Saint-Denis est aussi fortement concernée par la question de l’habitat indigne, défini dans la loi du 25 mars 2009 de mobilisation pour le logement et la lutte contre l'exclusion : «constituent un habitat indigne les locaux ou installations utilisés aux fins d’habitation et impropres par nature à cet usage, ainsi que les logements dont l’état, ou celui du bâtiment dans lequel ils sont situés, expose les occupants à des risques manifestes pouvant porter atteinte à leur sécurité physique ou à leur santé ». La proportion du parc privé potentiellement indigne est de 30 %, soit environ 6 000 logements ; ce qui fait, qu’en proportion, la commune de Saint-Denis est la plus concernée par ce problème en France métropolitaine.

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