
mettre en place un outil d’informations et de suivi précisant notamment le volet financier des
conventions et dont le défaut actuel a été reconnu par l’ordonnateur en cours d’instruction.
Enfin, la mise en place d’outils d’évaluation qualitative est souhaitable.
L’ordonnateur précise dans ses réponses qu’
« un recensement de toutes les conventions du
CHU a été mis en place en 2012-2013 dans le but d’optimiser la gestion financière. Toutes
les conventions ont été scannées. Le fichier a été déposé sous un espace collaboratif avec
des droits d’accès ciblés selon les utilisateurs et mise en place d’un outil de recherche
adéquat. La 2ème phase, qui vient de démarrer, consiste à adapter cette liste en un véritable
outil de gestion afin de pouvoir opérer un suivi régulier et exhaustif. Enfin, une réorganisation
de la cellule budgétaire, en cours de réflexion, avec à la clé la responsabilisation d’un agent
aux recettes permettra de modifier le positionnement de la DAF comme intervenant
centralisateur. Il est important de souligner que, depuis fin 2013, un adjoint administratif du
secteur paie est en charge du suivi des conventions. Cet agent est l’interface avec le référent
de l’établissement, affecté à la direction des finances, et lui transmets les éléments
nécessaires».
2.1.9.1.
En vue d’une mutualisation avec d’autres établissements de santé
Au sein du « territoire Centre », plusieurs projets de communauté hospitalière de territoire
(CHT) sont en cours d’élaboration et/ou de validation. Ces projets qui répondent à un souci
de mutualisation entre établissements et qui visent à la création de filières de soins tout en
respectant la personnalité de chaque établissement présentent des difficultés à être compris
et approuvés par les conseils de surveillance.
C’est notamment le cas de la coopération entre le CHU et le CH Sainte-Marie de
Marie-Galante qui suscite toujours des réticences au point d’être retiré de l’ordre du jour des
réunions du conseil de surveillance du CHU du 30 août 2012 puis du 10 avril 2013 en raison
du caractère inabouti de la réflexion.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
25
Entre territoires de santé, cette difficulté s’exprime également dans la recherche
d’harmonisation des pratiques psychiatriques par le regroupement des services de
psychiatrie en une seule entité sous le pilotage du CHS de Monteran, dans le cadre d’une
CHT à mettre en place dès 2015, mais qui ne reçoit pas l’avis favorable du conseil de
surveillance du CHU en 2013. L’ordonnateur précédent a indiqué qu’aucun obstacle
technique ne s’opposait à la mise en oeuvre de ces projets, mais que
« les freins étaient
plutôt d’ordre politique, social et syndical »
.
D’autres exemples beaucoup plus parcellaires en termes de mission mutualisée concernent
le CH de Basse-Terre (pour des consultations avancées d’urologie), le CGR du Raizet (pour
la réalisation des examens médicaux et biologiques), et des établissements de taille moins
importante tels que ceux de Capesterre-Belle-Eau, Pointe-Noire et Bouillante, ainsi que des
établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).
La chambre remarque toutefois qu’une mutualisation est en voie d’aboutir. Il s’agit de la
centralisation des éléments du plateau de rééducation qui, du fait du projet de reconstruction
du CHU, ne sont plus intégrés au futur plan mais au projet relatif au centre gérontologique du
Raizet. La reconstruction du CHU de Pointe-à-Pitre, essentiellement motivée par des raisons
de sécurité et de mise aux normes parasismiques, a déjà donné lieu à l’acquisition d’un
terrain de près de 20 hectares aux Abymes. Le projet global est évalué à près de 590 M€
(subventionnement total par l’Etat), dont 70 M€ d’équipements, pour une surface de près de
80 000 m
2
et une capacité d’environ 720 lits.
2.1.9.2.
En vue d’encadrer des mises à disposition de personnel, de locaux
ou de moyens
Une part importante des multiples conventions conclues par le CHU visent à créer des
réseaux par filières de soins (néphrologie/dialyse, radiologie interventionnelle, surveillance
des grossesses à risque, etc.) ou par destinataires (actions pour les douanes, pour les
services pénitentiaires. L’examen de ces conventions éparses révèle globalement un défaut
de lisibilité en termes d’objectifs, chaque convention ayant un objet spécifique et comprenant
avant tout des éléments de procédure relatifs à la mise à disposition de personnels ou de
moyens (conventions avec le service de santé des armées, avec le CHU de Fort-de-France,
avec le conseil général, etc.).
Certains matériels techniques du CHU sont susceptibles d’être mis à disposition ou co-
utilisés par des praticiens libéraux moyennant le paiement d’une redevance forfaitaire à
l’acte. C’est le cas d’équipements spécifiques tel qu’un microkératome laser pour le
traitement de myopie. Le praticien s’engage alors à rembourser au CHU le prix des
consommables utilisés ainsi qu’une redevance sur production par le service concerné d’un
état trimestriel du nombre d’actes de base et du nombre de patients traités. Des pénalités
sont prévues en cas de retard de versement de ces redevances trimestrielles.
Les modalités de calcul des compensations financières sont en général présentées dans les
conventions relevant de cette nature. Néanmoins, force est de constater que les procédures
d’émission de titres et de recouvrement ne positionnent pas clairement la direction financière
du CHU comme intervenant centralisateur.
Dans ces conditions et en l’absence de suivi formel, l’établissement ne peut garantir
l’exhaustivité des recettes résultant de ce type de conventions.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
26
2.1.9.3.
En vue d’organiser la formation des infirmiers
Une convention tripartite du 4 novembre 2010 règle les dispositions applicables à
l’organisation des formations en soins infirmiers. Elle est conclue pour 5 ans entre le CHU, la
région Guadeloupe et l’université Antilles Guyane et concerne le fonctionnement de l’institut
de formation en soins infirmiers (IFSI).
La convention prévoit que le coût de fonctionnement ordinaire et le coût de l’investissement
pour les formations en soins infirmiers assurées par l’IFSI sont pris en charge par la région.
Le coût spécifique occasionné par la mise en place des formations (supports de formation,
vacations d’enseignement, déplacement des intervenants) sont pris en charge par la région
sur la base des ressources apportées par le ministère de la santé à cet effet et par voie de
subventions de fonctionnement allouées au CHU.
Parallèlement, une formation d’infirmiers délocalisée à Saint-Martin pour la période
2011-2014 fait l’objet d’une convention entre la collectivité et le CHU sur la base d’un état de
dépenses prévisionnelles précisant les indemnités d’enseignement théorique, les frais de
déplacement et les indemnités de stage et de remboursement des frais de déplacement,
pour un montant total de 201 984 €.
La chambre souligne l’absence de modalités financières et d’évaluation dans les conventions
transmises en cours d’instruction.
2.1.9.4.
En vue d’organiser les moyens mobiles de secours
Le CHU a conclu une convention avec le service départemental d’incendie et de secours de
la Guadeloupe (SDIS) le 1
er
janvier 1989, convention payante qui s’apparente à un marché
de prestation de services. Cette convention vise à organiser les moyens mobiles de secours
et de soins d’urgence, et à décrire les modalités d’utilisation des moyens du SDIS pour des
actions de dégagement et de prise en charge de malades nécessitant des soins, sous la
responsabilité de l’équipe d’intervention du Service Mobile d’Urgence et de Réanimation
(SMUR).
Une autre convention avec le SDIS a été établie le 12 mars 1997. Elle a pour objet de fixer
«
les règles de mise en oeuvre opérationnelle pour les interventions relevant de la gestion
quotidienne des secours et de l’aide médicale
». Ces objectifs sont déclinés sous forme de
procédures et un comité de suivi est mis en place.
La chambre remarque que la convention ne traite de la question des cas d’indisponibilité des
ambulanciers privés que dans l’article 27 de la convention. L’indisponibilité est avérée quand
les ambulanciers sont dans l’impossibilité de répondre à la demande de transport sanitaire
urgent faite par le CRRA 15, faute de moyens matériels ou humains mobilisables dans des
délais compatibles avec l’état de santé des patients.
Dans ce cas, le transport «
peut être effectué par une ambulance de réanimation hospitalière
ou un VSAB médicalisé ou non sous réserve de sa disponibilité opérationnelle
». La
chambre constate qu’il n’existe aucune convention annuelle tripartite entre le SDIS, le centre
hospitalier siège du SAMU et les entreprises de transport sanitaire.
L’ordonnateur précise dans ses réponses qu’une convention avec le SDIS traitant
notamment des indisponibilités des ambulanciers privés a été élaborée et devrait être
présentée à la signature des parties courant septembre 2014.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
27
La chambre souligne que par arrêté du 17 décembre 2013 modifiant l'arrêté du 30 novembre
2006 fixant les modalités d'établissement de la convention entre les services d'incendie et de
secours et les établissements de santé sièges des SAMU mentionnée à l'article L. 1424-42
du code général des collectivités territoriales, le tarif des interventions réalisées en 2012 a
fait l’objet d’une réévaluation de 2 euros par intervention. Cette modification sera à intégrer
de manière rétroactive dans le calcul des charges pesant sur le CHU. Par ailleurs, les
modalités de traçabilité des interventions effectuées par carence du secteur privé méritent
toujours d’être améliorées, comme mentionné dans le rapport d’observations définitives du
30 mai 2013 relatif au SDIS de la Guadeloupe.
2.2. Les contrôles et audits précédents du CHU
Plusieurs missions, audits ou contrôles ont été réalisés au CHU depuis une dizaine
d’années. Ils traitent du fonctionnement général ou répondent à des demandes d’expertise
sur des sujets particuliers.
Date
Objectifs
Auteur
Demandeur
Mars 2003
Contrôle du CHU
IGAS
Ministre chargé
de la santé
2004
Mission d’appui à la DRH
DHOS
Août 2007
Restructuration du bloc
opératoire et de la
stérilisation
Hygée Consultants
CHU
Février 2009
Rapport concernant le
dimensionnement du
projet de construction du
CHU
BEREHOUC,
DESAILLY, FEIGEL
DHOS
Décembre 2009
Expertise démarche
qualité et certification
Haute autorité de santé
Avril 2011
Expertise sur le
fonctionnement et les
pratiques du service de
réanimation polyvalente
Prof DUPONT – Dr
REIGNIER
DGOS
Juin 2013
Mission d’appui au CHU
IGAS
Ministre chargé
de la santé
Juil-nov 2013
Etude de l’existant et de
faisabilité process
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LALANDE Siret
CHU
Le contrôle effectué par l’IGAS en 2003 souligne que :
l’activité de l’établissement était croissante mais que l’organisation s’avérait fragile
sur certains services clefs avec une offre de lits installés en baisse,
l’évaluation des politiques patrimoniales et immobilières était en progrès avec une
incertitude importante sur le projet de restructuration,
après un redressement sensible de sa situation budgétaire et financière, une
dégradation s’opérait en 2002, notamment sur les charges de personnel,
la fonction ressources humaines nécessitait une réorganisation et un contrôle de
gestion devait être mis en place.
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CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
29
2.3.1.2.
Les missions du Pôle « Stratégie »
Les missions principales de ce pôle sont diverses, mais c’est surtout celle consistant à
élaborer le Projet régional de Santé (PRS) de l’ARS, et sa déclinaison dans les trois
schémas régionaux (prévention, ambulatoire, soins) qui intéresse le pilotage externe du
CHU.
2.3.1.3.
Les limites du pilotage local
Cette organisation du pilotage au niveau local de l’ARS appelle un certain nombre
d’observations.
L’ordonnateur précédent signale que le passage du statut d’ARH à celui d’ARS a impliqué un
changement des modalités de direction qui peut être à l’origine de certaines difficultés du
pilotage local. Il souligne par ailleurs des interactions plus importantes qu’en métropole avec
la représentation de l’Etat dans le territoire pour des raisons politiques et sociales.
En premier lieu, s’agissant en particulier du CHU, la chambre constate la faiblesse des
moyens quantitativement alloués par l’ARS pour l’exercice de ses missions d’impulsion, de
conseil et de contrôle. L’exemple le plus révélateur est fourni par la contraction des équipes
de contrôle financier (ressources et performance) et des investissements, qui paraissent
limitées au regard de l’ampleur des travaux d’analyse rétrospective et prospective à mener.
Ensuite, le pilotage financier se fait
a posteriori
et relève plus du contrôle de régularité des
opérations et des procédures que d’une analyse des problématiques posées. L’analyse des
plans globaux de financement pluriannuel (PGFP) et des états prévisionnels des recettes et
des dépenses (EPRD) traduit cette difficulté rencontrée par les services de l’ARS. Il n’existe
pas à proprement parler de veille préventive permettant le repérage en amont des situations
financières et d’investissement posant problème, ni d’expertises financières permettant
d’alimenter un réseau d’alerte sur la base de tableaux de bord synthétiques aisément
mobilisables. Il en est de même pour l’accompagnement et le contrôle d’opérations
d’ingénierie complexes dont celle de la reconstruction du CHU.
Toutefois, conscient de l’insuffisance de ses ressources permanentes en interne pour suivre
l’opération de reconstruction du CHU, l’Agence a procédé au recrutement d’un technicien
chevronné de la DEAL qui a en charge spécifiquement le suivi de l’opération de
reconstruction.
Enfin, l’approche planificatrice et économique n’est pas traduite dans un contrat pluriannuel
d’objectifs et de moyens (CPOM) permettant d’attester d’une contractualisation sur une base
claire avec les EPS des moyens à mettre en oeuvre au service d’objectifs précisément
définis. Il est à relever que la Guadeloupe est la seule région française à n’avoir jamais
finalisé de CPOM avec les EPS de son territoire, en contradiction avec la réglementation en
vigueur. La chambre s’interroge sur le fondement des engagements de retour à l’équilibre
financier qui sont en principe des avenants financiers aux contrats d’objectifs et de moyens.
Elle recommande la mise en oeuvre d’une démarche d’élaboration d’un contrat pluriannuel
d’objectifs et de moyens à brève échéance.
En fin d’instruction, l’ordonnateur en exercice précise qu’une première réunion de
préparation d’un CPOM s’est tenue à l’ARS le 18 février 2014. L’ordonnateur précédent
indique également que des réunions préparatoires en vue de l’élaboration d’un CPOM ont
été organisées en 2011 et 2012 sans avoir été suivies d’effets.
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2.3.5.2.
Les saisines budgétaires pour redressement
Pour la période placée sous revue, la loi de financement de la sécurité sociale de 2008 et le
décret n° 2008-621 du 27 juin 2008 relatif à la définition des critères de déséquilibre financier
des établissements de santé ont apporté des modifications au dispositif d’alerte sur la
situation financière dégradée. L’article L .6143-3 du code de la santé publique modifié par
l’article 10 de la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 précise que
« le directeur général de
l'agence régionale de santé demande à un établissement public de santé de présenter un
plan de redressement, dans le délai qu'il fixe, compris entre un et trois mois, dans l'un des
cas suivants :
1° Lorsqu'il estime que la situation financière de l'établissement l'exige ;
2° Lorsque l'établissement présente une situation de déséquilibre financier répondant à des
critères définis par décret.
Les modalités de retour à l'équilibre prévues par ce plan donnent lieu à la signature d'un
avenant au contrat pluriannuel d'objectifs et de moyens ».
Cette disposition a été appliquée en vue de l’établissement d’un plan de retour à l’équilibre
en 2008, dont les conséquences seront développées dans la partie relative à l’analyse
financière rétrospective. Un nouveau plan de retour à l’équilibre est actuellement en phase
d’élaboration, moins dans l’esprit d’une démarche faisant suite à l’injonction de l’ARS que
dans celui d’une volonté de concertation élargie et d’élaboration d’un contrat de retour à
l’équilibre financier (CREF) faisant l’objet d’un consensus. Un comité de pilotage incluant les
3 syndicats a été mis en place en janvier 2014 dans ce but.
2.3.5.3.
L’absence de saisine de la chambre régionale des comptes
L’article L.6143-3 II du code de la santé publique disposait que
« si la dégradation financière
répond à des critères définis par décret, le directeur de l’agence régionale de l’hospitalisation
saisit la chambre régionale des comptes. »
L’article 61 de la loi 2011-940 du 10 août 2011 a modifié cette disposition. L’article L. 6143-3-
1 du code la santé publique prévoit désormais que
« le directeur général de l'agence peut au
préalable
[à la mise sous administration provisoire]
saisir la chambre régionale des comptes
en vue de recueillir son avis sur la situation financière de l'établissement et, le cas échéant,
ses propositions de mesures de redressement. La chambre régionale des comptes se
prononce dans un délai de deux mois après la saisine ».
Au cours de la période placée sous revue, aucune de ces dispositions n’a été mise en
oeuvre.
3.
LA FIABILITE DES COMPTES
En préalable à l’analyse financière de l’établissement, il importe de déceler les données
affectant la sincérité des comptes afin de préciser les éléments susceptibles d’altérer en
définitive cette analyse financière. La pratique des rattachements, des provisions, des
amortissements, du suivi des immobilisations a été analysée dans ce but.
CR
3.
La cham
notamm
la produ
d’appui
financie
même s
En mai
pas enc
suivants
Dans se
l’exemp
chambr
La cham
3.
Depuis
pour les
général
Le ratta
un serv
d’exerci
direction
un état
fourniss
l’ensem
Deux ét
signés
compta
conform
Néanmo
cantonn
direction
de pouv
cadre d
aux don
RC Guadeloupe
.1. La qual
mbre remarq
ment concer
uction des
de l’IGAS
ers fiables
si certaines
2014, le co
core déposé
s doivent, à
es réponse
plaire papier
re régionale
mbre en pre
.2. Le ratta
l’exercice 2
s EPS en v
isation des
3.2
achement de
vice fait ava
ice, rappelé
ns fonction
récapitulati
seur concer
mble des cha
tats (un po
par l’ordon
ble de ratt
mément à l’i
oins, la cha
nent le rôle
ns fonctionn
voir
a minim
e la procéd
nnées de l’in
- rapport à fin d
lité docum
que l’absen
rnés les éta
comptes a
S avait éga
inquiétante
amélioratio
ompte financ
és. Les mo
à ce stade, ê
es, l’ordonn
r du compte
e des compt
end bonne n
achement d
2006, le rep
vertu du pr
états prévis
L’exécut
2.1.
es charges
ant le 31 dé
é dans le c
nelles conc
f détaillant
rné, la nat
arges à ratt
ur les char
nnateur, et
tachement
nstruction c
ambre rema
e de la DA
nelles. Un c
ma
vérifier
dure, ce qui
nterface de
d’observations d
entaire
nce de certa
ats F0 à F12
dministratifs
alement rel
»
, remarq
ons sont con
cier définitif
ontants prés
être considé
ateur préci
e financier
tes ».
note.
des charge
port des cha
rincipe d’an
sionnels de
ion des opé
d’exploitati
écembre de
calendrier d
cernées. Ch
le titre conc
ure de la d
acher à l’ex
ges, l’autre
transmis à
des charge
comptable M
arque que c
AF à la se
contrôle des
l’exhaustiv
n’est pas le
gestion (ap
définitives – Cen
aines annex
2. Par ailleu
s validés s
levé en m
ue à laque
nstatées.
f de 2013 e
sentés au t
érés comme
ise que
« le
que les ser
es et des p
arges et des
nnualité et d
es ressource
érations de
ion qui corr
e l’exercice,
de clôture q
haque direc
cerné, le ch
dépense, le
xercice suiv
e pour les p
à la trésore
es et des
M 21 et n’ap
ces modalit
eule conso
s engagem
vité et la fia
e cas aujou
pplication G
ntre hospitalier u
xes aux com
urs, elle sig
sur l’intégra
ai 2013 un
elle la cham
t le budget
itre de l’exe
e des somm
e CHU veil
rvices du T
roduits à l’
s produits re
de sincérité
es et des dé
clôture
respond à d
est une ét
que la DAF
ction fonctio
hapitre, le co
e numéro
vant.
produits) so
erie à l’app
produits à
ppelle pas d
tés d’exécu
olidation de
ments et de
abilité des
urd’hui, sauf
GEF).
universitaire de
mptes financ
gnale un ret
lité de la p
ne
« absen
mbre peut
prévisionne
ercice 2013
mes proviso
llera à l’ave
Trésor Publi
exercice
evêt un cara
é budgétair
épenses (E
des engage
ape des op
adresse co
onnelle est
ompte d’aff
de liquidati
ont ensuite
pui des ma
l’exercice
de remarque
tion des op
es éléments
leur suivi p
récapitulatif
f à faire une
Pointe-à-Pitre
ciers produ
tard importa
période. La
nce de do
encore s’a
el de 2014
3 dans les t
oires.
enir à les jo
ic transmet
actère exce
re concomit
PRD).
ements réali
pérations de
ourant octo
invitée à p
fectation, le
ion, le mon
établis par
andats. L’o
n+1 est e
e sur la mé
pérations de
ts produits
permettrait à
fs produits
e confiance
33
its : sont
ant dans
mission
cuments
associer,
n’étaient
tableaux
oindre à
tent à la
eptionnel
tant à la
isés et à
e clôture
obre aux
résenter
nom du
ntant de
la DAF,
opération
exécutée
thode.
e clôture
par les
à la DAF
dans le
aveugle
CR
L’instruc
budgéta
exclusiv
rattache
Par con
réduite.
Compt
« Charges
exercic
antérieur
Charges de
personnels c
Charges à ca
médical c/67
Charges à ca
hôtel. et gén
c/6723
Autres charg
c/6728
Total net de
charges
Part du c/67
total net des
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Source :
L’ordon
corresp
rattaché
exercice
Le tau
fonction
de la p
sensible
chargé
avec un
permet
compta
Les rep
sur exe
titres su
RC Guadeloupe
3.2
ction comp
aire et de
vement liée
er la charge
nséquent, l
es
s sur
es
rs »
c/6721
arac.
722
aract.
néral
ges
s
25
72 sur
s
comptes fin
nateur pré
ondent à
«
ées, et/ou d
es antérieur
x de cha
nnement co
période pla
ement à la h
de la santé
n taux infér
d’expliqu
bilisation de
3.2
ports de pro
ercices anté
ur exercice c
- rapport à fin d
Le rattac
2.2.
ptable M21
qualité co
e à une insu
e à l’exercic
’utilisation
2008
630 213
214 585
1 007 089
8 800
54 144 972
0,73 %
anciers 2008
écise dans
des imputa
de charges
rs à n-1 »
.
rges sur
rrespond à
acée sous
hausse ave
é qui recom
rieur à 0,20
er
cette
es charges
Le rattac
2.3.
oduits sont r
érieurs qui
clos, par ex
d’observations d
chement de
précise q
omptable,
uffisance de
ce concerné
du compte
2009
706 74
678 77
980 35
29
260 832 89
0,91 %
8 à 2013
s ses répo
ations de ch
s concernan
exercice a
0,60 % en
revue. La
ec un taux d
mande aux
0 %. La m
augmentat
de cette na
chement de
retracés da
n’ont pu êt
xemple pour
définitives – Cen
s charges
ue
« répon
son utilisa
e crédits lim
é : elle a don
e 672 –
ch
201
41
22
77
34
55
12
99
13
94
270 84
0,31
onses que
harges conc
nt des liqui
antérieurs
moyenne a
tendance
de 1,63 %, s
x établissem
ise en oeuv
tion
parad
ature et don
s produits
ans le comp
tre rattaché
r un change
ntre hospitalier u
ndant à un
ation
[le re
mitatifs disp
nc un carac
harges sur
10
27 330
41 867
28 621
31 500
47 702
28
%
0
e les mou
cernant des
idations rat
rapportées
arithmétique
présentée
supérieur au
ments de sa
vre d’action
doxale,
qu
c d’un prog
pte 772 lors
és à ces ex
ement de dé
universitaire de
n double ob
eport des c
ponibles ne
ctère tout à
exercices
2011
110 363
216 932
1 104 933
6 168
9 377 768
0,50 %
uvements d
s liquidation
tachées ma
au total
e sur les 5
par l’exer
ux préconis
anté de prés
ns de fiabil
ui
résulte
rès des pra
qu’ils conce
xercices et
ébiteur.
Pointe-à-Pitre
bjectif de
charges]
d
permettan
fait excepti
antérieurs
d
2012
522 51
223 21
823 20
3 73
298 479 45
0,53 %
des compt
ns qui n’ont
ais concern
des char
premiers e
rcice 2013
sations du m
senter des c
lisation des
d’une
m
atiques.
ernent des
les réémiss
34
sincérité
doit être
t pas de
ionnel ».
doit être
2013
18
3 263
19
359
07
976
31
4
50
283 116
1,63
tes 672
t pas été
nant des
rges de
xercices
s’inscrit
ministère
comptes
s reports
meilleure
produits
sions de
3
3 621
9 950
6 482
4 357
6 392
%
C
Réé
suit
Aut
exe
Tot
Par
net
CR
omptes « Pr
sur exerci
antérieur
émission de t
te annul. c/77
tres produits
erc. antérieur
tal net des pr
rt du c/772 su
des produits
Source :
La tend
Les cré
recettes
l’assuré
Comp
« redeva
produi
recevo
c/418
Source :
L’absen
à recev
identifié
entrée,
De man
rattaché
de tiers
négligea
Comp
« frais
poursu
rattach
c/4781
(crédits d
l’exercic
Source :
La fiabi
les com
de l’étab
RC Guadeloupe
roduits
ices
rs »
titres
721
s sur
rs c/7728
roduits
2
ur total
s
comptes fin
ance obser
3.2
éances imp
s lors de l
é par exemp
ptes
ables
its à
oir »
2
comptes fin
nce d’inscrip
voir par déf
és, ou que
il a été pos
nière conne
és
suggèren
s défaillants
ables en fin
ptes
s de
uites
hés »
2
de
ce)
comptes fin
lisation des
mptes présen
blissement.
- rapport à fin d
2008
1 537 258
2 237 944
247 027 421
1,53 %
anciers 2008
rvée révèle
Le rattac
2.4.
utables à l
’exercice c
ple, sont ret
2008
-
anciers 2008
ption à ce c
faut de fiab
pour l’ense
sible d’éme
exe, les mo
nt que des a
s identifiés
n d’exercice
2008
470 982
anciers 2008
s produits à
ntés ne con
d’observations d
2009
971 2
3 048 7
245 785 5
1,65
8 à 2013
une amélio
chement de
’exercice e
concerné, fa
racées sur
2009
-
8 à 2013
compte mon
bilité des p
emble des
ettre un titre
ouvements
actions son
, étant pré
.
2009
672 122
8 à 2013
recouvrer
nstituant pas
définitives – Cen
20
278
77
764
1 24
537
254 54
5 %
0
oration des p
s produits à
et n’ayant p
aute d’avo
le compte 4
2010
-
ntre que l’ét
procédures
hospitalisé
e de recettes
observés s
nt bien enga
écisé que
2010
720 00
apparaît do
s une imag
ntre hospitalier u
10
72 040
42 895
4
40 052
279
0,79 %
pratiques de
à recouvrer
pas donné
ir pu ident
418 –
redev
2011
-61
tablissemen
de suivi d
s et des co
s, ce qui pa
sur le comp
agées par le
les soldes
2011
02
4 360
onc être un
e représent
universitaire de
2011
769 994
797 265
743 513
1,99 %
epuis 2012.
lieu à l’ém
ifier le pat
vables prod
1
2
1 821
nt n’a pas ra
es produits
onsultants a
araît très im
pte 4781 –
e comptable
annuels d
1
2
0 510
2
enjeu impo
tative de la
Pointe-à-Pitre
2012
259 282
1 110 980
284 847 710
0,48 %
.
mission de t
tient hospit
duits à recev
2012
-
rattaché de
s des patie
ayant effec
probable.
frais de po
e public à l’e
de ce comp
2012
220 349
ortant pour
réalité des
35
2013
2
427
0
1 390
0
329 369
%
0,5
titres de
alisé ou
voir.
2013
-
produits
ents non
ctué une
oursuites
encontre
pte sont
2013
416 976
le CHU,
produits
257
710
087
5 %
CR
Les co
régulari
réglées
opératio
produits
Les sold
La tend
tant en
Comp
d’atte
c/471
c/472
Source :
Dans s
régulari
imputer
à effect
charges
commis
L’utilisa
du résu
Il est d
recomm
de ces
gestion
le résult
L’action
compta
le cadre
La vérif
permet
où le so
4 894 2
4,60 %
recomm
12
Comité
RC Guadeloupe
3.2
mptes tran
iser
et 472 –
sans mand
ons en atte
s concernés
des de sort
dance obse
recettes qu
ptes
ente
2
2
comptes fin
ses répons
iser – 471 c
r après enca
uer à des ti
s traitées e
ssion ».
tion de ces
ltat.
de règle de
mande un ra
comptes e
2013 (50 M
tat de l’étab
n de rappro
ble public e
e des travau
fication des
de constate
olde de sort
36 € en 20
des charg
mande une s
é régional de v
- rapport à fin d
Les dépe
2.5.
nsitoires co
dépenses
datement
m
nte qui ne s
s.
tie des com
rvée corres
u’en dépens
2008
994 171
408
anciers 2008
ses, l’ordon
comporte de
aissements
iers (trop-pe
en débit d’o
s comptes e
e les solder
approcheme
en fin d’exe
M€ inscrits e
blissement l
ochement d
et le directe
ux du CORE
soldes du
er que ce c
tie était de
009 et 13 3
ges totales
sécurisation
veille active su
d’observations d
enses et rec
oncernés so
s à classer o
mérite une a
sont pas im
ptes 471 et
spond à une
ses.
2009
2 392 178
16 318
8 à 2013
nnateur ind
es recettes
s par le Trés
erçus). Le c
ffice ainsi q
en fin d’ann
r régulièrem
ent entre l’o
ercice. Par
en recettes
ors de l’affe
des compte
ur financier
EVAT
12
.
compte 472
compte est
1 000 €). L’
15 120 € e
ont été r
n accrue de
ur la situation
définitives – Cen
cettes à rég
ont les co
ou à régular
attention pa
mputées dire
t 472 du CH
e augmenta
2010
15 931 37
1 020 38
dique que
issues de l
sorier, des
compte de d
que des fra
ée est de n
ment et rap
ordonnateu
ailleurs, le
à régularis
ectation déf
es est une
r de l’établis
21 -
dépens
régulièreme
’importance
en 2011) mé
réglés sans
e la comptab
n de trésorerie
ntre hospitalier u
gulariser
omptes 471
riser
dont la
articulière. C
ectement a
HU sont rep
ation sensib
2011
73
19 119
80
1 963
« le compt
la gestion d
recettes à
dépenses à
ais financie
nature à mo
pidement e
r et le com
e solde du
er) est de n
finitive de ce
e démarche
ssement. C
ses réglées
ent soldé e
e des mouv
érite toutefo
s mandate
bilité d’enga
des établissem
universitaire de
recette
a subdivisio
Ces compte
ux comptes
portés dans
ble des sol
1
2
9 065
19 3
3 344
1 1
te de rece
des régies, d
titrer, ou de
à reclasser –
rs : chèque
odifier la fia
n fin d’exe
ptable pour
c/471 prés
nature à mo
ette somme
e actuellem
ette démarc
s sans mand
n fin d’exer
ements ann
ois d’être s
ment préal
agement.
ments publics
Pointe-à-Pitre
es à classe
on 4721 –
es enregist
s de charge
s le tableau
des sur la
2012
336 023
50
169 303
4
ettes à cla
des vireme
es rembours
– 472 prése
e étranger,
abilité et la s
ercice. La c
r réduire l’u
senté au tit
odifier sens
e.
ment menée
che est suiv
datement p
rcice (sauf
nuels comp
soulignée. E
lable. La c
de santé.
36
er ou à
épenses
rent des
es ou de
suivant.
période,
2013
0 257 545
4 306 458
asser ou
nts à ré-
sements
ente des
frais de
structure
chambre
utilisation
re de la
iblement
e par le
vie dans
préalable
en 2010
pris entre
En 2011,
chambre
CR
3.
Les pro
d’une p
régleme
compte
des pro
aux cré
créance
La cham
compre
revanch
comptes
Le CET
n° 2002
règles d
décret n
Des cré
financem
n’ont pu
Les mo
constate
compte
fait appa
Compte
dotations
Reprises
annulatio
solde
Source :
La repri
de prov
partie d
réductio
n’a pas
Néanmo
2009-20
Sur le c
agent p
l’indemn
ratio ne
que
« l’i
le nomb
1 175 0
RC Guadeloupe
.3. Les pro
ovisions rég
provision. E
entaires. Ell
épargne te
ovisions pou
éances irréc
es détenues
mbre remar
nnent pas t
he, la variat
s financiers
3.3
T a été instit
2-788 du 3
de financem
n° 2004-73
édits sont v
ment des d
u être repris
uvements o
er que les
sont sans
araître une
e 143
2
s
s -
on
2
comptes fin
ise de 941 2
visions pou
de ces cré
on du temps
été précisé
oins, une a
011.
coût global d
physique a
nisation ava
ettement su
indemnisati
bre moyen
000 € »
. L’ob
- rapport à fin d
ovisions
glementées
Elles sont c
les ont été a
emps (CET)
ur risques e
couvrables
s par l’établ
rque en pré
toujours en
tion des pr
s.
Les prov
3.1.
tué pour les
mai 2002
ment du CE
du 19 janvi
versés par
droits à con
s. Le compte
observés su
montants r
rapport ave
reprise.
2008
-
-
905 413
anciers 2008
286 € effec
ur charges d
dits pour p
s de travail.
ée par l’ordo
analyse ind
de la mesu
au 31 déce
ait été dem
périeur aux
ion d’une p
par agent à
bservation d
d’observations d
sont des p
comptabilis
abordées a
). Les oblig
et charges.
ont été ana
issement.
éalable que
annexe l’ét
ovisions ré
visions liées
s personnel
modifié et
ET de la fo
er 2004.
le fonds po
ngés acquis
e 143 retrac
ur ce comp
elevés pou
ec la réalité
2009
-
-
2 905 413
8 à 2013
ctuée en 20
de personn
payer notam
. La méthod
onnateur su
irecte de c
re, le CHU
embre 2007
andée au 3
x autres CH
partie de ce
à 41,5 jours
du compte 1
définitives – Cen
provisions q
sées en ap
u travers de
ations vis-à
Par la suit
alysées en
e les comp
tat F0 relat
glementées
s au compte
s de la fonc
n° 2002-13
onction pub
our l’emplo
s au titre de
ce les mouv
pte sont rep
r les soldes
é de l’utilisa
2010
-
941 28
1 896 65
67 46
10 a été po
nel CET
lor
mment des
de d’évalua
uite aux que
ce compte e
présentait
7 de 63 jo
30 juin 200
HU métropo
s jours épa
s, correspon
143 ne perm
ntre hospitalier u
ui ne corre
pplication d
es provision
à-vis des tie
te, les prov
raison de l
ptes financie
if aux provi
s est rense
e d’épargne
ction publiq
358 du 18
lique hospit
oi hospitalie
e la réducti
vements an
pris dans le
s annuels e
ation du com
2011
-
86
59
-
67
67
ortée au cré
rsque l’étab
s droits à c
tion et de v
estions posé
est fournie
un nombre
ours. Le n
8 était de 3
olitains. Le
argnés en ju
ndant à un
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universitaire de
spondent p
e dispositio
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isions non
’importance
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sions et aux
ignée dans
temps (c/1
ue hospital
novembre
talière sont
r en vue d
ion du temp
nuels de ce
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1
2
4 7
7 467
4 8
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blissement
congés acq
alorisation
ées en cour
par le plan
moyen de
ombre moy
32 jours pa
plan de red
uin 2008 a
surcoût tot
retracer cet
Pointe-à-Pitre
pas à l’obje
ons législa
a mise en oe
étudiées au
réglementé
e du portefe
s à la cham
x dépréciat
s les états
43)
ière par les
2002 mod
t précisées
d’être consa
ps de trava
es crédits.
uivant. Forc
provisionne
seul l’exerci
2012
750 000
-
1
817 467
5
pte 78743 –
a eu beso
quis au titr
des jours é
rs d’instruct
n de redres
jours éparg
yen de jou
ar demande
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permis de
tal sur l’exe
tte indemni
37
t normal
tives ou
oeuvre du
u travers
ées liées
euille de
mbre ne
tions. En
F12 des
s décrets
difié. Les
dans le
acrés au
ail et qui
e est de
ment du
ice 2010
2013
694 463
1 064 477
5 169 481
reprise
in d’une
re de la
épargnés
ion.
ssement
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t indique
ramener
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sation.
CR
Sur les
rappelle
au titre
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s’établir
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de l’org
80 000
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Selon l’
évaluée
le mome
Le com
les prov
recevoir
nature o
grandes
L’état F
de 2010
Comp
« Provis
pour ris
et charg
c/151 so
dotation
reprise
c/157 so
dotation
reprise
c/158 so
dotation
reprise
Source :
Depuis
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de ce co
L’ordon
des com
c/158 n
RC Guadeloupe
modalités
e aux établi
de l’année
és fin 2008
r à environ 4
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e annuel de
des service
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€ ».
Une fo
143.
3.3
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0.
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2
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1
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1
olde
1
+
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période res
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ompte appa
nateur reco
mptes finan
e correspon
- rapport à fin d
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en cours. L
équivalent
406 000 € (
sation au
me
échelon r
e jours épa
es, un cont
du temps
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Les prov
3.2.
budgétaire
é des compt
as fixé de fa
çoit les prov
ur indemnit
sions pour
mportance
au c/1572).
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2008
612 988
912 201
145 813
+253 746
280 258
anciers 2008
comptes so
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ul pour le co
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ciers ne me
ndent pas e
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2009
1 612 988
1 912 201
1 145 813
8 à 2013
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définitives – Cen
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re de 385
199 jours d
20 % sur 3
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permettrait
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e.
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2010
2 000 00
+2 000 00
-1 612 98
1 912 20
1 299 99
+366 50
-212 33
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e par l’établi
ses que
« p
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2011
00
00
88
2 000
01
1 912
92
09
30
3 279
+1 979
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nt les éché
ges à répar
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pour les exe
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n° 2008-16
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2
0 000
2 4
+4
2 201
3 9
+2 0
9 541
9 549
6 9
+3 6
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/157).
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Pointe-à-Pitre
61 du 14 m
des jours é
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157 est de
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2012
400 000
400 000
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912 201
000 000
+
929 541
650 000
+
reprises ob
t inconnue
e l’horizon t
08 et 2009,
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38
mai 2008
épargnés
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ment dont
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2013
9 860 897
+7 460 897
4 912 201
+1 000 000
7 968 541
+1 039 000
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CR
La cham
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La cham
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antérieur
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Déprécia
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et
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Source :
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8 ans, c
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content
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RC Guadeloupe
mbre rappe
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ment se réa
nc anormal
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ons n’ont pa
mbre soulig
s services
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3.3
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416.
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er
s
rs (n-8
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12
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les
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24
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- rapport à fin d
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que la pro
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Les prov
3.3.
nt été utilisé
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r l’insuffisan
2008
373 804
565 467
305 877
565 339
824 928
anciers 2008
la couvertu
prise en c
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le recouvr
older les res
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(services t
2 –
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l’année et
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2009
10 170 896
24 824 928
-8 529 973
+890 000
17 184 955
8 à 2013
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compte de
uvrement o
t observée
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stes à recou
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techniques
ons pour gro
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s qui devrai
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2010
8 613 73
17 184 95
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11 278 84
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e à compte
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u le risque
nts connus
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6 exercices.
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s à une an
ent être ins
n additionna
2011
36
5 563
55
09
45
11 278
-13 923
+6 961
4 317
ouvrer ancie
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onnaissanc
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scrites au c/
ant les som
1
2
3 102
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8 845
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+3 8
8 1
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Pointe-à-Pitre
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491)
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012
877 060
3
317 229
875 000
192 229
9
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11
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10-2011 av
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couverture
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39
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Lorsque
eprise. Il
57) n’ait
que les
entretien
stifier les
s.
inscrites
-8) et le
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comptes
2013
3 738 716
9 192 229
6 332 065
9 300 000
1 160 163
érieure à
texte de
restes à
vec une
e phase
mise en
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
40
Comptes
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Pertes sur
créances
irrécouvrables
c/654 (solde)
2 305 877
8 529 973
5 906 109
6 898 483
5 903 449
6 320 504
Redevables -
créances
irrécouv. en
attente d’ANV
c/415 (mvt)
1 116 111
8 481 330
5 906 109
6 961 616
5 905 206
6 351 071
Redevables -
contentieux
c/416 (solde)
-
-
20 897 534
22 840 245
18 572 694
8 267 045
Source : comptes financiers 2008 à 2013
Le compte 415 représente les créances qui n’ont pas pu être soldées par le c/654 dans le
compte de résultat. Le compte 416 reprend les créances présentant une difficulté de
recouvrement. Ces deux comptes devraient être régulièrement apurés sur la base de
provisions constituées en fonction de la somme que l’établissement envisage de ne pas
récupérer.
Même si la tendance paraît favorable sur la fin de la période, les montants inscrits aux
comptes 415 et 416 sont importants et traduisent à la fois une difficulté de recouvrement et
une tension budgétaire. En effet, les difficultés budgétaires ont conduit l’établissement à
différer la constitution de telles provisions, ce qui constitue un réel report de charges venant
vicier la fiabilité des comptes. Une inflexion favorable est observée à partir de 2012 et
confirmée en 2013 sur ce registre.
La mission d’appui de l’IGAS signale en juin 2013 que le risque en matière de recouvrement
des créances a pu être évalué à environ 60 M€. L’état F8 « restes à recouvrer des exercices
courant, précédent et antérieur » du compte financier 2013 fait apparaître 23,7 M€ au titre
des hospitalisés et consultants, 2,1 M€ au titre de la CGSS, 3,2 M€ au titre de l’Etat et 11 M€
au titre d’autres tiers payants soit environ 40 M€.
L’état F8 du compte financier de 2012 faisait apparaître un total de plus de 78 M€, les parts
ayant contribué à la diminution observée entre 2012 et 2013 étant celles de la CGSS et des
autres tiers payants.
La chambre prend acte de la mise en application des recommandations de la mission
d’appui de l’IGAS relatives au provisionnement du compte 491 de couverture du risque, au
plan d’apurement progressif des créances et à la mise en oeuvre de corrections des rejets
B2 de la CGSS. Elle note une inflexion favorable qui traduit la volonté affichée depuis 2012,
tant du côté de l’ordonnateur que de celui du comptable public, d’apurer la situation par un
meilleur recouvrement et des admissions progressives en non-valeur des créances les plus
anciennes. La constitution des provisions visant à apurer le stock de créances irrécouvrables
malgré la situation déficitaire témoigne, d’après l’ordonnateur actuel, de cette volonté.
CR
L’absen
sorties
jamais
amortiss
L’instruc
allocatio
les nou
versées
projet d
La con
immobil
attribué
conduite
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utilisés
attribué
La cons
moyen d
Comp
c/142
prov.rég
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Source :
A la de
indiqué
inscrites
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3.
L’instruc
consom
Lorsqu’
utilisés
peuvent
identiqu
Aucun
annexe
l’ordonn
amortiss
ses rép
RC Guadeloupe
3.3
nce de mise
et pertes é
renseigné
sement.
3.3
ction M21 p
on anticipée
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s par l’assu
’investissem
nstitution d
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stitution d’u
des ressou
ptes
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mmo.
2
comptes fin
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la nature
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une reprise
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ction M21 p
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une durée
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ues ; cette s
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(état F2)
nateur en
sements es
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- rapport à fin d
Les prov
3.4.
e à jour régu
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Les pro
3.5.
(c/142)
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vestissemen
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ment en term
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ompte 142)
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eur général
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une provisio
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2008
548 264
anciers 2008
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qui en rés
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2009
2 548 264
-1 534 964
8 à 2013
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de service
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mortissemen
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définitives – Cen
s à la dépré
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2010
1 013 30
-762 24
+1 530 15
dalités de d
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ons au c/14
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1 7
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u’à ce jour, a
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tique pour u
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e si les cond
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l des amor
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amortisseme
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42.
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11
81 205
00 000
11
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ons
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Pointe-à-Pitre
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t d’immobi
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es supplém
s nouveaux
ent.
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tations bud
établisseme
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otations bud
immobilisa
2012
1 781 205
3 000 000
es, l’ordonn
ature des d
alisation n’es
nction du ry
de l’immobi
catégorie d
lisations ide
lisation ne s
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de l’actif
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41
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ilisations
pe d’une
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mentaires
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ents. La
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tions au
2013
14 781 205
nateur a
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lisation).
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CR
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L’exame
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entre 3
aux am
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En M€
c/21
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Comp
c/205
c/2805
Source :
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remarqu
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RC Guadeloupe
sements, n
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3.4
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et 15 ans s
ortissemen
e des acqu
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2008
242,8
7,8
162,0
1
6
comptes fin
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oissante rep
mobilisation
ondants, so
3.4
oncessions
sement sur
2805. A l’is
concurrenc
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en des com
ptes
2
3
2
comptes fin
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tissement e
du c/2805 d
e de 2008 à
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ni de déc
type de bie
L’évalua
4.1.
si un établ
de ses é
ment. Ce
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es immobil
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ts est relati
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immobilisat
8
200
858
256,
828
9,
081
175,
6,7
6
anciers 2008
éventuellem
présentée p
ns font l’obj
oit il n’existe
L’absenc
4.2.
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r une durée
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mptes financ
2008
344 201
635 453
anciers 2008
a été ident
mortissemen
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ntre les exe
du tableau
2012 ».
d’observations d
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n ».
tion des am
issement n
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pas permi
lisations. L
ature des b
vement liné
mmobilisatio
ions, comm
9
201
,213
267
,906
17
,735
189
68,6
8 à 2013
ment comb
par les amo
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ce de repris
similaires,
e comprise
période d’a
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2013
-
98 110
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
46
L’examen des comptes de retenue de garantie montre que l’établissement ne les pratique
que très partiellement ou épisodiquement. L’ordonnateur a indiqué que
« le module
« retenue de garantie » avait été activé par les gestionnaires et était donc utilisé depuis
l’exercice 2012 ».
La chambre constate l’absence de restitution d’une retenue de garantie depuis le début de la
période placée sous revue et invite l’établissement à utiliser ces comptes notamment dans le
cadre de l’exécution des marchés.
L’ordonnateur a précisé dans ses réponses que le CHU intègrera désormais le suivi
des
retenues de garantie dans les procédures de contrôle interne et de fiabilisation des comptes.
3.7. L’évaluation des stocks et de leur dépréciation
L’instruction M21 indique que l’inventaire intermittent des stocks est tenu en comptabilité
générale. En cours d’exercice, l’aspect patrimonial des stocks n’est pas abordé et la classe 3
n’est pas mouvementée. Au CHU, la valorisation est effectuée par le service économique, du
biomédical et de la logistique grâce à un outil de gestion économique et financière (GEF) qui
permet le suivi des stocks depuis les entrées jusqu’au sorties en fonction d’une traçabilité
assurée par les unités fonctionnelles. Pour les stocks de la pharmacie, la chambre constate
qu’aucun système d’informations n’est en place alors que le projet de mise en place du
logiciel PHARMA est toujours pendant.
Une dépréciation doit être constatée si la valeur de réalisation (c’est à dire le cours du jour
diminué des frais) restant à supporter jusqu’à la vente est inférieure au coût de production ou
d’acquisition des produits ou des marchandises. La chambre constate qu’aucun mouvement
n’est réalisé sur le c/39 qui est destiné à constater les dépréciations de stocks. L’ordonnateur
indique dans ses réponses que la somme inscrite au c/39 sur toute la période (38 112 €) a
été constituée par les services techniques au compte pour
mali
de stocks et qu’il est prévu
que cette somme fasse l’objet d’une reprise à la clôture de l’exercice 2013.
3.8. Le chantier de la certification
L’article L. 6145-16 du code de la santé publique dispose que
« les comptes des
établissements publics de santé définis par décret sont certifiés. Les modalités de
certification, par un commissaire aux comptes ou par la Cour des comptes, sont fixées par
voie réglementaire ».
La loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 prévoit dans son article 17 que la certification des
comptes s’applique au plus tard aux comptes du premier exercice qui commence quatre ans
à compter de sa publication. L’exercice 2014 est donc censé faire l’objet d’une certification.
L’article 2 du décret n° 2013-1239 du 23 décembre 2013 définissant les établissements
publics de santé soumis à la certification des comptes précise que
« (…) la liste des
établissements pour lesquels la certification s’applique à compter, respectivement, des
exercices 2014, 2015 ou 2016 est fixé par arrêté conjoint des ministres chargés de la santé
et du budget, en fonction de l’état d’avancement des travaux nécessaires à l’entrée dans le
processus de certification des comptes ».
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
47
L’arrêté du 23 décembre 2013 fixant la liste des établissements publics de santé soumis à la
certification des comptes pour les comptes de l’exercice 2014 ne mentionne pas le CHU.
Néanmoins, l’ordonnateur indique dans ses réponses, en février 2014, qu’il va mettre en
place le « chantier de la certification » dès la nomination d’un directeur financier chargé de la
conduite du projet.
3.9. La difficulté du retraitement des comptes
A la lumière des constats précédemment exposés, le retraitement des comptes vise à
corriger le résultat des éléments entachant la qualité comptable. Ce retraitement intègre :
La neutralisation éventuelle des reprises sur provisions qui n’ont pas été effectuées
sans charges constatées à due concurrence,
La correction des écarts de rattachement de produits et de charges,
La correction des charges et recettes exceptionnelles,
La correction des amortissements non constatés,
La correction des provisions non constatées.
Au regard de l’importance des recettes à classer (qui passent de 19 M€ à 50 M€ en 2013),
ainsi que de l’absence de reprises d’amortissement et de provision, la question de la réalité
du déficit se pose.
En l’état du désordre comptable observé, la chambre considère qu’il n’est pas possible
d’effectuer un retraitement pertinent des comptes.
L’examen de la fiabilité des comptes est indissociable, pour le CHU, de la recherche des
distorsions entre les systèmes d’information relatifs à l’activité, aux charges et aux produits.
La chambre suggère en conséquence
qu’une évaluation plus précise des carences des
systèmes d’information tant au niveau des charges qu’au niveau des produits soit effectuée
afin de fiabiliser le retraitement des comptes. L’IGAS a elle-même signalé des lacunes dans
les fichiers de facturation (absence de séjours de nouveau-nés dans les fichiers, facturation
manuelle d’actes de biologie, actes de laboratoire sans facturation, rétrocessions de
médicaments sans enregistrement de recettes).
4.
L’ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE
Les données extraites des comptes financiers et celles issues des applications IDAHO
permettent de réaliser une analyse financière sur la période placée sous revue. Les données
concernant l’exercice 2013 sont mentionnées à titre provisoire.
L’analyse présentée prend en compte le budget principal du CHU et ses deux budgets
annexes à savoir l’école d’infirmière (IFSI) et le centre d’action médico-social précoce
(CAMSP).
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Pr
d’
R
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La perti
observa
d’analys
L’analys
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4.
Le dern
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22 M€.
2010, c
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Le résu
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-
-
-
En euros
Résultat
comptable
Résultat
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(Source
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en 201
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d’une é
corrige
RC Guadeloupe
2008
n
260 149
n
252 230
n
-7 919
-11 202
: comptes fin
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se approfon
se financièr
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4.1
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comptable
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Une pério
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é (T2A).
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- budget an
- budget an
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200
-7 91
-11 20
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3. Cette d
elle dans l'a
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- rapport à fin d
8
9 379
26
0 007
254
9 371
-13
2 477
-24
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19 371
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2009
8 498 084
4 849 121
3 648 962
4 851 439
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2020.
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2009
3 648 962
4 851 439
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définitives – Cen
2010
277 600 34
260 532 89
-17 067 44
-41 918 88
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des comp
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M€. La situ
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-
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-
2010
-17 067 445
-41 918 884
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201
40
296 099
95
285 315
45
- 10 784
84
-52 702
sensibles im
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.
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10,78 M€, é
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-1 157 402
-
187 461
2011
5
- 10 784
4
-52 702
U s’accroît
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s produits.
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1
9 090
305
5 089
289
4 001
-15
2 885
-68
mperfection
tablissemen
et de constr
décembre
nt de 15,82
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e entre les
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e 2013 se
20
001
-15 8
885
-68 5
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CHU trouv
personnel,
Dans ce co
ttes.
Pointe-à-Pitre
2012
5 707 597
9 887 448
5 820 148
8 523 033
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2012 prés
M€ malgré
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012
820 148
523 033
-
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48
2013
332 414 2
329 386 4
-3 027 7
-71 550 7
tenu des
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2008 et
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2013
-3 027 719
-71 550 752
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09
490
719
52
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RC Guadeloupe
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4.1
4.1.2
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2012.
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2
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2
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s produits
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Evolution
1.2.
2.1.
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plus de 213
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2008
2
259,630
26
252,513
25
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-1
2,8 %
5
2008
2
4,975
6
3,551
7
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0
40 %
2008
2
1,029
1,652
0,623
0
-
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n et structur
charges de p
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3 M€ alors q
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»
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définitives – Cen
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2009
20
7,009
277,
2,346
260,
5,047
-16,
5,9 %
6,
2009
201
6,586
5,5
7,162
4,5
0,594
-0,9
-
22
2009
201
1,096
1,2
1,901
1,4
0,805
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-
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nctionnemen
n déficit co
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64, essenti
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ntre hospitalier u
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10
2011
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296,4
,910
286,92
,308
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10
2011
526
5,10
539
4,35
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-0,75
2 %
17 %
10
2011
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1
2012
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24
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%
4,7 %
2012
07
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54
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%
40 %
2012
4
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%
55 %
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Pointe-à-Pitre
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2013
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331,331
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329,648
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%
0,5 %
2013
5,453
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-1,158
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2013
1,767
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-0,188
12 %
ts correspo
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de 38 % d
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de 2008/20
08.
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49
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onnel en
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établi en
stratifs et
dont les
motions,
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
50
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Charges de personnel (en M€)
179,001 184,420 193,718 196,601 201,333 213,576
(Source : comptes financier consolidés)
Les charges sociales augmentent de manière sensible avec un taux annuel moyen de 4,4 %.
Néanmoins, le rattachement des charges sociales à l’exercice est un élément dont la fiabilité
doit être évaluée en raison d’une dette cumulée non négligeable sur la période conjuguée à
un manque de trésorerie.
La mission d’appui de l’IGAS a souligné que le
« CHU n’a pu honorer, à un moment, le
règlement de ses charges sociales parts ouvrière et patronale. Ces charges ont bien été
mandatées, mais le règlement en a été bloqué d’avril à décembre 2012 ».
Le total de la dette en matière de charges patronales a été évalué à 12,92 M€ en avril 2013
13
et a fait l’objet d’un accord d’échelonnement mi-2013 puis d’une convention de
compensation avec la CGSS, cette dernière étant par ailleurs également débitrice du CHU.
Les dépenses de personnel particulièrement élevées constituent le principal frein au
dégagement d’un excédent brut d’exploitation et, par voie de conséquence, d’une capacité
d’autofinancement.
en M€
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Rémunérations du personnel non médical (en brut)
108,507
111,804
116,192
116,108
121,545
123,138
Rémunérations du personnel médical (en brut)
24,581
25,506
28,332
28,922
30,170
32,836
Autres charges de personnel (en brut)
0,690
0,203
0,219
0,230
0,194
0,227
TOTAL REMUNERATIONS (en brut)
133,778
137,513
144,744
145,261
151,909
156,201
Charges sociales du personnel non médical
27,524
28,584
29,786
30,371
30,630
34,362
Charges sociales du personnel médical
7,340
7,548
8,213
8,754
9,090
9,904
Autres charges sociales
4,334
4,415
4,383
4,859
2,404
5,498
TOTAL CHARGES SOCIALES
39,198
40,547
42,382
43,984
42,124
49,764
Impôts et taxes
6,017
6,330
6,592
7,346
7,283
7,597
TOTAL CHARGES SOCIALES ET FISCALES
45,215
46,877
48,974
51,330
49,407
57,361
Personnel extérieur à l'établissement
0,008
0,031
0
0,009
0,018
0,014
TOTAL CHARGES DE PERSONNEL
179,001
184,420
193,718
196,601
201,333
213,576
Charges de personnel/Produits bruts d'exploitation
(en %)
77,2
80,6
82,1
75,2
73,4
64,8
Rémun. et charges sociales/Produits bruts
d'exploitation (en %)
74,6
77,8
79,3
72,4
70,8
62,5
(Source : comptes financiers consolidés)
4.1.2.2.
Les autres charges
Les provisions pour risques et charges, les provisions réglementées ainsi que les dotations
aux amortissements augmentent de manière importante et régulière sur la période en raison
des nombreux investissements réalisés. La dotation exceptionnelle versée par l’ARS a
également permis de financer partiellement les charges à caractère médical ainsi que les
13
Source documents du COREVAT du 26 février 2013.
CR
charges
fonction
égaleme
Charges
Charges
Amortiss
(Source
L'année
manière
La princ
en cha
manière
Cette va
l'activité
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Produits
maladie
Titre 1
Autres
hospitali
Titre 2
Autres p
Titre 3
(Source
La T2A
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RC Guadeloupe
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e
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: comptes fin
4.1
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produits
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Tot
: comptes fin
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Evolution
1.3.
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2008
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202,24
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21,60
28,65
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252,51
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s personnel
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définitives – Cen
al. L'évolut
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2008
30,318
3
25,886
28,905
uits courant
mportants m
ploitation.
es est repr
tre 1). Ces
(+18%).
en relation
n'y a plus
ée par la T2
adie (titre 2
2009
48
203,009
08
17,809
57
31,528
13
252,346
s :
lié à l’activi
rfait Annue
de dotation
on). Ces fina
ls médicaux
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ntre hospitalier u
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tachement d
2009
31,757
3
33,189
3
22,483
2
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s produits
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2A. Les pro
2) diminuen
2010
9
208,594
9
17,798
8
34,518
6
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n : MIGAC
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x hospitalier
nce et d’inno
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s postes i
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des charges
2010
201
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2011
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Pointe-à-Pitre
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11
2012
737
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722
31,956
115
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ment sur l'e
2012
246,409
17,763
27,702
291,874
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51
dans le
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2013
39,488
37,086
47,822
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annuelle
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2013
255,099
23,815
50,734
329,648
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F
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C
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+ Transferts d
+ Autres prod
Autres char
+ Produits fin
Charges fin
+ Produits e
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Charges ex
capital)
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En 201
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7,45 M€
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RC Guadeloupe
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annuelleme
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ble basée s
4.1.4.
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Excédent b
(Source : co
4.1.5.
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1 et 2012,
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2008
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0
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2
4,567
7
3,335
6
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Cependant
ncée et le r
çues et le
universitaire de
de transition
e d’une inad
cette surdo
011 en raiso
a part fixe a
rges couran
ouvrir les a
charges fu
011
2012
5,106
25,89
e 2013 son
, l’endettem
009
2010
772
-7,063
0
0
,421
1,202
,044
6,572
,005
0
,629
2,804
,161
2,391
,866
2,907
,180
-15,753
. La situatio
capacité d’a
a permis de
participer a
t malgré c
recours à l’e
s cessions
Pointe-à-Pitre
n élevé (1,0
déquation e
otation moy
on de l’évol
au profit d’
nts directem
amortisseme
uturs), ainsi
2
2013
94
36,153
nt important
ment perme
2011
2
3
15,106
2
0
0
2
2,149
2
7,597
0
0
4
4,144
1
5,955
7
4,019
3
7,450
1
on du CHU
autofinance
e couvrir le
au financem
cette augme
emprunt s’e
s d’immobi
52
0615) du
entre les
yenne à
lution du
une part
ment liés
ents, les
que les
tes. Bien
ettant de
2012
2013
5,894
36,15
0
2,018
2,35
6,893
8,26
0
4,687
4,54
1,404
5,39
2,549
7,46
5,187
23,63
U évolue
ment de
montant
ment des
entation,
est avéré
ilisations
3
53
0
53
60
0
48
97
62
33
CR
Résultat de l'
+Valeur com
+ Dotations a
- Produits de
- Quote-part
résultat
- Reprises su
CAPACITE
(Source
4.
La struc
IMMOBILI
IMMOBILI
Terrains
Immobilisati
Construction
Construction
Installations
immobilisati
Installations
cours
Avances et a
corporelles
Immobilisati
Immobilisati
IMMOBILI
I - Biens sta
FONDS DE
Stocks
Hospitalisés
Caisses de S
Départemen
Mutuelles et
Autres créan
Dépenses à c
II - Créance
Disponibilité
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TOTAL AC
RC Guadeloupe
en
'exercice
mptable des é
aux amortiss
es cessions d'
t des subven
ur amortissem
E D'AUTOF
: comptes fin
.2. Le finan
4.2
cture bilanc
ACTIF
ISATIONS
ISATIONS
ions en cour
ns
ns en cours
, matériel, ou
ions
, matériel et
acomptes sur
ions reçues e
ions affectée
ISATIONS
ables
E ROULEM
et consultan
Sécurité Soci
nts
t autres tiers-
nces
classer
es
és
dités
CTIF
- rapport à fin d
n M€
éléments d'ac
sements et au
'éléments d'a
ntions virées
ments et prov
FINANCEM
nanciers)
ncement d
La struct
2.1.
ielle de l’éta
F (en M€)
INCORPOR
CORPORE
s / terrains
utillage, et au
autres immo
r commandes
en affectation
es ou mises à
FINANCIE
MENT NET G
nts
ale
-payants
d’observations d
ctif cédés
ux provisions
actif
s au compte
visions
ENT
e l’investis
ture financiè
ablissement
RELLES
ELLES
utres
obilisations e
s d'immo.
n
à disposition
ERES
GLOBAL
définitives – Cen
2008
-7,91
s
23,90
e de
7,58
8,40
ssement
ère du CHU
t est récapi
2008
12,60
251,34
11,07
128,03
7,79
103,74
en
0,02
0,65
0,50
265,14
54,90
5,00
33,87
33,19
0,60
18,75
7,13
0,08
98,65
2,29
2,29
366,08
ntre hospitalier u
2009
19
-13,649
0
90
07
14,544
0
0,100
0
0
86
10,065
02
- 9,180
U
tulée dans
2009
01
14,454
41 266,774
72
10,982
0
0
7 134,176
99
9,876
49 111,055
0
0
29
0,029
0
0
6
0,656
03
0,594
41
282,517
03
42,118
03
6,028
77
28,907
99
31,073
04
0,581
2
17,228
8
8,889
5
0,016
57
92,722
90
1,499
90
1,499
88 376,738
universitaire de
2010
2
-17,067
- 1
0
15,958
2
0,018
5,190
9,435
- 15,753
les tableaux
2010
2
15,484
1
285,699 29
10,982
1
0
137,039 13
17,314
1
119,679 12
0
0,029
0
0,656
0,600
302,477
31
49,812
5
5,943
26,283
2
34,696
3
0,580
21,902
2
14,119
4
1,021
104,545
14
1,105
1,105
408,127 45
Pointe-à-Pitre
2011
201
10 784
-15,
0
26,267
31,
0,009
0,
1,063
0,
6,962
7,450
15,
x suivants :
2011
201
17,213
23,0
95,193 303,9
10,982
10,9
0
39,097 141,4
19,472
20,
24,957 130,7
0
0,029
0,0
0
0,656
0,6
0,636
0,6
13,042
327,6
56,901
51,3
5,712
6,5
23,141
20,7
35,869
29,8
0,257
0,0
25,748
27,6
47,304
22,3
1,964
1,
40,799
108,5
3,164
62,2
3,164
62,2
57,005 498,3
53
12
2013
,820
-3,02
0
,549
35,12
,251
,833
1,43
0
7,02
,187
23,63
2
2013
078
27,523
967 312,924
982
10,982
0
0
479 143,342
116
22,142
706 135,802
0
0
029
0,029
0
0
656
0,656
641
0,703
685
341,150
375
62,756
510
5,755
773
17,571
880
30,593
070
0,027
681
15,480
395
16,726
196
4,310
506
90,462
207
67,723
207
67,723
398 499,335
8
0
5
0
8
6
3
3
4
2
0
2
2
2
0
9
0
6
3
0
6
5
1
3
7
0
6
0
2
3
3
5
CR
Apports
Excéden
Subventi
Emprunt
Amortiss
Réserve
Réserve
Report à
Report à
Résultat
Provisio
Provisio
Autres d
I - Finan
Dettes fo
Dettes fi
Avances
Dettes su
rattachés
Autres d
Recettes
II - Dett
BESOIN
Fonds en
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TRESO
TOTAL
Le fond
terme (A
une ha
augmen
Grandeu
Fonds de
Besoin e
Trésorer
RC Guadeloupe
PASSI
nts affectés à
ions d'invest
ts et dettes as
sements
de trésorerie
de compens
à nouveau ex
à nouveau dé
comptable
ns règlement
ns pour risqu
dépréciations
ncements sta
ournisseurs e
iscales et soc
s reçues
ur immobilis
s
dettes diverse
s à classer ou
tes
N EN FOND
n dépot
courus non é
nancements
ORERIE
L PASSIF
4.2
ds de roulem
Actif – Pas
usse de pl
ntation du fo
urs bilancie
e roulement n
en fonds de r
rie
- rapport à fin d
IF (en M€)
l'investissem
tissement
ssimilées
e
ation
xcédentaire
éficitaire
tées
ues et charge
s
ables
et comptes ra
ciales
sations et com
es
u à régularise
DS DE ROU
échus
à court term
Le fonds
2.2.
ment repré
sif). Il s’éta
lus de 11
onds de rou
elles (en M€)
net global
roulement
d’observations d
ment
es
attachés
mptes
er
ULEMENT
me
s de rouleme
sente la dif
blit à 62,75
%. L’empru
ulement net
)
définitives – Cen
2008
26,199
8,151
15,904
68,715
162,081 1
14,224
0,984
18,541
-21,824
-
-7,919
-
5,454
4,671
24,863
320,044
3
13,687
10,727
11,097
1,107
5,577
2,994
45,190
53,468
0,315
0,540
0,855
1,435
366,088 3
ent net glob
fférence en
5 M€ à la fi
unt et l’am
global sur
2008
54,903
53,468
1,435
ntre hospitalier u
2009
20
26,199
26
8,151
8
24,326
19
74,055 117
175,735 189
14,224
14
0,984
0
19,164
3
-30,366
-28
-13,649
-17
3,919
1
4,671
5
17,223
11
324,635
352
19,682
13
12,420
9
11,097
11
0,612
2
4,027
1
2,442
15
50,280
53
42,442
50
0,339
0
1,484
1
1,823
2
-0,324
-0
376,738 408
bal
ntre les ress
n de 2013
mortissemen
la période.
2009
2
42,118
4
42,442
5
- 0,324
-
universitaire de
10
2011
6,199
26,19
8,151
8,15
9,311
18,24
7,268 127,63
9,693 203,81
4,224
14,22
0,984
0,98
,710
3,93
8,561
-45,85
7,067
-10,78
,849
11,84
5,212
7,19
,317
4,35
2,290
369,94
,892
24,51
9,327
29,33
,097
8,20
2,041
2,25
,549
1,77
5,931
19,11
3,837
85,19
0,707
55,60
0,365
0,32
,635
1,53
2,000
1,86
0,895
1,30
8,127 457,00
sources et
contre 56,9
nt permette
2010
201
49,812
56,9
50,707
55,6
0,895
1,3
Pointe-à-Pitre
2012
99
26,199
51
8,151
48
19,143
31 120,975
12 216,836
24
14,224
84
0,984
38
1,705
57 -54,408
84 -15,820
49
19,599
92
13,242
55
8,230
43
379,060
17
25,160
38
61,232
02
5,307
50
4,895
71
1,514
19
19,336
98
117,445
01
-8,939
29
0,362
35
1,531
64
1,893
00
60,314
05 498,398
les emplois
90 M€ en 2
nt de géné
11
2012
901
51,375
601
- 8,939
300
60,314
54
2013
26,199
8,151
18,661
121,232
231,848
14,224
0,984
0,201
-68,724
-3,027
19,951
22,742
11,465
403,907
24,166
14,132
2,413
1,626
0,947
50,257
93,541
33,354
0,356
1,531
1,887
29,404
499,335
s à long
2011 soit
érer une
2013
5
62,756
9
33,352
4
29,404
CR
Le beso
court te
Les cré
140,8 M
concern
d’apure
les «ho
en raiso
et des m
Provisio
redevabl
Solde cr
Créances
Solde dé
Pertes su
Débit du
L’attent
des rece
2011 en
mutuelle
La plup
charges
concern
assimilé
Malgré
de plus
14 M€ e
CGSS p
fait, l’ex
sociales
Sur la
engend
trésorer
fourniss
des ma
régleme
RC Guadeloupe
oin de fonds
rme. Il s’éta
4.2
éances du
M€ en 2011
nent princip
ment tripar
spitalisés e
on des adm
mutuelles (e
ns pour dép
les
éditeur du co
s irrécouvrab
ébiteur du co
ur créances ir
u compte 654
ion des ser
ettes à clas
ntre le CHU
es) devrait
4.2
part des det
s, ce qui à
nées notam
ées.
la subventio
qu’en 2011
et les dette
pour perme
xercice 201
s.
période pla
re un volu
rie. Cette s
seurs et de
andats rest
entation.
- rapport à fin d
s de roulem
ablit à -8,94
La situat
2.3.
CHU deme
1 à 90,5 M
palement ce
tite CGSS-
et consultan
missions en
encaisseme
en M€
préciation d
ompte 491
bles admises
ompte 415
rrécouvrable
4
rvices finan
sser ou à ré
U, le compta
conduire à
La situat
2.4.
ttes sont p
ce jour ne
mment les d
on versée p
1. A la fin d
es fournisse
ettre l’échel
3 marque
acée sous
ume de fac
situation af
ses parten
te très éle
d’observations d
ment représ
4 M€ à la clô
tion des cré
eurent au to
M€ à la clôt
elles sur la
CHU-DRFIP
nts» baissen
non-valeur.
ent) s’élèven
des comptes
en non-vale
es
nciers de l'é
égulariser. L
able public e
la diminutio
tion de la de
ayées au d
e permet pa
dettes fisca
par l’ARS e
de l’exercice
eurs corresp
lonnement
le retour à
revue, l’ins
ctures impa
ffecte grav
naires instit
evé. Il dép
définitives – Cen
sente la diffé
ôture de 20
éances
otal très im
ture 2013 s
a CGSS qu
P sur les re
nt régulière
. Les créan
nt à près de
2008
de
24,825
eur
0
2,306
établisseme
La poursuite
et les princi
on de ce so
ette et de la
début de n+
as d'intégre
les et socia
n 2012, les
e 2013, les
pondaient à
du paieme
une norm
suffisance
ayées très
vement l’im
tutionnels. P
passe très
ntre hospitalier u
érence entr
12 contre 5
mportantes.
soit une ba
ui font en 2
estes à reco
ement sur to
ces auprès
es ¾ du tota
2009
5
17,185
0
6
8,530
ent doit être
e de la colla
paux financ
lde.
a trésorerie
+1 ou repri
er l'exercice
ales ainsi q
dettes s’éle
dettes fisca
à 24 M€. U
nt de ces d
alisation du
de fonds d
s important
mage de l'é
Par ailleurs
largement
universitaire de
re les créan
5,60 M€ à l
Leur mont
aisse de pr
2013 l’obje
ouvrer. Les
oute la péri
des hospit
al des créan
2010
20
11,279
4,3
0
0
5,906
6,8
e appelée s
aboration m
ceurs (CGS
ses par les
e 2013 à c
que les det
evaient à 1
ales et soci
Un accord a
dernières (h
u poste des
de rouleme
du fait de
établisseme
, le délai m
les 50 jo
Pointe-à-Pitre
nces et les
la fin de 20
tant total p
rès de 36 %
et d’une co
s sommes d
iode princip
talisés, de l
nces.
011
2012
317
8,192
0
0
898
5,903
sur le nivea
ise en place
SS et les pri
s rattachem
cette analys
ttes fournis
17,45 M€ s
ales représ
a été signé
hors pénali
s dettes fis
ent et de tr
e l’insuffisa
ent auprès
moyen de p
ours prévus
55
dettes à
11.
asse de
%. Elles
nvention
dues par
palement
a CGSS
2013
11,160
0
6,320
au élevé
e depuis
ncipales
ments de
se. Sont
seurs et
soit 38 %
sentaient
avec la
tés). De
scales et
résorerie
ance de
de ses
paiement
s par la
CR
En app
14 septe
situation
avec les
des dett
Le beso
est sup
ligne de
depuis
souhaité
Le post
constan
l’arrivée
2010 lié
l’établis
Rembou
= Remb
+ Intérê
= Annu
Emprun
= Empr
Encour
(Sourc
L’endett
corresp
RC Guadeloupe
plication d
embre 2012
n de trésore
s services p
tes sociales
oin en tréso
érieur au F
e trésorerie
le 28 fév
é accéder à
4.2
te "emprun
nte augmen
e à échéanc
ée à la m
sement de
en M
ursements d'e
boursements
ts des empru
uité de la det
nts nouveaux
runts nouvea
rs de la dette
ce : comptes
tement du C
ond à un en
- rapport à fin d
e la circu
2 relative à
erie des éta
payeurs pou
s notammen
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FRNG (fond
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Les emp
2.5.
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2008 à 201
M€
emprunts
s d'emprunt
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e au 31/12/N
financiers-ét
CHU prése
ncours de 1
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d’un empr
3 est prése
20
5,
ts (nets)
5,
2,
7,
30
30
N
68
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nté par le c
21 227 859
définitives – Cen
rministérielle
n place des
ts publics d
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s décaisse
eur précise
uvellement d
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après un
nts, une fort
runt de 50
entée dans
008
200
,288
4,65
,288
4,65
,055
2,58
,344
7,24
0,000
9,99
0,000
9,99
8,715
74,0
c/164
Empr
9 € au 31 dé
ntre hospitalier u
e DGOS/P
comités ré
de santé, div
s de paieme
e le BFR (b
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e qu’aucun
de la ligne d
nées depuis
recul en 20
te augment
0 M€. La s
le tableau s
09
2010
59
6,788
59
6,788
84
2,698
43
9,486
99
50,002
99
50,002
055
117,26
unts auprès
écembre 20
universitaire de
PF1/DSS/GD
égionaux de
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CHU a donc
cours de pé
n établissem
de trésorerie
s 2008. L’e
009 (4,66 M
tation est o
situation de
suivant.
2011
9,637
9,637
4,126
13,763
2
20,000
2
20,000
8
127,631
s des établi
013.
Pointe-à-Pitre
DFIP/2012/
e veille activ
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onds de rou
c eu recour
ériode. Cep
ment banc
e du CHU.
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M€) sous l
observée à
e l’endettem
2012
9,656
9,656
4,687
14,342
3,000
3,000
120,975
issements d
56
/225 du
ve sur la
té prises
nnement
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rs à une
pendant,
caire n’a
t est en
’effet de
partir de
ment de
2013
9,743
9,743
4,462
14,205
20,000
20,000
121,227
de crédit
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
57
Tous les emprunts sont libellés en euros. Quatre produits structurés apparaissent dans le
portefeuille d’emprunts souscrits. Ils ont été consolidés en 2005, 2006 et 2008 auprès
respectivement de la caisse d’épargne, de DEXIA et de la BPCE. Deux emprunts ont quitté
leur phase structurée et les deux autres sont encore dans cette phase.
Le prêt de la Caisse d’Epargne sorti de la phase structurée en juin 2011 est actuellement
indexé sur l’EONIA (Euro OverNight Interest Average). L’EONIA est la référence du prix de
l’argent au jour le jour sur le marché interbancaire de la zone euro depuis le 04 janvier 1999.
Il est calculé par une moyenne, pondérée par les volumes, du taux des transactions
pratiquées par 57 banques de la zone euro.
Le prêt DEXIA est un produit à effet multiplicateur jusqu’à 5 sur écarts d’indices de la zone
euro, en l’occurrence la différence entre le CMS EUR 30 ans et le CMS EUR 02 ans
(abréviation de Constant Maturity Swap, correspondant aux taux à échéance constante des
swaps 30 ans et 2 ans). Comme le montre l’évolution historique des taux, le contrat du
Date de
consolidation
du prêt
Date
d'échéance
du prêt
Montant
nominal
contractuel
Formule de calcul
du taux d'intérêt
initial
Périodicité de
remboursement du
capital
Crédit agricole
29/11/2010
30/11/2030
20 000 000,00 Taux fixe à 3,7%
A - Annuel
Caisse des dépôts
25/11/1998
25/05/2013
707 274,47 Taux fixe à 6,4%
S - Semestriel
Caisse des dépôts
25/11/1998
25/05/2013
488 179,54 Taux fixe à 6,4%
S - Semestriel
AFD
30/03/2004
30/06/2014
3 000 000,00 Taux fixe à 3,53 %
T - Trimestriel
AFD
30/11/2005
30/11/2015
3 000 000,00 Taux fixe à 2,87%
S - Semestriel
NATIXIS
15/10/2002
15/10/2017
4 600 000,00 Taux fixe à 4,69%
Caisse d'épargne
25/02/2004
25/12/2013
3 000 000,00 Taux fixe à 3,67%
T - Trimestriel
Caisse d'épargne
25/02/2005
25/03/2020
4 000 000,00 Taux fixe à 3,54% à A - Annuel
Caisse d'épargne
25/06/2005
25/06/2020
3 400 000,00 Taux fixe à 3,6%
T - Trimestriel
Caisse d'épargne
25/03/2006
25/06/2014
4 000 000,00 Eonia + 0,12
A - Annuel
Caisse des dépôts
03/04/2012
01/05/2027
3 000 000,00 Taux fixe à 4,51%
A - Annuel
Caisse des dépôts
09/01/2013
01/02/2028
10 000 000,00 Taux fixe à 3,91%
A - Annuel
Société Générale
12/09/2011
12/09/2031
20 000 000,00 Taux fixe à 5,92%
T - Trimestriel
DEXIA
01/07/2008
01/07/2027
9 500 000,00 Taux fixe à 3,29%
A - Annuel
BPCE
25/04/2009
25/04/2016
10 000 000,00 Taux fixe à 3,09%
A - Annuel
Caisse d'épargne
25/11/2008
25/01/2034
14 000 000,00 Taux fixe à 4,56%
A - Annuel
BPCE
25/11/2008
25/02/2034
6 000 000,00 Taux fixe annulable A - Annuel
Caisse d'épargne
23/08/2010
25/09/2030
20 000 000,00 Taux fixe à 3.67%
S - Semestriel
CACIB ex BFT
25/06/2001
25/06/2016
4 421 021,50 TAM + 0.375
A - Annuel
CACIB ex BFT
15/08/2003
15/08/2017
4 315 920,00 TAM + 0.275
A - Annuel
CACIB ex BFT
15/11/2004
15/11/2019
6 000 000,00 TAM + 0.25
A - Annuel
CACIB ex BFT
15/01/2008
15/01/2031
20 000 000,00 TAM + 0.07
Caisse d'épargne
1A
25/02/2005
25/03/2010
Taux fixe 3.54% à barrière 4% sur Euribor 12M(Postfixé)
Caisse d'épargne
1A
25/05/2007
25/06/2011
((2*Libor CHF 12 M(Postfixé)- 1.32)-(2*Floor 0.66 sur Libor CHF -12 M(Postfixé)
DEXIA
3E
01/07/2010
01/07/2027
Taux fixe 3.29% si Spread CMS EUR 30A(Postfixé)-CMS EUR 02A (Postfixé)>=0% sinon (5.87%-8 x spread)
BPCE
1C
25/11/2008
25/02/2034
Taux fixe annulable à 4.19% (exerçable à partir du 25/02/2014)
NIVEAU DE RISQUE
(Charte "Gissler")
avant couverture
Si RISQUE >=2A
Date de
passage en
phase
structurée
Date
d'échéance de
la phase
structurée
Formule de calcul du taux d'intérêt de la phase structurée
CR
1
er
juille
swap 30
Ce cont
de prop
mesure
à plusie
l’écart d
cette sit
alors éle
% porte
permet
plafond
Le prêt
dans les
qui dev
taux (p
l’empru
totaleme
L’exame
l'emprun
en 2010
Cette in
l’établis
réalisé
l'établis
d’équipe
capital d
RC Guadeloupe
et 2008 a é
0 ans et 2 a
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evé, du fait
erait par exe
pas de mes
au taux d’in
BPCE appa
squels la ba
ient la cont
asser d’un
nt, en fonct
ent passif.
4.2
en du finan
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0, les empru
nsuffisance
sement. Il
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sement de
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des emprun
- rapport à fin d
té conclu a
ans.
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pris. Depuis
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t, notammen
emple le ta
surer le risq
ntérêt.
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trepartie. Av
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tion des con
La struct
2.6.
ncement de
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unts représe
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faut soulig
t recours
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nts.
d’observations d
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2 ans et le
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2007, l’inve
e 18 juin 20
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variable d
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financeme
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vestisseme
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. La durée d
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x ou de pari
réserve le
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Pointe-à-Pitre
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U. A titre d’e
stissement.
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nte ne pe
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remboursem
58
des taux
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produite
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e de voir
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de -0,51
ans) ne
limite du
produits
du CHU
anger le
a vie de
CHU est
ecours à
exemple,
.
oeuvre de
10 a été
ermet à
épenses
ment du
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
59
EMPLOIS en M€
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Insuffisance d'autofinancement
0
9,18
15,75
0
0
0
Titre I - Remboursement des dettes financières
5,29
4,66
6,79
9,64
9,66
9,74
- Remboursement d'emprunts hors CLTR
5,29
4,66
6,79
9,64
9,66
9,74
Titre II - Immobilisations
18,40
17,38
19,95
11,39
16,03
13,40
- Immobilisations incorporelles
0,36
0,39
1,03
1,68
2,59
1,28
- Terrains
6,23
0
0
0
0
0
- Agencements et aménagements de terrains
0
0
0
0
0
0
- Constructions sur sol propre
2,11
1,33
2,86
2,06
3,74
1,86
- Constructions sur sol d'autrui
0
0
0
0
0
0
- Installations techniques, matériel et outillage
industriel
3,07
5,19
6,74
3,71
3,78
4,29
- Autres immobilisations corporelles
2,17
1,36
1,88
1,74
2,00
0,80
- Immobilisations en cours
4,47
9,10
7,44
2,21
3,92
5,16
Titre III : Autres emplois
0,00
0,09
0,006
0,04
0,01
0,06
- Participations et créances rattachées à des
participations
0
0
0
0
0
0
- Autres immobilisations financières
0,00
0,09
0,006
0,04
0,01
0,06
- Charges à répartir sur plusieurs exercices
0
0
0
0
0
0
TOTAL DES EMPLOIS
23,70
31,32
42,50
21,06
25,70
23,21
TOTAL DES EMPLOIS hors CLTR
23,70
31,32
42,50
21,06
25,70
23,21
APPORT AU FONDS DE ROULEMENT
20,39
0
7,69
7,09
0
11,38
RESSOURCES en M€
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Capacité d'autofinancement
8,40
0
0
7,45
15,18
23,63
Titre I - Emprunts
30,00
9,99
50,00
20,00
3,00
10,00
- Emprunts hors CLTR
30,00
9,99
50,00
20,00
3,00
10,00
- CLTR
0
0
0
0
0
0
Titre II - Dotations et subventions
0,58
8,42
0,17
0
1,73
0,96
- Subventions d'équipement reçues
0,58
8,42
0,17
0
1,73
0,96
Titre III - Autres ressources
5,106
200
18
704
260
0
- Cessions d'immobilisations
0
100
18
9
251
0
TOTAL DES RESSOURCES
44,09
18,62
50,19
28,15
20,17
34,59
TOTAL DES RESSOURCES hors CLTR
44,09
18,62
50,19
28,15
20,17
34,59
PRELEVEMENT SUR LE FONDS DE
ROULEMENT
0
12,69
0
0
5,53
0
CR
Pour fin
structur
maximu
dessous
Alors q
immobil
période
accrédit
financem
rouleme
La cham
dépense
Le déc
intermin
les étab
d’indépe
en anné
produits
critères
direction
La cham
du décr
limitatio
articles
budgéta
présent
financiè
L’établis
bancaire
proposé
trésorer
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Ces pro
liées à
tirages e
La mise
Finance
crédit.
Néanmo
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établiss
mécanis
pourrait
de faire
RC Guadeloupe
nancer les
re, la situatio
um des lim
s).
ue l’établis
lisations s’é
, le fonds
tent l’idée q
ment des
ent, mais da
mbre soulig
es de court
4.2
ret n° 201
nistérielle d
blissements
endance fin
ées excéda
s toutes act
, l’autorisat
n régionale
mbre rappe
ret du 14 dé
on du recou
L. 313-1 à
aire et fina
te section e
ères, notamm
ssement n'é
es en devis
ées par le c
rie, soit de
re de crédit
oduits perm
un investis
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e devrait ve
oins, comm
mmission d
ment de l
sements pu
sme d’émis
t leur perme
e pression
- rapport à fin d
travaux de
on financièr
mites et rés
ssement a
élève dans
de roulem
que le volum
investissem
ans une mo
gne par con
t terme par
La spéci
2.7.
1-1872 du
u 9 mai 20
s publics de
nancière ex
ant 10 ans
tivités confo
tion de l’AR
des finance
elle égaleme
écembre 20
urs à l’emp
L. 313-14 d
ncière (CD
st passible
ment ses a
étant pas a
ses sauf si
comptable e
es produits
t à long term
mettraient a
sement, ma
boursement
imminente
enir faciliter
me le mentio
es affaires
a sécurité
ublics de s
ssion group
ettre d’obte
sur les b
d’observations d
sécurisatio
re du CHU
serves prév
emprunté s
le même te
ent de l’éta
me d’empru
ments et a
oindre mesu
séquent qu
du financem
ficité du rec
14 décem
12 précisen
e santé, sur
xcédent 50
et le ratio
ondues excé
RS est néce
es publique
ent que l’ar
11, affirme
runt par les
du code des
BF) :
« Le
des dispos
rticles L. 31
utorisé à so
le risque d
est d’opter p
de type c
me (OCLT).
au CHU de
ais égaleme
ts au cours
du groupe
l'accès des
onne en avr
sociales et
sociale d
santé »,
« p
pée non sol
enir de meil
banques po
définitives – Cen
on indispen
nécessite e
vues par le
sur la pério
emps à 95 M
ablissemen
unt mobilisé
a contribué
ure que le d
ue le CHU,
ment à long
cours à l’em
mbre 2011,
nt les limite
r la base de
%, le ratio
de l’encou
édant 30%.
essaire ava
es.
rticle D. 614
expliciteme
s hôpitaux
s juridiction
non-respec
sitions prévu
11-1 à
L. 31
ouscrire des
e change e
pour des co
crédit à lo
.
e se procur
ent de facil
de l’exercic
ement de c
s CHU au m
ril 2014 la C
t à la missio
de l’Assem
présentée
lidaire, la n
lleures cond
our qu’elles
ntre hospitalier u
nsables au
en permane
e décret du
ode examin
M€, soit un
nt a augme
é n’a été ut
, pour par
ifférentiel e
sur la pério
terme.
mprunt
l’arrêté du
es et réserv
e trois critè
de durée a
urs de la d
. Si l’établis
nt de recou
45-73 du co
ent que la m
est passib
financières
ct des règl
ues par le li
13-14 ».
s emprunts
est intégrale
ntrats d’em
ng terme r
rer des res
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ce en foncti
oopération
marché oblig
Cour des co
on d’évalua
blée nation
comme un
nouvelle for
ditions sur
s reviennen
universitaire de
maintien d
ence de reco
u 14 décem
née 123 M
solde de 27
enté de 16
tilisé que pa
tie, à alim
mprunt-inve
ode sous re
u 7 mai 20
es du reco
res financie
apparente d
ette rappor
ssement rép
urir à l’emp
ode de la s
méconnaiss
le des sanc
s relatifs à la
es de gest
ivre III du co
structurés
ement couv
prunt avec
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sources bu
tion de trés
on de ses b
sanitaire (G
gataire et d
mptes dans
tion et de c
nale intitulé
ne améliora
rmule envis
le marché o
nt à des n
Pointe-à-Pitre
de la sécuri
ourir à l’em
mbre 2011
M€, le mont
7 M€. Sur l
M€. Ces
artiellement
menter le fo
estissemen
evue, a fina
012 et la c
urs à l'emp
ers à savoi
de la dette,
rté au total
pond à deux
runt, sur av
santé publiq
sance des rè
ctions prév
a Cour de d
tion énoncé
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ou à des e
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une option
le (CLTR)
udgétaires,
sorerie grâc
besoins.
GCS) CHU
diversifier l'a
s sa commu
contrôle des
ée « la de
ation techn
sagée par l
obligataire,
niveaux de
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CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
61
économiquement plus acceptables. Un montage plus intégré, impliquant une solidarité entre
les émetteurs, apparaîtrait en revanche dangereux,… ».
La chambre rappelle à ce propos que la question de la certification des comptes et de la
cotation de la garantie qui en résulte est un sujet à enjeu déterminant pour le CHU dans le
cadre de son éventuelle adhésion à un GCS de cette nature.
4.3. Le plan de retour à l’équilibre 2009-2011
Présenté en fin d’exercice 2008, l’achèvement du plan de relance à l’équilibre était fixé à la
clôture 2011 sur la base d’un déficit structurel calculé après retraitement du résultat
comptable 2007, soit 16 M€ (15 957 381 €). Sans attendre la mise en oeuvre de ce plan, le
CHU, toujours en réponse à une demande de l’ARH de juin 2008, avait déjà retenu un
ensemble de dispositions immédiatement applicables visant à maîtriser les dépenses et
optimiser ses recettes. La démarche de retour à l’équilibre devait donc s’apprécier sur les
quatre exercices financiers couvrant la période 2008-2011, avec des objectifs de résultats
précisément fixés chaque année.
A l’issue d’un diagnostic de la situation du CHU, trois volets d’action étaient visés dans ce
plan :
La réorganisation des services
-
Les services de soins
-
Les services administratifs et logistiques
La réduction des charges
-
La maîtrise des dépenses de personnel
-
La maîtrise des dépenses d’approvisionnement
L’optimisation des recettes
-
L’amélioration du traitement des dossiers de séjour
-
La chaîne de recouvrement : recueil, codage, facturation et traitement
-
La mise en oeuvre de nouveaux outils de gestion
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63
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Conseil de surveillance
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4
4
Directoire
4
6
5
7
Source : données du CHU
5.1.1.1.
Le conseil de surveillance
Le conseil de surveillance se prononce sur la stratégie et exerce le contrôle permanent de la
gestion de l'établissement. L’article L. 6143-5 du code de la santé publique dispose que le
conseil de surveillance est composé comme suit :
« 1° Au plus cinq représentants des collectivités territoriales ou de leurs groupements,
désignés en leur sein par les organes délibérants des collectivités territoriales ou de leurs
groupements, parmi lesquels figurent le maire de la commune siège de l'établissement
principal ou son représentant et le président du conseil général ou son représentant ;
2° Au plus cinq représentants du personnel médical et non médical de l'établissement public,
dont un représentant élu parmi les membres de la commission des soins infirmiers, de
rééducation
et
médicotechniques,
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désignés
à
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respectivement par la commission médicale d'établissement et par les organisations
syndicales les plus représentatives compte tenu des résultats obtenus lors des élections au
comité technique d'établissement ;
3° Au plus cinq personnalités qualifiées, parmi lesquelles deux désignées par le directeur
général de l'agence régionale de santé et trois, dont deux représentants des usagers au
sens de l'article L. 1114-1, désignées par le représentant de l'Etat dans le département.
Le nombre de membres de chacun des collèges est identique ».
Le conseil de surveillance a été mis en place le 23 juin 2010 et a adopté son règlement
intérieur le 30 juin 2011. Il comprend lors de sa première réunion 14 membres
(4 représentants des collectivités territoriales, 5 représentants du personnel et 5
représentants des usagers et personnalités qualifiés). Sa composition a évolué à 7 reprises
depuis 2010. La chambre remarque que l’égalité du nombre de membres de chacun des
collègues n’a jamais été respectée dans les compositions fournies par l’établissement :
-
soit parce que le collège des représentants des collectivités était limité à 4 membres
jusqu’en janvier 2011,
-
soit parce que la commission des soins infirmiers, de rééducation et médico-
technique (CSIRMT) n’était pas mise en place, cette commission ayant un membre
au titre du collège du personnel,
-
soit parce qu’un siège était vacant dans le troisième collège.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
64
5.1.1.2.
Le directoire
Le directeur, président du directoire, conduit la politique générale de l'établissement. Il
représente l'établissement dans tous les actes de la vie civile et agit en justice au nom de
l'établissement. Il dispose d’une compétence générale, d’une compétence de gestion « après
concertation » et d’un pouvoir de nomination incluant les praticiens au directoire et les chefs
de pôle. Le directoire a été mis en place et a adopté son règlement intérieur le 21 juin 2010.
Il est composé de 9 membres (5 de droit et 4 membres nommés).
5.1.1.3.
L’organisation managériale
Ce sujet est sans doute un des éléments majeurs de l’analyse du fonctionnement ou des
dysfonctionnements du CHU.
5.1.1.3.1.
La direction générale et ses contraintes
La première crise majeure dans l’exercice de la fonction de direction du CHU remonte à
1998 avec la mise à pied de la direction générale et de ses principaux cadres. Depuis,
4 directeurs généraux se sont succédé à la tête de l’établissement. Les conflits sociaux de
1998 et surtout de 2006 restent particulièrement présents dans la mémoire collective,
notamment comme ayant abouti à l’éviction de deux directeurs généraux.
Ce qui caractérise le fonctionnement de la direction générale du CHU au cours des
15 dernières années, c’est non seulement l’alternance de phases de crises sociales suivies
d’accalmies peu durables, mais également l’absence de définition d’axes stratégiques
majeurs clairs dans quelque domaine que ce soit, qu’il s’agisse de projet d’établissement
(inexistant à ce jour), de projet médical global (validé en octobre 2013), ou de projet social
non mis en oeuvre. Il faut également rappeler à la décharge de la direction générale
qu’aucun contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM) n’a jamais été conclu depuis
1996 en Guadeloupe, exception nationale unique en l’espèce.
5.1.1.3.2.
L’organisation de l’équipe de direction
Il n’existe pas d’organigramme de direction stabilisé au CHU sur la période placée sous
revue. Néanmoins, la chambre constate qu’une nouvelle organisation est en place depuis
novembre 2013.
L’absence de mobilité de certains cadres de direction semble être institutionnalisée. Tout
nouveau directeur général se trouve donc confronté à l’absence de possibilité de redéfinir
librement son équipe. Il doit donc composer avec ce postulat quelles que soient les
inaptitudes ou incompatibilités relevées dans l’exercice des fonctions portées par certains
cadres de sa direction. La solution visiblement mise en oeuvre consiste donc à accepter le
recrutement « en double » sur certains postes, à créer de nouveaux postes de suppléance,
et donc à accepter tacitement la constitution de solutions aménagées.
Le nombre de directeurs de premier rang est relativement élevé pour un établissement de
cette taille (entre 11 et 15 sur la période). Si les affectations thématiques des directeurs ne
présentent
a priori
pas de chevauchements, le défaut d’organisation et le manque de
communication entre ces directeurs est partiellement comblé par la mise en place de
fréquents comités de direction sous l’égide du directeur général depuis 2012. La chambre
encourage la tenue de ces réunions de direction qui deviennent progressivement
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RC Guadeloupe
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5.2
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2.1.
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Journées exp
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Journées exp
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2.2.
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mbre de
xistence
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espond à
tableau
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
69
Source : HospiDiag et corrections du CHU
En revanche, force est de constater que les données relatives aux taux d’occupation sont en
phase par rapport à la SAE en ce qui concerne les tendances, mais pas en ce qui concerne
les valeurs absolues. Pour 2012, le CHU présente des taux d’occupation des lits en
médecine (73,7) et en obstétrique (56) qui sont en diminution sur la période et sont peu
performants par rapport aux autres établissements hospitalo-universitaires (catégorie) ou de
même typologie. Paradoxalement, c’est la chirurgie qui présente le taux le plus performant.
Source : PMSI
En légère augmentation sur la période, le pourcentage d’entrées en hospitalisation complète
(HC) en provenance des urgences est de 63,6 % et le pourcentage de séjours de niveau de
sévérité 3 et 4 est parmi les plus faibles de la catégorie (7,81 pour 8,83 au 2
ème
décile de la
catégorie 2012), tout comme le pourcentage des groupes homogènes de séjour
recours/référence (3 pour 2,2 au 2
ème
décile de la catégorie 2012). Ces éléments traduisent
un faible taux d’activité programmée et un faible niveau d’activité complexe.
2008
2009
2010
2011
2012
Nb de lits installés en médecine
330
305
292
302
322
- dont lits de soins intensifs
6
30
22
12
26
- dont lits de surveillance continue
6
12
12
12
16
- dont lits de réanimation
41
44
56
61
62
Nb de places installées en médecine
60
64
70
61
65
Nb de lits installés en chirurgie
197
165
153
153
155
Nb de places installées en chirurgie
17
17
17
18
18
Nb de lits installés en obstétrique
97
91
84
78
80
Nb de places installées en obstétrique
6
6
6
6
6
2008
2009
2010
2011
2012
2ème
décile
8ème
décile
2ème
décile
8ème
décile
2ème
décile
8ème
décile
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60,3
62,6
62,3
63,6
0,1
71,5
24,2
44,5
17,9
58
Taux d'utilisation / occupation des lits
en médecine
81,5
79,4
81,3
74,8
73,7
33,9
73,7
71,1
82,7
71,7
81,6
Taux d'utilisation / occupation des lits
en chirurgie
64,5
75
88,4
90
82,2
39,6
82,2
84,9
98,1
46,1
86,7
Taux d'utilisation / occupation des lits
en obstétrique
59,4
57,1
59
57,2
56
44,5
56
56
72,7
57,3
76,6
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Région 2012
Catégorie 2012
Typologie 2012
CR
Source :
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5.2
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5.2.3
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6 835
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2 077
8 431
5 249
2 154
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
71
5.2.3.2.
Pour les passages aux urgences
La cotation des actes de la classification commune des actes médicaux (CCAM) est
effectuée par les médecins à l’aide du logiciel RESURGENCES et est vérifiée par les
secrétaires médicales. L'ensemble de ces actes est ensuite remonté dans l’application GAM.
L’ordonnateur précise dans ses observations qu’une passerelle automatisée des actes de
RESURGENCES vers GAM a été mise en place en 2013 afin d'éviter les saisies
redondantes chronophages et sources d'erreurs d'un logiciel à l'autre.
5.2.3.3.
Pour les hospitalisations
Au moment de la rédaction du compte-rendu d'hospitalisation, en principe au plus tard
jusqu'au 25 du mois suivant – délai de rigueur pour la production du PMSI – le médecin écrit
en clair sur une feuille institutionnelle les actes et les diagnostics (principal, reliés et
associés) relatifs au séjour du patient sorti
14
.
En neurologie, une séance de codage est en principe organisée chaque mercredi pour coder
par lot les résumés d’unité médicale (RUM) des patients sortis de la semaine précédente. En
dermatologie/maladies infectieuses, les infirmières remplissent une feuille de RUM en se
référant aux cotations inscrites par le médecin sur la feuille de prescription. Les secrétaires
se chargent par la suite de coder ces informations, puis de les enregistrer dans les logiciels
« ARES PMSI » et « ARES CCAM ».
Cette tâche d'enregistrement du codage des RUM peut se révéler relativement ardue pour
les secrétaires dans le cas de services où les actes concernés sont nombreux. En
diabétologie/endocrinologie, à la différence de l'hospitalisation de jour où les secrétaires sont
chargées de la cotation du PMSI, ce sont les médecins eux-mêmes qui effectueront la
codification et l'enregistrement des RUM dans « ARES PMSI ». En chimiothérapie en
hospitalisation de jour, l'enregistrement des RUM s'effectue rétrospectivement sur une base
mensuelle (à faire avant le 23 de chaque mois pour l'activité du mois précédent) en se
référant au dossier médical/de soins et au numéro de séjour des patients listés par
l'application « ARES PMSI ».
5.2.3.4.
Les difficultés recensées et leurs conséquences
Il n'est pas possible de saisir en temps réel les diagnostics et séances de chimiothérapie car
les numéros de séjour du mois courant n'apparaissent pas toujours normalement. En
radiothérapie, la saisie des actes est effectuée par les manipulateurs à l’aide du logiciel
« ARES CCAM », alors que toute l’activité du service est pourtant gérée dans un logiciel
« métier » non intégré au système d’information du CHU. La reprise des actes produits et
saisis dans les logiciels « métiers » n’est pas systématique dans l’application « ARES
PMSI » ; leur reprise dans le logiciel GAM n’est donc pas exhaustive.
Le principe de la fiche de circulation pour le recueil des actes externes (venant en
complément de l’acte initial enregistré à l’accueil administratif de la consultation) induit à la
fois une retranscription et une transmission d’informations en temps différé. Ces tâches sont
sources d’erreurs et nuisent à l’efficience du processus de facturation.
14
Analyse des processus de production des soins, établi dans le cadre du projet d’informatisation du dossier patient – février 2013 – CHU Pointe-
à-Pitre
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existe une
tivité (T2A)
spitaliers pu
un même
onise les m
coopérations
arence finan
moyens de
2010
20
1,23
1,25
1,26
1,17
1,09
1,01
30,8
8,2
18,2
29,8
448 12
292 631
685 61
24,24
24,70
41,37
53,35
21,80
23,94
29,9
34,5
50,0
111,9
20,7
12,8
Etablissement
ntre hospitalier u
séjour » (I
rant leurs du
(poids des
admissions
oc-service)
s l’établisse
1, l’établiss
s hôpitaux.
es durées m
ecine. Pour
me catégorie
ag. Il appar
ains) que l
érieurs au
épenses a
est correct
es destinée
en chirurgie
he à mesur
idence le
die. L’objec
marge de p
ublics et pr
soin. C’est
modes de fi
s, l'équité e
ncière. La T
réduire le c
011
2012
2
1,20
0,8
1,14
0,9
0,97
0,9
21
12
360 138
14
21,47
14
56,71
20
19,91
0,
35,3
0,
43,3
38
18,5
4,4
universitaire de
P-DMS) p
urées moye
s entrées
et des sorti
. L’IP-DMS
ement au n
sement a de
moyennes d
les trois di
e ou de la m
raît toutefoi
es coûts d
CHU de Po
administrativ
et doit être
es aux acte
ambulatoir
rer l’efficaci
manque à
ctif est de s
progrès sign
rivés, la tar
t une class
nancement
entre établis
T2A sert ég
coût du serv
2ème décile
8ème décile
86
1,58
99
1,22
91
1,07
42 819
343 374
4,34
20,20
0,31
56,71
00
49,12
0
68,9
8,8
185,5
4
16,3
Région 2012
Pointe-à-Pitre
permet d’ap
ennes de sé
par les ur
ies, délai de
S MCO rap
ombre de j
es durées d
de séjour se
isciplines M
même typolo
is par comp
es personn
ointe-à-Pitr
ves, logisti
e lu à la lum
es sous ane
re reste très
ité de la ch
gagner lié
se rapproch
nificative.
rification à
sification gé
t entre les s
ssements (à
alement un
vice rendu.
2ème décile
8ème dé
0,95
1,08
0,97
1,14
0,96
1,14
238 247
323 950
18,74
25,49
70,39
86,90
9,56
27,77
37,5
59,9
66,8
129,9
5,2
18,5
Catégorie 2012
73
pprocher
éjours. Il
rgences,
e remise
pporte le
journées
de séjour
e situent
MCO, les
ogie.
paraison
nels non
re. Cette
ques et
mière du
esthésie,
s faible.
haine de
é à une
her de 0.
l'activité
érée par
secteurs
à activité
n objectif
écile
2ème décile
8èm
0,94
1,08
0,88
1,06
0,93
1,05
221 704
348 8
17,82
23,26
68,78
88,97
31,81
58,75
62,1
80,1
58,4
126,2
2,6
11,9
Typologie 20
me décile
817
6
7
5
2
12
CR
Ce mod
Sociale
A l'origi
chacun
il était
corresp
services
Le prem
et des p
individu
sous-gr
Le deux
d'ensem
coût rée
Or la d
(ONDAM
propres
Le trois
d'efficie
étant al
services
domicile
Dans la
l’activité
exemple
Ces élé
activité,
pôles s’
d’ensem
5.
Le dern
matière
s
RC Guadeloupe
de de tarific
de 2004, a
ne, il s'agis
à une activ
possible d
ondante. P
s hospitalie
mier écueil r
pratiques m
elle, sans
roupes com
xième écue
mble par jou
el. Ceci pos
dépense es
M), qui fixe
s à un établi
sième et d
ence recherc
lignés sur l
s. Le risque
e, pris en ch
5.3
a logique d
é et les rec
e est prése
éments cons
leurs resso
’avère à ce
mble et la ré
.4. Le pilot
nier rapport
de ressour
Une nette a
Une intens
professionn
Un bilan tr
l’emploi pré
Une insuffis
salariale
Une fonctio
L’absence d
- rapport à fin d
cation, impo
a généré en
ssait d'isole
vité hospital
d'en fixer u
Pourtant l'in
rs.
réside dans
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compter le
promettant
eil est la dét
urnée ou e
se la questio
st préétabli
e un coût m
issement te
dernier prob
ché, et si p
es coûts, la
e est que le
harge par le
Le suivi c
3.3.
de la T2A,
cettes géné
nté en anne
stituent l’éb
ources, leur
e stade indis
épartition en
tage de la g
de contrôle
rces humain
amélioration
sification du
nelle
ès positif d
écaire, entra
sante rigueu
on éclatée e
de réorgani
d’observations d
rté des pay
France non
er des group
lière de cou
un tarif et
strument n
s la difficulté
iffère d'un
es autres m
l'homogéné
termination
ntrer dans
on de l'exac
ie par l'obj
moyen, donc
el que le CH
blème est
possible orie
a T2A bloq
es patients
eur organism
comparé de
des tablea
érées par p
exe 2.
bauche des
rs recettes e
spensable
ntre les activ
gestion de
e de l’IGAS
nes :
n du recrute
u développ
des disposit
ainant une h
ur de gestio
et une coord
sation des
définitives – Cen
ys anglo-sax
n pas une T
pes homog
urt séjour. U
d'allouer a
'aboutit pas
é de définir
établisseme
maladies qu
éité.
des coûts,
les détails,
ctitude des
jectif nation
c factice, p
HU de Pointe
de pouvoir
enter l'activ
ue les rece
les moins
me d'assura
es séjours e
aux de suiv
pôle. Ils son
moyens à
et leurs dép
pour perme
vités excéd
es ressourc
, datant de
ement et du
pement de
tifs d’intégr
hausse des
on des effec
dination insu
services ma
ntre hospitalier u
xon par la l
T2A, mais d
gènes de m
Une fois les
aux différen
s forcémen
r un GHM :
ent à un au
ue présente
pour laque
, entre un c
connaissan
nal des dé
ar GHM, sa
e-à-Pitre.
r fixer les
vité vers cer
ettes et abo
rentables s
ance.
et des recet
vi ont été é
nt diffusés
donner aux
penses. La
ettre au dire
dentaires et
ces humain
2003, men
dérouleme
la formatio
ration, de p
effectifs
ctifs et l’abs
uffisante
algré la réd
universitaire de
oi de financ
des T2A, rec
alades (GH
coûts de l'a
nts établiss
nt à rationa
l'évolution
utre et la g
e le patient
elle il faut ch
coût moyen
nces des do
épenses d’a
ans considé
tarifs en f
rtains soins
outit à rogn
soient renvo
ttes
élaborés en
en réunion
x pôles en
mise en pla
ectoire d’as
déficitaires
nes
ntionnait les
ent de carriè
on initiale e
promotion e
sence de m
uction du te
Pointe-à-Pitre
cement de
créant la co
HM), corres
activité déte
sements la
aliser les co
des connai
ravité patho
t, créent au
hoisir entre
n par patien
onnées fina
assurance
érer les con
fonction du
s. Les tarifs
ner les budg
oyés à des
n vue de c
de directio
vue d’analy
ace des con
ssurer la co
s.
s points suiv
ère des age
et de la fo
et de résor
maîtrise de la
emps de tra
74
Sécurité
onfusion.
spondant
erminés,
somme
oûts des
ssances
ologique
utant de
un coût
nt ou un
ancières.
maladie
ntraintes
u niveau
retenus
gets des
soins à
omparer
on et un
yser leur
ntrats de
ohérence
vants en
ents
ormation
ption de
a masse
avail
CR
Le rapp
mise en
syndica
33 jours
La miss
de cert
effectifs
salariale
l’amélio
Les do
différen
le périm
annexes
moyenn
d’expres
ces déf
tendanc
Les effe
augmen
pour la
l’équilib
personn
Titu
CDI
CDD
tota
Cha
Coû
(
L’évolut
croissan
augmen
protoco
syndica
l’augme
donnée
redéma
décemb
RC Guadeloupe
port signala
n oeuvre d
ale sur les d
s d’absence
sion d’appui
taines reco
s à leur nive
e (…), la
oration du fo
5.4
nnées prod
ces de lect
mètre de c
s et le nom
ne annuelle
ssion des e
finitions ren
ces.
5.4.1
ectifs du C
nté de 9,3
sous-pério
re défini à
nels titulaire
en ETP mo
sauf 2008 (
ulaire et stagi
I
D
al
arges de pers
ût salarial/ET
(Source : do
tion des C
nce de plus
ntation s’es
les de lutte
ales. Entre
entation des
s mensuel
arré par le
bre 2012.
- rapport à fin d
ait égaleme
des politique
décideurs, p
e/an toutes
i de l’IGAS
ommandatio
eau actuel
modificatio
onctionneme
L’augme
4.1.
duites par
ture qui rés
omptage p
mbre d’effe
e, en moye
effectifs peu
d peu aisé
1.1.
Une é
CHU tous b
% entre 20
ode 2009-2
la fin de l’
es et les con
oyen annuel
(décembre)
iaire
sonnels (M€)
TP (milliers d
onnées du
CDD, en di
s de 15 % e
st traduite e
e contre la
2010 et 2
s ETP des
les révèle
recrutemen
d’observations d
nt que
« à
es de pers
par une forte
causes con
de mai 201
ons parfois
(…), la rem
on de la s
ent de la ge
entation des
le CHU ou
sultent de m
peut différer
ectifs en éq
nne mensu
t être effect
e leur com
évolution de
budgets con
008 et 2013
2011 à la m
’année 200
ntractuels à
2008
2 424
57
514
2 995
)
179,001
d’€)
59,8
CHU-DRH)
minution s
entre janvie
ensuite par
a précarisat
2012, la d
s stagiaires
que le pr
nt de 37 E
définitives – Cen
décharge,
sonnel a ét
e conflictua
nfondues pa
13 n’a pu qu
s ancienne
mise à plat d
structure de
estion du pe
s effectifs et
u collectées
modalités di
r en fonctio
quivalent te
uelle ou en
tué en ETP
paraison im
es effectifs n
nfondus (bu
3 alors que
mise en oe
08. L’augme
à durée indé
2009
2 430
121
510
3 041
1
184,420
60,6
)
sur la totali
er 2009 (50
des intégra
tion, signés
diminution
s et titulaire
rocessus d
ETP sur le
ntre hospitalier u
menée dan
té entravée
alité et par u
ar agent) »
.
ue constate
s, parmi le
des effectifs
es effectifs
ersonnel (…
t de la mass
s en cours
fférentes de
on de la p
emps plein
n effectif de
P ou en effec
mmédiate m
non maitris
udget princ
e cette péri
oeuvre des m
entation ob
éterminée.
2010
2 486
130
545
3 161
193,718
1
61,3
ité de la p
07 ETP) et j
ations de c
s entre la
des CDD
es et des
d’accroissem
budget de
universitaire de
ns un clima
e par une c
un absentéi
er l’absence
esquelles,
s (…), la ma
s et de leu
…) ».
se salariale
s d’instructi
e définition
prise en co
(ETP) peu
e fin de mo
ctif physiqu
mais n’altère
ée
cipal et bud
ode est ce
mesures du
servée con
2011
2
2 582
2
106
1
471
4
3 159
3
196,601
20
62,2
6
période, es
janvier 201
contractuels
direction e
trouve sa
ETP de C
ment du no
e l’hôpital e
Pointe-à-Pitre
at social di
constante p
isme élevé
e de mise e
« le maint
aîtrise de la
ur répartiti
ion présent
des effecti
ompte des
ut être exp
ois. Enfin,
e. La multip
e pas l’ana
dgets annex
ensée corre
u plan de
ncerne à la
2012
201
607
2 6
187
29
415
36
209
3 2
1,333
213,
62,7
65
st en revan
1 (581 ETP
s, dans le c
et les organ
contrepart
CDI. L’exam
ombre de
entre septe
75
fficile, la
pression
(plus de
n oeuvre
tien des
a masse
on (…),
tent des
ifs. Ainsi
budgets
primé en
le mode
plicité de
lyse des
xes) ont
espondre
retour à
fois les
13
00
96
64
60
573
,5
nche en
P). Cette
cadre de
nisations
tie dans
men des
CDD a
embre et
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
76
(Source : données CHU-DRH)
Cette tendance s’est poursuivie en 2013 pour revenir à la situation qui avait précédé les
mesures d’intégration de l’automne 2012. Cette situation est révélatrice d’un défaut
permanent de maîtrise des effectifs dont certains à-coups sont à rapprocher des périodes
d’absence de directeur général et/ou d’
intérim
au poste de directeur des ressources
humaines. La chambre remarque en outre que la présence de la mission d’appui de l’IGAS
entre novembre 2012 et avril 2013 n’a pas incité l’établissement à la retenue.
(Source : données CHU-DRH)
Le tableau suivant permet de préciser l’origine de l’augmentation des effectifs à l’hôpital,
remarque étant faite que la sous-période 2009-2011 correspondant au plan de retour à
l’équilibre est marquée par une relative stabilité (évolution globale de + 2 %). L’augmentation
des effectifs est essentiellement due à celle des personnels non médicaux (+ 31,6 %) contre
(+ 21 %) pour les personnels médicaux.
Source : HospiDiag
Parmi les personnels non médicaux, l’évolution est plus marquée chez les personnels
administratifs et de direction (+ 52,5 %), les personnels techniques (+ 29,7 %) et les
personnels de soins (+ 29,1 %).
MOIS
J
F
M
A
M
J
J
A
S
O
N
D
EFFECTIF
MOYEN 2012
TITULAIRE/STAG
2 499
2 490
2 483
2 473
2 471
2 480
2 591
2 588
2 601
2 591
2 586
2 586
2 536
CDI
139
136
135
137
137
131
102
103
287
295
295
294
182
CDD
456
484
504
510
511
499
413
423
244
261
275
282
405
TOTAL
3 094
3 109
3 121
3 120
3 118
3 109
3 106
3 113
3 133
3 147
3 156
3 162
3 124
MOIS
J
F
M
A
M
J
J
A
S
O
N
D
EFFECTIF
MOYEN 2013
TITULAIRE/STAG
2 565
2 557
2 553
2 540
2 532
2 527
2 522
2 521
2 512
2 508
2 503
2 505
2 529
CDI
293
289
290
289
289
289
291
287
287
288
289
289
289
CDD
298
305
319
333
345
347
349
392
408
405
413
413
361
TOTAL
3 156
3 151
3 162
3 162
3 165
3 163
3 161
3 199
3 206
3 201
3 205
3 206
3 178
2008
2009
2010
2011
2012
ETP médicaux
234
255
275
250
297
- dont médecins (hors anesthésistes)
119
141
147
129
152
- dont chirurgiens (hors gynécologues-obstétriciens
33
37
39
46
43
- dont anesthésistes
14
17
26
16
20
- dont gynécologues-obstétriciens
14
12
14
10
18
ETP non médicaux
2 474
3 020
3 145
3 090
3 256
- dont personnels de direction et administratifs
295
452
452
432
450
- dont personnels des services de soins
1 641
1 924
1 996
1 988
2 119
- dont personnels éducatifs et sociaux
36
50
53
52
57
- dont personnel médico-techniques
162
182
186
180
188
- dont personnels techniques et ouvriers
340
413
458
438
441
CR
Du fait
salariale
déséqu
ne plus
part de
régulari
CGSS.
Face à
recomm
directem
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compéte
La miss
ambitieu
oeuvre.
dans le
maîtrise
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cadrage
Qu’il s’a
services
niveau
entre la
La cham
impact s
validatio
A contr
régulari
aux obje
La direc
directeu
15
Voir à ce
RC Guadeloupe
5.4.1
de l’évoluti
e de 14,1 %
ilibre de so
verser ses
cotisation
sées par a
cette dériv
mande que
ment à l’éch
ns de recru
ence du dir
5.4.1
sion d’app
ux en mati
L’absence
s EPRD su
e de l’évolu
des consig
e en avril 20
agisse de la
s de soins
de l’exercic
direction g
mbre rema
sur la maîtr
on :
Projet de ré
Projet de di
Rapport su
Projet relati
Projet socia
Projet relati
rario, chaq
té est parfo
ectifs initiale
5.4
5.4.2
ction des r
urs et à l’ins
sujet le point 5.4.2
- rapport à fin d
1.2.
Une d
on des effe
% entre 20
n EPRD, ce
s cotisations
ouvrière, ce
aide except
e budgétair
le pilotage
helon de la d
utement (co
recteur géné
1.3.
Un p
ui a consi
ère de res
de volonté,
uccessifs qu
ution des ef
gnes précis
012.
a réduction
par redéplo
ce 2011, a
énérale et l
rque qu’il e
rise des effe
éorganisatio
imensionne
r le dimens
if aux servic
al
if à la direct
ue conflit
ois douteuse
ement affich
Une dire
4.2.
2.1.
Une o
essources
suffisance d
2.7.
d’observations d
dérive des d
ectifs, le CH
008 et 2013
ette évolutio
s sociales e
e qui est co
ionnelle de
re, résultan
de la mas
direction gé
ourte durée
éral.
ilotage volo
déré que
ssources hu
tant de la p
ui n’ont pas
ffectifs. Elle
ses donnée
des effectif
oiements ou
ucun bilan
a direction
existe plusi
ectifs mais
on de la DR
ement des e
ionnement
ces techniq
tion des ach
social abo
e
15
, et, qui s
hés pour un
ection des re
organisatio
humaines
de cadres ad
définitives – Cen
dépenses sa
HU est con
3. Combiné
on de la ma
en 2012, p
onstitutif d’u
e l’Etat et p
nt de l’absen
sse salariale
énérale. A c
e ou renouv
ontariste à r
le PRE 20
umaines et
part de l’exé
s intégré les
e est égalem
es par l’ord
fs des serv
u du plafon
n’est dispo
des ressou
ieurs docum
qu’aucun d
RH
effectifs soig
du futur CH
ues
hats
utit à la s
se traduisen
n retour à l’é
essources h
on à repense
est confron
dministratifs
ntre hospitalier u
alariales diff
fronté à un
ée à des di
asse salaria
our la part
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CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
78
hospitalière). Depuis décembre 2006, 6 directeurs adjoints chargés des ressources
humaines se sont succédé soit une durée moyenne de présence de 14 mois incluant 3
périodes d’
intérim
dont certaines de plus de 9 mois. Le principal collaborateur du directeur
est un ingénieur principal chargé de projet, suite au départ de l’unique attachée
d’administration hospitalière en janvier 2013.
Sur une trentaine d’agents à temps plein, près d’un tiers a fait l’objet d’un mouvement sur la
période placée sous revue.
ANNEES
TOTAUX
MOUVEMENTS
2008
2009
2010
2011
2012
2013
entrées
01
02
05
02
01
00
11
sorties
00
01
04
04
01
01
11
Les agents en formation et en longue maladie ne sont pas pris en compte dans cet état.
La direction des ressources humaines ne dispose pas des fonctions relatives au dialogue
social, à la formation continue et aux conditions de travail. Ces missions sont confiées à une
autre direction placée sous la responsabilité d’un directeur, sociologue de formation, titulaire
d’un CDI de chef de centre informatique et qui a assuré pendant près d’un an l’
intérim
à la
tête de la direction des ressources humaines. La DRH est cloisonnée en départements et
cellules ne bénéficiant pas tous d’un encadrement de proximité :
Cellule des concours
Département des mouvements
Département de la solde
Cellule carrières
Cellule gestion des contractuels
Cette organisation matricielle contribue à éparpiller la prise en charge et le traitement des
dossiers des agents.
Les personnels du CHU ont des interlocuteurs différents selon leur statut (contractuels ou
titulaires), et selon que leur question relève de l’absentéisme, de leur carrière, de leur paie
ou de leur retraite. Cela contribue à une certaine déresponsabilisation des agents de la DRH
qui ne sont référents pour aucun dossier, cette organisation génère de nombreuses
carences dans le suivi des dossiers en raison d’un manque de communication interne et de
l’absence d’un système d’information partagé. Ici aussi, des projets de réorganisation
insistant sur l’intérêt d’une polyvalence des agents et la nécessité d’une communication
accrue autour d’un système d’information n’ont jamais vu le jour en l’absence de validation.
Depuis novembre 2013, l’ensemble des fonctions relatives à la gestion du personnel non
médical a été réuni au sein d’une seule et même direction disposant de l’ensemble des
compétences (dont la formation, les conditions de travail, le dialogue social). La direction des
ressources humaines (hors volets formation et conditions de travail) est organisée en trois
secteurs, à savoir :
-
Secteur « carrières »,
-
Secteur « paie / mouvements »,
-
Secteur « contractuel ».
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
79
L’ordonnateur précise dans ses observations que
« la chaîne hiérarchique a été
reconstituée, des recompositions ont été opérées et d’autres changements sont en cours. Ils
font systématiquement l’objet de discussions sans que l’on puisse parler de démarche
globale de réorganisation »
. Des binômes ont par ailleurs été mis en place pour qu’aucun
agent ne détienne seul une compétence.
La chambre considère qu’il est indispensable de renforcer cette direction et de l’engager à
reconquérir la place qui doit être la sienne. Dans ce but, la chambre recommande la
définition d’un projet de service pour cette direction, articulé autour de la polyvalence, de la
communication et mettant en exergue l’existence d’un encadrement intermédiaire à la tête
de chaque département et service.
5.4.2.2.
Une gestion des commissions administratives paritaires à formaliser
La gestion administrative des commissions administratives paritaires locales (CAPL)
présente jusqu’en 2012 des retards conséquents et un rattrapage est observé depuis le
milieu de l’année 2013. La fiche récapitulative des CAPL pour la période 2008-2012,
présentée en annexe 3, montre une tenue insuffisante des réunions, en particulier en 2012.
En fonction de la nature de la CAPL (par catégories de personnels et par grades), la
fréquence annuelle des réunions varie de 1 à 3 pour celles qui sont convoquées. Certaines
ne font l’objet d’aucune réunion en 2010 et en 2012.
L’article 21 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives à la
fonction publique hospitalière dispose que les CAPL sont consultées sur les projets de
titularisation et de refus de titularisation ainsi que sur les questions d’ordre individuel (cumul
d’activité notamment). Elles fournissent des avis sur les listes d’aptitude à l’intégration, les
notes et appréciations des agents, les propositions d’avancement d’échelon, les propositions
d’avancement de grade. L’irrégularité d’organisation des CAPL se traduit par l’absence de
production d’avis et consécutivement par l’absence de prise de décision individuelle.
In fine
,
ce sont les agents qui sont individuellement pénalisés par cette désorganisation (absence de
communication des notes chiffrées définitives, blocage des avancements) ou injustement
avantagés quand des décisions sont prises sans répondre aux impératifs du droit (sans avis
de la CAPL compétente).
A titre d’exemple, des CAP réunies en 2013 ont traité de la notation de l’année 2011. La
péréquation concernant cette année n’ayant pas été faite à temps, l’étude des avancements
de grades et d’échelons qui aurait dû avoir lieu en 2012 et dont les effets sur les
avancements peuvent remonter au début de l’année 2011, ne sera effectuée au mieux qu’en
2013, induisant des rappels non négligeables à venir et donc un impact conséquent sur la
masse salariale.
A l’inverse, la tenue tardive de CAPL concernant la titularisation des agents, convoquée
alors que le stage des agents est déjà terminé, contraint indirectement l’établissement à
titulariser ces agents.
La chambre rappelle que la tenue des CAPL est soumise à des directives précises prévues
par la réglementation et invite l’établissement à respecter les fréquences et la
programmation de ces réunions. Elle observe qu’une partie du retard a été rattrapé en 2013.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
80
5.4.2.3.
Une gestion du temps de travail hétérogène et un suivi inexistant
Une charte de gestion du temps de travail a été validée par le conseil d’administration en
février 2002. Par la suite, un accord relatif à la réduction du temps de travail a été approuvé
en juillet 2002. Il n’a pas été révisé depuis cette date. Seul un projet de guide de gestion du
temps de travail a été élaboré en 2010, mais faute de validation par le comité technique
d’établissement, il n’a jamais été ni diffusé ni mis en oeuvre, même partiellement.
A ce jour, aucun document, aucune procédure validée ne permettent de réaliser un état des
jours et des heures de travail dus.
Néanmoins, des aménagements particuliers et précisions ont été inclus au document de
2002. Ils concernent le temps de repas, les modalités de prise des jours de repos, une
bonification de 25 jours de congés pour les départs en retraite, les jours de congés
spécifique à la Guadeloupe, mais ne donnent aucun cadre à l’organisation du temps de
travail et à son décompte. Par ailleurs, aucun comité de suivi du temps de travail n’est mis
en place.
La DRH ne dispose que d’une information très réduite sur les plannings qui sont aussi divers
que les pratiques des services. Elle ne dispose pas d’une vision globale des organisations
des services. Il existe ainsi des discordances entre la valorisation des jours de congés
annuels prévue par la charte de 2002 et les pratiques effectuées dans les services. De fait,
les plannings intègrent les repos compensateurs et les jours de réduction du temps de travail
(RTT), ce qui inciterait les agents à trouver des solutions détournées pour satisfaire des
besoins d’absence non prévus au planning – le congé maladie étant une de ces solutions.
En l’absence de système de pointage et de calcul objectif du temps de travail effectué, en
l’absence d’harmonisation des règles de gestion du temps de travail, la chambre ne peut que
recommander une réflexion globale basée sur la mise en place d’un système d’informations
permettant de tracer pour chaque agent le temps de travail effectué et disposant d’une
interface avec le système d’informations relatif à la paye.
5.4.2.4.
Une gestion de l’absentéisme également absente
Le taux d’absentéisme est très élevé, toujours supérieur à 12 %, alors qu’une étude
nationale réalisée sur la période 2009-2010 par l’agence technique de l’information sur
l’hospitalisation (ATIH) fait état d’un taux moyen d’absentéisme pour 463 établissements de
4,5 %.
L’explication la plus couramment admise porte sur des conditions de travail très difficiles, la
vétusté des installations et le climat social délétère. Le manque de souplesse des plannings
est également invoqué.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
81
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Ecart
Maladie
28 193
31 299
32 837
32 816
28 347
35 241
+25%
CLM/CLD
19 726
24 391
22 578
26 001
24 889
25 502
+29%
Maternité
8 128
9 665
9 638
10 402
10 158
10 878
+34%
AT / Maladie
professionnelle
20 364
17 480
21 648
19 502
19 369
19 821
-3%
TOTAL
76 411
82 835
86 701
88 721
82 763
91 622
Jours théorique de
travail (JTT)
611 999
625 543
632 717
632 588
653 370
701 014
Effectif physique
(titulaires/stag/CD
I)
2 493
2 638
2 602
2 728
2 964
2 871
Nbre de jrs
moy/agent
30,64
31,39
33,30
32,52
27,92
33,84
% absence
12,48%
13,24%
13,70%
14,02%
12,66%
13,08%
(Source : données du CHU-DRH)
L’ordonnateur précise dans ses réponses que la baisse apparente du taux d’absentéisme en
2012
« s’explique par le simple fait que courant 2012, il y eu une vague d’intégration directe
avec effet au 31 décembre 2011, de même qu’un grand nombre de contractuels de
remplacement bénéficie désormais d’un contrat à durée indéterminée ».
L’augmentation de
l’effectif conjuguée à un absentéisme à peu près stable conduit à une diminution du taux.
(rapport effectif/absence). La DRH indique que cette baisse est aussi liée à l’amélioration du
fonctionnement du comité médical départemental qui se réunit plus souvent et permet ainsi
un traitement plus rapide des dossiers de demande de reprise. Avant 2010, un agent pouvait
attendre en moyenne un an entre sa demande de reprise et la reprise effective du travail.
Par ailleurs, des difficultés de transmission de données en 2010, en raison d’un conflit social
à la DRH, entachent les résultats de cette année en les minorant. Les jours de grève n’étant
pas décomptés sur la période, les données présentées sont
a priori
minorées dans des
proportions difficiles à préciser en l’absence d’étude approfondie.
La chambre remarque également que les jours de décharge syndicale ne font l’objet d’aucun
suivi. Elle rappelle que tout agent qui le demande peut bénéficier d’une décharge partielle ou
totale de service pour exercer une activité auprès d’une organisation syndicale existant dans
son administration, c’est-à-dire qu’il peut être autorisé à consacrer tout ou partie de ses
heures de travail à une activité syndicale. A cet effet, les organisations syndicales doivent
disposer chaque année d’un nombre d’heures de décharge de service qui dépend de sa
représentativité et du nombre d’agents dans la structure administrative concernée. Les
organisations syndicales désignent les bénéficiaires des décharges de service parmi leurs
représentants en activité dans la structure administrative concernée. Si la désignation d’un
agent est incompatible avec les nécessités de service, l’administration invite l’organisation
syndicale, après avis de la CAP, à choisir un autre agent. Ces dispositions ne sont que très
partiellement mises en oeuvre au CHU.
Depuis 2014, chaque organisation syndicale représentative s’est vu notifier son crédit
d’heures syndicales. Le contrôle est présenté par l’ordonnateur comme étant plus strict
puisque des demandes ont été rejetées à plusieurs reprises lors des derniers mois du fait de
nécessités de service.
Le contrôle mené par l’IGAS en 2003 montre une situation de l’absentéisme déjà
globalement similaire à celle observée en 2013. Le nombre de jours d’absence par agent
déjà dépasse les 30 à partir de 2001. En fonction des données transmises par la DRH pour
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
82
2013, les absences correspondent à plus de 375 ETP pour l’ensemble du CHU, étant
précisé qu’il s’agit d’une estimation minorée.
Force est de constater, à la lumière de ces résultats, que la lutte contre l’absentéisme n’est
pas une réalité au CHU. Bien que le PRE 2009-2011 en ait fait un axe de travail en vue
d’une maîtrise des charges de personnels, aucune action concrète n’a été entreprise pour
faire baisser l’absentéisme.
Les contrôles des arrêts maladie à la demande des directions d’emploi sont encore très
rares. Le PRE prévoyait une baisse de 10 % des mensualités de remplacement pour un total
de 0,7 M€ et un équivalent de 13 ETP.
La chambre recommande la mise en place d’un plan d’actions visant à réduire l’absentéisme
incluant la prévention, tout en mettant en oeuvre plus fréquemment les contrôles
nécessaires.
5.4.2.5.
Des procédures grippées et des erreurs génératrices de surcroît de
travail
Un examen des dossiers de reversement liés au paiement d’indus illustre la charge de travail
supplémentaire générée par la désorganisation observée. Absence de communication entre
services, absence de mise à jour des fichiers d’affectation des agents, transmission
défaillante de documents sont autant de dysfonctionnements qui entraînent des erreurs
pourtant évitables et un travail de vérification parfois important des agents de la DRH
dépourvus de systèmes d’information efficaces.
A titre d’exemple, des agents ayant terminé leur contrat, ou partis en retraite, ou parfois
décédé, ont continué à percevoir des versements de la part du CHU. Si pour la plupart, il
s’agit d’évènements récents témoignant d’un défaut de réactivité de la structure, deux cas
sont révélateurs d’erreurs plus anciennes ayant pour origine un défaut évident de
communication et de tenue à jour de fichiers. Une infirmière partie en retraite en juillet 2006
fait l’objet d’un titre de recettes pour un montant de 88 050 € pour sommes indues. Une
manipulatrice en radiologie se voit réclamer 39 030 € alors qu’elle a été mise à la retraite
pour invalidité en décembre 2010. Les principaux titres de recettes pour indus émis par la
DRH en 2012 sont présentés en annexe 4.
La mission d’appui de l’IGAS a mis en évidence 19 cas d’agents partis en retraite-invalidité
entre 2005 et 2012 et qui ont continué à être rémunérés après cette date par le CHU.
L’analyse du processus de décision concernant ces cas spécifiques de départ à la retraite
montre que les dossiers traités avant 2010 par la commission départementale de réforme ont
subi un important retard. Un plan de résorption a été mis en place pour les années 2010 et
2011. Les retards des travaux de la commission sont dus à :
-
La production de dossiers incomplets,
-
Des transmissions hors délai de ces dossiers,
-
Des erreurs de procédures administratives,
-
Des retards de retour d’expertises.
L’établissement ne pouvant prononcer officiellement la radiation d’un agent qu’après
consultation de la commission de réforme et avis de la caisse nationale de retraite qui
détermine le taux d’invalidité globale, le CHU a donc continué à rémunérer à demi-traitement
des anciens agents afin qu’ils ne demeurent pas sans ressource, selon la mission d’appui.
Lorsque le dossier aboutit, le CHU doit récupérer les sommes versées dès que la caisse
nationale de retraite verse la pension de retraite.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
83
Il ne s’agit que d’un exemple parmi les nombreux titres que la DRH doit émettre envers les
agents du CHU pour récupérer des rémunérations, primes et indemnités indues. Sont
concernées des primes de service, des indemnités compensatrices, des heures
supplémentaires, des primes manuelles, des indemnités forfaitaires de risques et des
rémunérations versées pour des fins de contrat signalées trop tardivement.
La chambre recommande de mettre en place un balayage systématique et périodique des
fichiers relatifs à la paye afin de déceler plus rapidement les erreurs. Concernant plus
spécifiquement les titres de recettes émis par la DRH et en l’absence d’éléments relatifs à
leur exhaustivité et à leur recouvrement, la chambre suggère un travail de coordination
approfondie avec le comptable public.
5.4.2.6.
Les dysfonctionnements générateurs de conflits
Les défauts d’organisation, de communication, les lacunes de gestion des CAPL pénalisent
les agents dans le déroulement de leur carrière (absence de communication des notes
chiffrées définitives, blocage des avancements) ou les avantagent injustement quand des
décisions sont prises sans répondre aux impératifs du droit. En l’absence de dialogue social
direct avec les agents, en l’absence d’encadrement intermédiaire, les agents lésés se
tournent directement vers les organisations syndicales, qui de fait, occupent une place
laissée vacante par la DRH.
Les instances hors CAPL ne peuvent se tenir de façon régulière, soit parce que les réunions
ne sont pas suffisamment planifiées, soit parce que les réunions sont régulièrement
perturbées. Les comptes rendus du comité technique d’établissement (CTE) montrent que le
quorum est souvent difficile à atteindre et que l’ordre du jour n’est pas suivi. La présence de
personnes étrangères au CTE est parfois mentionnée ainsi que la focalisation des débats
sur des points formels de fonctionnement de l’instance ou sur des points non-inscrits à
l’ordre du jour.
Les dysfonctionnements ne sont pas l’apanage de la DRH. La mission d’appui de l’IGAS
indiquait qu’il
« existe des conflits dont les motifs plus traditionnels relèvent de demandes de
moyens supplémentaires et de l’amélioration des conditions de travail. Il est également
frappant de constater que les conflits et les protocoles locaux sont les moyens de régler des
situations individuelles d’agents »
.
5.4.2.7.
Les conflits générateurs de dérives et d’inégalité
De nombreuses irrégularités ont été relevées au cours des contrôles et audits effectués au
CHU, irrégularités qui résultent des protocoles de fin de conflits ou qui témoignent d’une
crainte des conflits à venir et d’une perte de repères.
La mission d’appui de l’IGAS a notamment relevé :
Des nominations au grade de manipulateurs en électroradiologie médicale sans
diplôme requis, avec reconstitution de carrière
Des aménagements de carrière basés sur le seul intérêt pécuniaire de l’agent
(détachement sur grade en vue d’une intégration, intégrations rétroactives)
Des titularisations sans mise en stage avec effet rétroactif
Des modifications rétroactives de tableaux d’avancement (avec avis favorable de la
CAPL)
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CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
85
La chambre constate qu’aucune des situations de blocage vécues par l’établissement n’a
donné lieu à l’engagement d’une procédure pour voie de fait et entrave à la liberté du travail.
De surcroît, la signature de certains protocoles et la validation de certaines décisions suite à
ces protocoles locaux ont clairement dérogé aux règles de droit de la fonction publique et ont
impliqué la responsabilité de l’Administration.
5.4.3.2.
Des interrogations sur la mise en jeu de la sécurité
Ainsi qu’en dispose le préambule de la constitution de 1946 repris dans celui de la
constitution de 1958 « le droit de grève s’exerce dans le cadre des lois qui le réglementent ».
Il est cependant observé qu’en marge d’un conflit social, la sécurité a pu être mise en jeu.
Dans un souci d’amélioration de l’efficience de la gestion de son secteur d’activités, le
directeur des services techniques a, dans le cadre du renouvellement normal du contrat qui
lie l’établissement à une entreprise de fournitures d’énergies, décidé d’allotir le marché en
reconduction et d’internaliser certaines prestations, dans le but affiché d’une meilleure
maîtrise de ses dépenses de fonctionnement.
Dès la parution de l’avis concernant le premier lot, le CHU a vu sa blanchisserie paralysée
quelques heures par des salariés qui avaient verrouillé la fourniture de la vapeur
indispensable.
La direction du CHU n’a pas caché sa crainte de voir les « rétorsions » des agents s’étendre
à d’autres types de fournitures hautement sensibles pour l’établissement, tel que l’électricité
ou la climatisation des services de soins. En effet, quelques jours plus tard, alors qu’un
engagement officieux avait été pris pour l’intégration de 3 des 6 électriciens concernés par
ce changement de périmètre du contrat de prestation, une coupure totale de la climatisation
des blocs opératoires est intervenue pendant 2 h 30 créant un risque médical pour les
patients en cours d’opération.
Le fait générateur de cette coupure n’a cependant jamais été établi et la plainte déposée par
le directeur général du CHU a été classée sans suite.
5.4.3.3.
Une impunité favorisant l’intimidation
Dans un souci d’apaisement, la direction générale du CHU a donc décidé, dans l’affaire citée
précédemment, de surseoir à la publicité sur les autres lots. Elle s’est engagée à intégrer
tous les agents concernés alors que le CHU dispose d’effectifs suffisants au niveau du
service technique et que le droit du travail ne lui impose aucune obligation de reprise
d’agents du secteur privé.
Il ne s’agit là que l’un des nombreux cas relevés depuis des années dans le fonctionnement
du CHU. De manière générale, la plupart des interlocuteurs reconnaissent dans ce domaine
la défaillance de l’Etat dans l’exercice des fonctions régaliennes.
Face à des actes d’intimidation transgressant la légalité, et à un climat de crainte ressenti
par de nombreux agents du CHU dans un contexte marqué par l’impunité, il est nécessaire
de rétablir un fonctionnement conforme aux règles. Les défaillances des services de l’Etat à
cet égard ont aujourd’hui éloigné cet établissement d’un fonctionnement normal.
L’ordonnateur en exercice a précisé que certaines mesures récentes visaient à rassoir
l’autorité de la direction générale. C’est notamment le cas des périodes de grève qui ne
donneraient plus lieu à paiement de salaire depuis le milieu de l’année 2013.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
86
5.4.3.4.
Un projet social sans traduction concrète
Pour rétablir la normalité au sein de l’établissement, le législateur a fait du projet social l’une
des composantes du projet d’établissement. Il s’agit d’un instrument stratégique par
excellence pour tous les établissements publics de santé qui doit définir une approche
novatrice en matière de GRH en incluant dialogue social, conditions de travail, accueil et
intégration du personnel, gestion prévisionnelle des métiers et des compétences (GPMC).
Le contexte particulier au CHU transparaît clairement dans l’état de la situation qui précède
les propositions d’actions du projet :
« Le CHU de Guadeloupe traverse une période de turbulence sans précédent dans son
histoire (…) Cette crise s’exprime principalement par le lourd déficit qui devrait atteindre au
regard de l’Etat des Prévisions de Recettes et de Dépenses (EPRD) 2011 environ
40 millions d’euros. Aujourd’hui, tout le monde est ozabwa
16
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17
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18
».
Le projet social comprend 5 axes d’actions, 45 objectifs cibles et 145 actions proposées. Les
5 axes d’actions sont :
Les relations sociales (développer et améliorer la communication, la coopération
dans les équipes et le dialogue social)
L’organisation du travail et le management (la coopération inter services et inter
pôles, la reconnaissance du personnel, les compétences managériales)
L’accompagnement
social
et
psycho-social
(la
conciliation
vie
privée/vie
professionnelle, l’attention et la prise en charge solidaires du personnel, la
convivialité)
Les conditions de travail et l’amélioration de la santé au travail (place et
fonctionnement du CHSCT, la prévention des risques professionnels, des risques
psycho-sociaux)
L’évolution professionnelle des agents (développer et optimiser la gestion des
ressources humaines et la formation du personnel)
Le projet social a été présenté en conseil de surveillance le 30 juin 2011. A cette date, aucun
élément traduisant sa mise en oeuvre n’a été communiqué en cours d’instruction.
L’ordonnateur en exercice précise que des facteurs liés au coût des mesures préconisées le
contraignent à différer cette mise en oeuvre. La chambre remarque toutefois que les mesures
de l’axe 1 relatives à l’amélioration de la communication peuvent être traduites dans les faits
à moindre coût.
5.5. L’organisation de la fonction « achat »
A la question de savoir s’il existe une référence écrite formalisée d’organisation de la
fonction « achat » et des dépenses afférentes, aucune réponse n’a été fournie en cours
d’instruction. Seule la constitution d’un pôle logistique est apparue à l’issue d’une période
d’agitation sociale comme étant la solution idoine pour répondre aux difficultés de la fonction.
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Aux abois
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Implore le ciel
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CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
91
La note poursuit :
« L’objectif est d’instituer une organisation en filières ou familles de
produits plus lisible pour les clients (services utilisateurs, fournisseurs) afin d’optimiser les
crédits alloués, d’assurer une traçabilité des demandes, de mettre en place un guide de
procédures internes, de créer une unité de regroupement de contrôle de documents et
d’instaurer un véritable contrôle de gestion. Ce projet nécessitera un accompagnement en
termes de formation ».
La chambre ne peut qu’encourager cette démarche, remarque étant faite qu’une préférence
locale émerge des pratiques actuelles en matière d’achats.
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
92
GLOSSAIRE
ANAP : agence nationale d’appui à la performance des établissements de santé
ALD : affection de longue durée
ARS : agence régionale de santé
ARH : agence régionale de l’hospitalisation
ATIH : agence technique de l’information sur l’hospitalisation
AVC : accident vasculaire cérébral
CAMSP : centre d’aide médico-sociale précoce
CAPL : commission administrative paritaire locale
CAREST : centre d’autoformation et de ressources pour l’enseignement des sciences et de
la technologie
CCAM : classification commune des actes médicaux
CET : compte épargne temps
CGSS : caisse générale de sécurité sociale
CHBT : centre hospitalier de Basse-Terre
CHU : centre hospitalier universitaire
CHS : centre hospitalier spécialisé
CHT : communauté hospitalière de territoire
CME : commission médicale d’établissement
COPERMO : comité interministériel de performance et de modernisation de l’offre de soins
COREVAT : comité régional de ville active sur la situation de trésorerie
CPOM : contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens
CREF : contrat de retour à l’équilibre financier
CSIRMT : commission des soins infirmiers, de rééducation et médico-technique
CSP : code de la santé publique
CTE : comité technique d’établissement
DGOS : direction générale de l’organisation des soins
DREES : direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
DRFIP : direction régionale des finances publiques
DRH : directrice des ressources humaines
DQRU : direction de la qualité et des relations avec les usagers
EHPAD : établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes
EPRD : état prévisionnel des recettes et des dépenses
EPRUS : établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires
FINESS : fichier national des établissements sanitaires et sociaux
GCS Uni HA : groupement de coopération sanitaire « union des hôpitaux pour les achats »
GAM : gestion administrative du malade
GHM : groupe homogène de malades
GHS : groupe homogène de séjours
GRH : gestion des ressources humaines
HAS : haute autorité de santé
HC : hospitalisation complète
IDAHO : instrument d’analyse hospitalière
IFSI : institut de formation en soins infirmiers
IGAS : inspection générale des affaires sociales
MCO : médecine chirurgie obstétrique
MERRI : missions d’enseignement, recherche de référence et d’innovation
MIGAC : missions d’intérêt général et aide à la contractualisation
ONDAM : objectif national des dépenses d’assurance maladie
OQOS : objectif quantifié de l’offre de soins
PMSI : programme de médicalisation des systèmes d’information
PGFP : plan global de financement pluriannuel
PRE : plan de retour à l’équilibre
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
93
RIA : rapport infra-annuel
RSA : résumé de sortie anonyme
RSS : résumé de sortie standardisé
RUM : résumé d’unité médicale
SAE : statistique annuelle des établissements de santé
SAMU : service d’aide médicale urgente
SDIS : service départemental d’incendie et de secours
SIOS : schéma interrégional d’organisation sanitaire
SMUR : service médical d’urgence et de réanimation
SROS : schéma régional d’organisation sanitaire
SSR : soins de suite et de réadaptation
T2A : tarification à l’activité
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
94
ANNEXES
Annexe 1 : Positionnement du CHU dans le SROS
Annexe 2 : exemple de suivi de l’activité et des recettes par pôles
Annexe 3 : fiche récapitulative des CAPL 2008-2012
Annexe 4 : extrait de la liste des titres émis en 2012 pour indus
Annexe 5 : présentation des centres de gestion (novembre 2013)
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
95
Annexe 1 : Positionnement du CHU dans le SROS
Rappel des éléments notés dans le SROS et ayant une implication au CHU de
Pointe-à-Pitre
Une série de recommandations vise l’organisation et la structuration de la filière neuro-
vasculaire du CHU autour du redimen²sionnement de l'USINV
Accueil des AVC en phase aigüe durant les premières 48h
Astreinte neurologique opérationnelle ou garde
Prise en charge de kinésithérapie et orthophonie 7 jours sur 7
Plateau d'imagerie et réanimation sur place
Positionnement de 2 à 3 sites neuro-vasculaires subaigus au sein de l'aire territoriale
globale
Accès aux soins de kinésithérapie et d'orthophonie
Recours à des spécialités de cardiologie et dopplériste
Mise à disposition de lits de SSR dédiés
Le Chapitre IV développe le
volet Médecine
. La répartition et organisation de l'offre de soins
s’entend en pôles de référence.
Concernant le CHU sont concernés :
Le pôle médico-chirurgical en gastro-entérologie
La cancérologie (radiothérapie), oncologie, médecine nucléaire
Pour l'activité de cardiologie interventionnelle (angioplastie –coronarographie)
L’individualisation d'une unité de cardio-pédiatrie
La prise en charge de l'AVC
La néphrologie hémodialyse
L’endocrinologie et diabétologie
La pneumologie (apnée du sommeil et asthme)
La prise en charge des maladies génétiques et la drépanocytose
La dermatologie
Les soins palliatifs et la prise en charge de la douleur
L'hospitalisation et les soins aux détenus
Les activités de greffes et transplantations (rein, cornées et PMA)
L'obstétrique dans sa dimension de maternité de niveau III et la réanimation
néonatale
Référent en virologie et biologie moléculaire
Site pilote pour la prise en charge du VIH
Le centre Mémoire de Ressources et de Recherche (CMRR)
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
96
Chirurgie générale et digestive
développement de la chirurgie lourde
besoins en dégagement
développement de la coelio-chirurgie
développement de la chirurgie de l'obésité
développement de la chirurgie plastique reconstructrice et réparatrice
mise en place de coopération inter-établissements notamment avec les CH de Marie-
Galante et de Saint-Martin
coopération CHU/CHBT pour la garde PDES
Chirurgie urologique
établir la coopération public/privé pour la permanence des soins
développer les consultations avancées à partir du CHU au profit du CHBT
organiser l'hébergement des familles (double insularité) pour soins de référence au
CHU
intensifier la coopération interrégionale (Martinique et Guyane) qui a débuté avec la
transplantation rénale
coopération avec des CHU de l'Hexagone pour cas spécifiques
développement de la chirurgie ambulatoire ; Types d'interventions visées :
endoscopies urologiques, lithotritie extracorporelles, chirurgie scrotale, explorations
diagnostiques.
Chirurgie pédiatrique : CHU/centre de recours
Chirurgie ORL, odontologique et cervico-maxillo-faciale
Le CHU comme centre de référence en cancérologie ORL (missions de coordination)
Chirurgie pédiatrique ORL
o le CHU pour les interventions à risque
o Chirurgie exploratrice laryngo-trachéale pédiatrique
o Développement de la chirurgie orthognatique pour la chirurgie des fentes labio-alvéolo-
vélo-palatines
o Activité de dépistage et de prise en charge de la surdité
mise en oeuvre d'un centre de référence de la surdité de l'enfant : Nécessité d'un
dépistage précoce des enfants sourds
Par les maternités : examen simple et le CHU centre de référence : bilan exhaustif,
pose chirurgicale de prothèse auditive implantée.
Prise en charge des urgences ORL
o Globalisation des urgences ORL
o Coopération public/privé, astreintes opérationnelles
o Prise en charge des urgences vitales respiratoires
Intensification des consultations ORL
Chirurgie traumatologique : pour le CHU : accroissement de l'offre opératoire en
traumatologie ORL et maxillo-faciale
Chirurgie maxillo-faciale et odontologie : Le CHU centre de référence
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
97
Chirurgie thoracique
Niveau de référence régional (CHU, en coopération avec la Martinique) : chirurgie
thoracique lourde en Guadeloupe – exérèse – chirurgie carcinologique, combinée,
endoscopique – SSR – kinési thérapie
Concentration des moyens de préférence au niveau régional dans le cadre d'un pôle
d'excellence
Développer une politique de formation en chirurgie thoracique
Poursuite du renforcement de la coopération carcinologique – chirurgicale –
pneumologie
Augmentation des spécialisations des plateaux techniques : bloc opératoire, chirurgie
endoscopique, laser, imagerie
Traumatologie de base à effectuer en proximité
Chirurgie ophtalmologique
Pathologies chirurgicales courantes (segment antérieur : cataracte, glaucome) :
répartition public/privé ; dans le cadre d'une bonne entente avec cas difficiles ou
lourds référés au CHU
Pathologies ophtalmologiques plus lourdes (traumatologie, décollements de rétine,
rétine chirurgicale) secteur public/CHU et CHBT (urgences)/CHU (rétine)
Chirurgie orthopédique
Pôle de référence régional/CHU : orthopédie lourde
Pour le
volet périnatalité
, au Chapitre VI, 4 établissements sont décrits au sein du territoire
centre, avec le CHU de niveau III. En gynécologie-obstétrique le réseau périnatal n'existe
pas.
La fermeture des sites qui se situent en dessous des seuils réglementaires est
inéluctable.
En réanimation néonatale au regard du nombre d'habitants du territoire, une implantation
apparaît suffisante sur le site de référence.
Au chapitre IX,
volet urgences et permanence des soins
:
Télémédecine : Mise en réseau du système de télémédecine du SAMU(CHU)
Cellule d'urgence médico-psychologique(CUMP) : Création d'un poste de psychiatre
au SAMU du CHU au titre de la CUMP
Réseau soins des urgences
o Formalisation des conditions de fonctionnement du réseau de soins d'ores et déjà
opérationnel au plan régional autour du CHU
o Sur la prise en charge en néonatalogie et en pédiatrie : Projet de suppression du plateau
de réanimation néonatale du CHBT, en raison du déclassement à Basse-Terre de la
Maternité de niveau III vers un niveau II
o Préconisation du transport en urgences pédiatriques des nouveau-nés en couveuse dans
l'ambulance en raison de l'utilisation peu efficiente de l'ambulance pédiatrique acquise
antérieurement par le CHU
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
98
Au chapitre X :
volet réanimation, soins intensifs, surveillance continue
Un contexte d'évaluation (interne et externe) des sites de réanimation indiquant un sous-
dimensionnement de la réanimation du CHU (sous-équipement en personnel médical – sous
équipement en personnel paramédical) et capacité de prise en charge insuffisante. Parmi les
recommandations, il est noté la mise en oeuvre d'une prise en charge régionale en
réanimation polyvalente, avec regroupement de l'activité de réanimation sur un site unique
(CHU). Ce regroupement n'interviendra qu'après les travaux d'extension et de rénovation du
service :
Reconstruction-rénovation du service de réanimation du CHU
Renforcement des compétences sur site unique de réanimation
Surveillance continue post-réanimation réglementaire sur site du CHU
Il implique une extensibilité capacitaire potentielle de + 5 lits par rapport au projet initial.
Le volet
imagerie médicale
est développé au Chapitre XI. Parmi les pistes d'orientations
stratégiques :
Améliorer l'efficience : équilibrer et optimiser la productivité des machines
(mutualisation des ressources humaines disponibles, extension des plages horaires,
accès permanent des sites participant à la permanence des soins) ; utiliser les outils
organisationnels de l'ANAP pour identifier les axes majeurs d'amélioration des
organisations internes (plateaux techniques, coopérations territoriales) pour optimiser
la réalisation des examens et la gestion du temps ; améliorer l'accès des personnes
hospitalisées (réductions de la durée moyenne de séjour)
Pistes d'organisation territoriale de l'activité : L'imagerie médicale pour le territoire
centre :
o La prestation d'imagerie par résonance magnétique est dispensée par deux sites
positionnés dans la conurbation pointoise. Le niveau d'activité des équipements est très
inégal. Certains de ces équipements sont sous-utilisés.
Orientations générales : afin de répondre à la baisse du nombre de radiologues, il
convient d'utiliser la télémédecine et d'ouvrir l'accès de ces matériels aux radiologues
libéraux, ainsi qu'à ceux qui exercent dans des établissements de santé non pourvus
de ce type de matériel. L'installation de nouveaux matériels est subordonnée à la
saturation des équipements déjà existants, à l'exception du site de Saint-Barthélemy
qui pourra faire l'objet d'un traitement prenant en compte ses spécificités
Au chapitre XI,
volet activités interventionnelles
sous imagerie médicale par voie
endovasculaire en cardiologie, il est donc proposé de limiter le champ du SROS aux activités
interventionnelles sous imagerie médicale, par voie endovasculaire, en cardiologie
, aux
seuls actes portant sur les cardiopathies de l'adulte.
Le CHU se positionne comme un acteur de référence dans la prise en charge des
pathologies cardiaques et en particulier de la pathologie coronaire aigue (mise à
disposition d'une unité de soins intensifs en cardiologie, salle de cardiologie
interventionnelle)
Une offre de soins s'inscrivant en complémentarité d'intervenants du fait de
l'intervention du CHU agissant avec l'offre du service de cardiologie du CHBT
(disposant d'une unité de cardiologie) et celle du CHU de Fort-de-France (disposant
d'un service de chirurgie cardiaque)
Ainsi, les objectifs opérationnels sont d’augmenter la capacité d'accueil de l'USIC (10 lits).
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
99
La
cancérologie
, au chapitre XIV mentionne le CHU, recensé pour toutes les activités –
chimiothérapie
chirurgie
des
cancers
mammaires,
digestifs,
urologiques,
thoraciques, gynécologiques, ORL et maxillo-faciaux – radiothérapie :
Reconduction d'un site unique (CHU) pour la
médecine nucléaire
Le SROS indique la possibilité de développement de la
curiethérapie
Les enjeux et problématiques sont :
Une intensification de la filière de prise en charge à poursuivre : si celle-ci est en
cours pour les unités ambulatoires, elle n'est pas encore réalisée au titre de l'accès
aux soins palliatifs et des consultations douleurs
Une adaptation des ressources médicales aux besoins ; elle demeure incomplète,
notamment en matière de compétences oncologiques
Equité partielle dans la distribution de l'offre de prise en charge et des possibilités
d'hébergement (double insularité)
Développement partiel des places HAD et des places d'hospitalisation de jour.
Développement des lits de SSR sur les sites de référence et orientés
Adéquation de plateau technique du pôle de référence en radiothérapie (CHU) sous
réserve de l'opérationnalité simultanée des deux accélérateurs de particule (à défaut
celle-ci reste partielle)
Les orientations spécifiques :
Adaptation des ressources médicales aux besoins, notamment en oncologie
Développement de l'accès aux nouvelles technologies (télémédecine, robotique)
Création d'une tumorothèque
Au chapitre XVI,
volet soins palliatifs
: L'offre de soins est organisée autour du pôle
régional (CHU) et un pôle orienté constitué par deux établissements en Basse-Terre (CHBT-
CMS)
Le
volet traitement de l'insuffisance rénal chronique
par épuration extrarénale, Chapitre
XVII : Territoire Centre Grande Terre : CHU de Pointe-à-Pitre (dialyse en centre et unité de
dialyse médicalisée), site principal de l'AUDRA rattachée auprès du CHU (dialyse
péritonéale, auto dialyse, dialyse en centre, unité de dialyse médicalisée) et sites annexes à
Marie-Galante et au Moule (auto dialyse), Clinique de Choisy Montauban (auto dialyse,
dialyse en centre et unité de dialyse médicalisée.
La greffe de rein : une thérapie pour les malades éligibles. Le CHU de Pointe-à-Pitre : centre
régional pour la transplantation (greffe) rénale pour les Antilles Guyane (arrêté ministériel du
29 septembre 2003 avec un objectif d'activité fixé à 40-50 greffes par an pour la région
Antilles Guyane).
Au-delà du SROS, l’offre de soins actuelle au CHU se compose de certaines prises en
charge spécifiques:
Chirurgie cervico faciale des Thyroïdes et para thyroïdes et parotides
Chirurgie base du crane
Neurochirurgie : tumeurs cérébrales et pathologies rachidiennes …
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CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
101
Annexe 3 : fiche récapitulative des CAPL 2008-2012
ANNEE 2008 :
CAPL N°6
CAPL N°7
CAPL N°9
25 septembre
24 novembre
13 mars
25 septembre
24 novembre
13 mars
25 septembre
24 novembre
ANNEE 2009 :
CAPL N°6
CAPL N°7
CAPL N°9
19 octobre
Approbation PV 24/11/2008
Notation 2008
Avancements d’échelon
Intégration suite
détachement
Réclamations individuelles
19 novembre
Avancements de grade
Réclamations individuelles
25 juin
Approbation PV 24/11/2008
Titularisations
Détachements sur grade
20 octobre
Approbation PV 25/06/2009
Notation 2008
Avancements d’échelon
Réclamations individuelles
19 novembre
Avancements de grade
Réclamations individuelles
25 juin
Approbation PV 24/11/2008
Titularisations
20 octobre
Approbation PV 25/06/2009
Notation 2008
Avancements d’échelon
Réclamations individuelles
19 novembre
Avancements de grade
Réclamations individuelles
ANNEE 2010 :
CAPL N°6
CAPL N°7
CAPL N°9
18 mars
Approbation PV
19/10/2009 et 19/11/2009
Nomination choix :
secrétaire médical
16 novembre
Approbation PV
18/03/2010
Notation 2009
Titularisation
Avancements d’échelon
Avancements de grade
Réclamations individuelles
18 mars
Approbation PV 20/10/2009
et 19/11/2009
Détachements sur grade
22 juin
Approbation PV 18/03/2010
Titularisations
16 novembre
Approbation PV 22/06/2010
Notation 2009
Titularisations
Avancements d’échelon
Avancements de grade
Réclamations individuelles
22 juin
Approbation PV 19/11/2010
Titularisation
Détachements sur grade
16 novembre
Approbation PV 22/06/2010
Notation 2009
Intégration suite
détachement
Titularisation
Avancements d’échelon
Avancements de grade
Réclamations individuelles
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
102
ANNEE 2011 :
CAPL N°6
CAPL N°7
CAPL N°9
22 novembre
Approbation PV
16/11/2010
Notation 2010
Avancements d’échelon
Avancements de grade
Réclamations individuelles
Nomination choix :
secrétaire médical
22 novembre
Approbation PV 16/11/2010
Notation 2010
Titularisations
Avancements d’échelon
Avancements de grade
Réclamations individuelles
30 décembre
Approbation PV 22/11/2011
Titularisations
22 novembre
Approbation PV 16/11/2010
Notation 2010
Avancements d’échelon
Avancements de grade
Réclamations individuelles
ANNEE 2012 :
CAPL N°6
CAPL N°7
CAPL N°9
12 décembre
Titularisations
Intégration
12 décembre
Titularisations
12 décembre
Titularisations
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
103
Annexe 4 : extrait de la liste des titres émis en 2012 pour indus
GRADE
N°DOSSIER
MONTANT
MOTIF
I.D.E
ADRH 55
18 483,23 €
Agent à la retraite pour invalidité
depuis le 18/03/2011
I.D.E
ADRH 56
3 087,82 €
Agent en congé de maladie 1/2
traitement en déc. 11 et janv. 12
I.D.E
ADRH 67
9 512,82 €
Heures supplémentaires perçues à tort
A.S
ADRH 69
5 431,95 €
Agent à la retraite depuis le
01/07/2011
I.D.E
ADRH 91
814,51 €
Trop perçu prime de service 2011
MAITRE OUVRIER ADRH 107
2 422,93 €
Trop perçu prime de service 2011
MAITRE OUVRIER ADRH 124
1 088,52 €
Complément de salaire du mois de
mai 2012
O.P.Q
ADRH 129
1 036,69 €
Agent en congé de maladie 1/2
traitement
I.D.E
ADRH 132
1 990,39 €
Fin de contrat a/c du 07/12/2011
A.M.A
ADRH 136
1 744,82 €
Fin de contrat a/c du 23/04/2012
(mois de mai)
MAITRE OUVRIER ADRH 137
1 650,41 €
Rappels perçus à tort
I.D.E
ADRH 145
11 477,94 €
Fin de contrat a/c du 23/04/2012
I.D.E
ADRH 146
2 161,76 €
Indemnités forfaitaires de risques
perçues à tort
I.D.E
ADRH 147
1 621,39 €
Indemnités forfaitaires de risques
perçues à tort
A.S
ADRH 149
1 718,00 €
Agent décédé le 22/04/2012
A.M.A
ADRH 161
1 744,82 €
Fin de contrat a/c du 23/04/2012
(mois de juin)
T.S.H
ADRH 164
1 962,72 €
Fin de contrat a/c du 30/06/2012
A.M.A
ADRH 165
16 967,18 €
Agent à la retraite a/c du 25/11/2011
MANIP. RADIO
ADRH 166
39 030,18 €
Agent à la retraite pour invalidité
depuis le 13/12/2010
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
104
ANIMATEUR
ADRH 167
4 450,97 €
Fin de contrat a/c du 01/10/2011
T.S.H
ADRH 180
1 115,58 €
Prime de technicité perçue à tort
MASSEUR KINE
ADRH 181
3 280,50 €
Fin de contrat a/c du 16/06/2012
MASSEUR KINE
ADRH 184
3 354,47 €
Fin de contrat a/c du 15/06/2012
TECHN. LABO
ADRH 185
2 227,84 €
Agent en congé parental depuis le
01/07/2012
A.P
ADRH 187
6 746,82 €
Agent en C.L.D 1/2 traitement du
02/03 au 30/09/2012
MASSEUR KINE
ADRH 193
2 195,08 €
Fin de contrat a/c du 15/06/2012
PRAT. HOSP
ADRH 194
1 151,16 €
Heures de cours 2011 perçues à tort
A.A.H
ADRH 262
2 460,21 €
Prime manuelle perçue à tort
I.D.E
ADRH 270
88 050,07 €
Agent mis à la retraite le 06/07/2006
I.D.E
ADRH 271
5 257,95 €
Trop perçu indemnité compensatrice
Total général
330 854,46 €
CRC Guadeloupe - rapport à fin d’observations définitives – Centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre
105
Annexe 5 : présentation des centres de gestion (novembre 2013)
CODE
GEF
DENOMINATION DU CENTRE
DE GESTION
DIRECTEUR REFERENT
GESTIONNAIRES
AALIM
DSE Achats alimentation
Mr LAMALLE Pierre
Tous les agents de la DSEBL sont habilités à
engager dans la GEF
Ingénieurs Biomédicaux
AGEN
DSE Achats stockés
ADIV
DSE hors Biomédical
AINV
DES Investissements
ASTBI
DSE Biomédical
AIBIO
Investissements Biomédical
ASTBI
DST Achats Biomedical
ASTGC
DST Achats Génie Civil
Mr MORVAN Philippe
Mr DESIRE Marc
Mme PHEMIUS
Mme NAZAIRE
Ingénieurs et autres personnels habilités à
engager dans la GEF
ATEBI
DST Atelier Biomédical
ATEGC
DST Atelier Génie Civil
ASTIV
DST Investissement
ADP
Direction des Programmes
ARCHU
Reconstruction du CHU
Mr DURAND-GASSELIN
Mr DESIRE Marc
APHDM
Pharmacie Dispositifs Médicaux
Dr DONGAL - Pharmacien
1 recrutement en cours et gestionnaires
habilités à engager dans la GEF
APH M
Pharmacie Médicaments
Dr SAINLO - Pharmacien
ADMP
Direction des Marchés Publics
Mme LERUS Chantal
Mme Estelle MARTIAS
AINF
Achats Exploitation
Mme BENANI Yolande
Mme CHASTANET Maryse
AIDSI
Investissements DSI
AFIN et
XFIN
Direction des Affaires Financières
(Dépenses et Recettes)
Mme TRINQUIER Catherine
Tous les agents des Services Financiers
AMSP
Missions de Santé Publique
Mme Cécile GARGAR
Mme Marie-Laure AIGLE
AGESM
Service Social des Malades
Mme PYRAME – Mme Angela LACKMY
ADG
Direction Générale
Mr DELAVAQUERIE
Mme BERNADIN Venise
ACOM
Direction de la Communication
Mr
DUBLE
Secrétaire
Général
Mme BELTAN – Mme NAJEUS
AAGJ
Direction des Affaires Juridiques
Mr JANVIER Joël
Mme JUDITH Mylène
ADAM
Direction des Affaires Médicales
Mme LERUS Chantal
Mme QUILLIN Danielle
ARAG
Direction de la Recherche Clinique
ADRH
Direction des Ressources Humaines
Mr CHARLES Julien
Mr CHARLES Maurice, Mme BORDELAI, et
gestionnaires habilités à engager les payes et
autres charges
AIFC
Institut de Formation Continue
Mr BROUSSILLON – Mme JURY Nathalie
AECOL
Direction des Ecoles Paramédicales
Mr CABALD Jean-Marie
Mme CASIMIR Annie
Mme LUCE Sabrina
ASAMU
SAMU-SMUR
Dr PORTECOP
Mme CHABIN
AHADM
HAD Médecine Polyvalente
Dr PERROT
Mr BANGOU – Cadre Administratif de Pôle