Les transports ferroviaires régionaux
en Île
‐
de
‐
France
Dossier de presse
mercredi 17 novembre 2010
1
SOMMAIRE
1.
Les déplacements des Francilien en transports collectifs
2
2.
Part des transports collectifs dans les déplacements en Île-de-France
3
3.
Evolution du trafic en Île-de-France
4
4.
La qualité de service sur le réseau Transilien
5
5.
La qualité de service sur le réseau RATP
6
6.
Les relations entre le STIF et les opérateurs
7
7.
Les coûts moyens des infrastructures en 2008
10
8.
Les investissements sur les réseaux franciliens
11
9.
Des ressources financières insuffisantes
12
10.
Les prix des billets et abonnements mensuels en Europe
14
11.
Evolution des tarifs des titres de transport et du coût de l’offre
15
Annexes
16
Contacts presse :
Denis GETTLIFFE – Responsable des relations presse
Tél : 01 42 98 55 77 –
dgettliffe@ccomptes.fr
Dorine BREGMAN – Directrice de la communication
Tél : 01 42 98 98 09 -
dbregman@ccomptes.fr
1. Les déplacements des Franciliens en transports collectifs
En matière d’offre de service, les caractéristiques géographiques et historiques expliquent que :
-
les
réseaux de transports collectifs en Ile-de-France sont historiquement plus denses
que dans le reste
de la France.
-
Les
Franciliens font un usage plus intense des transports collectifs
que les autres
des Français : en
moyenne, en 2008, ils ont réalisé en moyenne 346 trajets en transport collectif, contre 93 dans l’ensemble des autres
agglomérations françaises.
Au sein de la région, en 2001, les déplacements mécanisés, tous modes de transport confondus, étaient réalisés
dans Paris intra-muros pour 12 % d’entre eux, de Paris vers la banlieue pour 17 % d’entre eux et de banlieue à
banlieue, pour 70 % du total.
Source : Evaluation du plan de déplacement urbain d’Île-de-France, Région Île-de-France/STIF –2007.
D’après les résultats de l’enquête globale transports (EGT) de 2001, novembre 2007. L’EGT sera actualisée en 2011.
2
3
2. Part des transports collectifs dans les déplacements en Île-de-France
La part des transports collectifs dans l’ensemble des déplacements effectués en Île-de-France est de 20,5 %.
Cependant,
la part modale des transports collectifs varie fortement selon le lieu d’habitation
: les
transports
collectifs représentent près de 34 % des déplacements effectués par les habitants de Paris intra-muros
, 22,8 %
de ceux des habitants de première couronne
et seulement 12,8 % de ceux effectués par les habitants de grande
couronne
.
Ces écarts reflètent d’importantes différences de part modale, selon l’origine et la destination des trajets effectués.
Ainsi, alors que les transports en commun représentent 37,1 % des déplacements effectués dans Paris et plus de 71 %
de ceux entre Paris et sa banlieue, la part des transports en commun reste faible pour
les liaisons internes au sein des
petite ou grande couronnes : elle est de 10,1 % pour les trajets réalisés à l’intérieur de la grande couronne parisienne.
Part modale des transports en Île-de-France selon l’origine
et la destination des déplacements en 2008
T
YPE DE DEPLACEMENT SELON L
’
ORIGINE
ET LA DESTINATION
TRANSPORTS
COLLECTIFS EN
%
VOITURE EN
%
P
ARIS
-P
ARIS
37,1
6,1
P
ARIS
-
PETITE COURONNE
71,0
20,4
P
ARIS
-
GRANDE COURONNE
71,2
25,6
P
ETITE COURONNE
-
PETITE COURONNE
17,2
38,0
P
ETITE COURONNE
-
GRANDE COURONNE
33,2
60,4
G
RANDE COURONNE
-
GRANDE COURONNE
10,1
59,1
Source : INSEE Ile-de-France, « A la page », n° 331, avril 2010
4
3. Evolution du trafic en Île-de-France (2001-2009)
La période récente a été marquée par un fort dynamisme de la demande, qui a permis au trafic de la RATP
d’atteindre en 2008 le niveau record de 2 milliards de voyages sur le réseau ferroviaire, auxquels s’ajoute 1 milliard de
voyages effectués sur ses réseaux de bus.
Le trafic du Transilien a augmenté de plus de 24 % en huit ans. Il représente 13 % du trafic voyageurs de la SNCF
en France en termes de kilomètre parcourus. Cette croissance sur un réseau parfois saturé explique pour partie que la
SNCF peine à atteindre ses objectifs de production ces dernières années.
Cependant, dans la même période, un accroissement de l’offre a pu être constaté, commandé par le STIF et mis en
oeuvre par la RATP.
Le taux de remplissage des trains n’est pas connu en Île-de-France pour les dernières années, contrairement aux
autres régions françaises. Cependant, il est
incontestable que, ces dernières années, l’offre de trains, métros ou
tramways a progressé plus lentement que le trafic qui a connu une dynamique nouvelle
.
Evolution du trafic en Île-de-France / 2001-2009 (modes lourds)
Nombre de voyages
(en millions)
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
Evolution
2001/2009
(en %)
RATP métro
1266
1283
1248
1336
1376
1410
1388
1473
1480
+ 16,9
RATP RER
405
410
400
438
445
452
447
468
449
+ 10,9
RATP tramways
36
39
39
44
50
80
89
99
97
+ 169,4
SNCF-Transilien
559
575
572
614
633
655
688
696
695
+ 24,3
Total
2 266
2 307
2 259
2 432
2 502
2 567
2 603
2 736
2 721
+ 20,1
Source: STIF
5
4. La qualité de service sur le réseau Transilien
En 2009, le niveau d’irrégularité pour l’ensemble du réseau Transilien est de 11,5 %, soit une dégradation de près
de 2 points par rapport à 2007.
Les lignes A, B, et D du RER ainsi que
le réseau Paris Nord -Crépy-en-Valois
(ligne K) sont les lignes les moins régulières. Globalement, le premier semestre 2010 confirme la dégradation de
la régularité sur presque toutes les lignes, à des niveaux très supérieurs aux objectifs contractuels.
Taux d’irrégularité des réseaux SNCF-Transilien – 2006-2010 (En %)
Objectif
2006
2007
2008
2009
1
er
sem. 2010
RER A (partie SNCF)
6,0
7,2
11,4
12,7
14,2
18,4
(RATP + SNCF)
RER B (partie SNCF)
6,0
11,4
8,3
12,2
18,8
18,5
( RATP + SNCF)
RER C
7,0
8,7
7,2
12,1
10,8
12,2
RER D
7,5
15,0
17,8
18,1
15,6
16,8
RER E
5,0
6,6
7,5
6,7
6,4
5,5
Paris Saint-Lazare – branche Sud
6,0
5,6
7,2
11,2
8,9
16,1
Paris Saint Lazare – branche Nord
6,0
8,6
10,7
11,9
12,9
11,6
La Verrière-La Défense
6,0
13,8
12,2
15,1
11,7
12,9
Paris Nord – branche Ouest
7,5
7,1
6,6
8,5
7,6
9,1
Paris Nord – branche Crépy
7,5
11,6
7,3
10,4
16,3
21,8
Paris-Est
6,0
10,1
13,6
10,8
9,9
12,3
Paris Sud-Est
7,0
8,2
7,8
10,0
7,9
13,2
Paris-Montparnasse
7,0
9,4
6,7
6,6
10,0
14
Source : rapports d’activité 2006-2009 –bulletin d’informations de la qualité de service - octobre 2010- STIF
Le cas de la ligne C du RER
La ligne C transporte près de 495 000 voyageurs par jour, dans 570 trains. Elle utilise un réseau partagé
interconnecté de 187 km de long, réparti entre 3 branches principales et 7 « sous-branches ». Le dimensionnement de
l’infrastructure conditionne le montage des dessertes commerciales, qui correspondent le plus souvent à des nécessités
techniques. Les points possibles de retournement étant pour l’essentiel éloignés de Paris, les dessertes se font longues.
L’infrastructure est saturée aux heures de pointe
, 24 trains par heure circulant sur le tronçon commun entre Choisy-
le-Roi et Champ-de-Mars. La
conséquence de missions longues cumulées à une infrastructure saturée est la
fragilité structurelle du RER C
. En heure de pointe, le moindre incident sur une partie du parcours se propage à
l’ensemble des branches de la ligne. La question se pose de savoir si le véritable problème posé par cette ligne n'est
pas sa dimension, qui en fait la ligne de RER la plus longue et partant la moins « maniable ».
6
5. La qualité de service sur le réseau RATP
Globalement, les performances en termes de régularité et de ponctualité des réseaux du métro et des tramways
RATP sont assez satisfaisantes, sauf sur la ligne 13 et, plus récemment, la ligne 1. Les lignes A et B du RER
connaissent en revanche de sérieuses difficultés de régularité (chiffres figurant dans le tableau de la page précédente
pour l’ensemble de ces deux lignes en 2009).
Depuis 2009, le STIF et la RATP ont mis en place un nouvel indicateur mesurant l’offre de métro non-assurée aux
heures de pointe.
Offre non assurée aux heures de pointe - réseau du métro-RATP
Ligne
Objectif
1
er
semestre 2009
1
er
semestre 2010
1
3,5
9
12,2
2
3,5
6,7
8,5
3 et 3 bis
3,5
5,6
5,6
4
3,5
5,3
6,9
5
3,5
7,3
7,5
6
3,5
5,1
5,5
7 et 7 bis
3,5
6,9
8,1
8
3,5
3
4,1
9
3,5
3,5
6,2
10
3,5
1
1,1
11
3,5
4,8
1,1
12
3,5
5,3
4,7
13
3,5
10,1
9,8
14
3,5
0
0
Source : bulletin d’informations de la qualité de service - octobre 2010- STIF
6. Les relations entre le STIF et les opérateurs
Présentation schématique de l’organisation institutionnelle
7
8
Représentation et participation financière des collectivités membres du STIF
Collectivité
Nombre de
représentant(s)
au conseil du
STIF
Part des
participations
statutaires
Montant des participations
inscrites au budget primitif du
STIF pour 2010 (hors conventions
spécifiques)
Région Île-de-France
15
51 %
562,51 M€
1
Ville de Paris
5
30,38 %
335,08 M€
Hauts-de-Seine
1
7,742 %
85,37 M€
Seine-Saint-Denis
1
3,749 %
41,36 M€
Val-de-Marne
1
3,014 %
33,20 M€
Yvelines
1
1,593 %
17,54 M€
Essonne
1
0,980 %
10,81 M€
Val-d’Oise
1
0,907 %
10, 04 M€
Seine-et-Marne
1
0, 637 %
7, 06 M€
Représentant des EPCI
1
0
0
Représentant CCIR
1
0
0
TOTAL
29
2
100 %
1 102,94 M€
Source : d’après décret du 10 juin 2005 et budget primitif du STIF pour 2010
1
) En plus de sa participation statutaire obligatoire, la région Ile-de-France rembourse au STIF deux types de mesures facultatives qu’elle a
votées (dispositifs de tarification sociale et de dézonage du forfait Imagine R réservée aux jeunes pendant les congés scolaires et les week-ends),
pour un montant de 123 M€ en 2009, portant ainsi sa contribution totale à 685,7 M€ pour cet exercice.
2
) Auxquels s’ajoute, à titre consultatif, un représentant du comité des partenaires des transports publics en Ile-de-France.
9
Comparaison de la répartition des compétences en matière de transport collectif
en Île-de-France et hors Île-de-France
Compétence
Collectivité
compétente :
Île-de-France
Collectivité compétente :
droit commun
-
définition du cadre national de la politique des
transports publics ;
- législation et réglementation des activités de transport,
des règles techniques et de sécurité et contrôle de
leur application ;
- organisation des services de transports publics
d’intérêt nationaux (transports collectifs réguliers non
urbains desservant au moins deux régions, réseau
ferré national) ;
-
tutelle des entreprises et établissements publics
nationaux de transport (SNCF, RATP, RFF, Société
du Grand Paris…);
État
État
-
organisation des transports urbains à l’intérieur du
périmètre des transports urbains ;
-
élaboration d’un plan local de déplacement urbain
(obligatoire si plus de 100 000 h.) ;
STIF
273 communes ou
groupements constitués en
autorités organisatrices des
transports urbains (AOTU)
-
choix du mode d’exploitation des transports urbains ;
-
choix de l’exploitant dans le cadre légal applicable
(mise en concurrence en province pour les réseaux de
transport urbains.
STIF
(quasiment pas de choix
pour
la
désignation
de
l’exploitant
avant
l’application du ROSP)
AOTU
-
fixation du taux de versement de transport dans la
limite d’un plafond fixé par la loi (variable selon la taille
de l’autorité organisatrice (AO) et les infrastructures
en service).
STIF
AOTU
-
organisation et choix de l’exploitant des transports
départementaux
non
urbains
de
personnes,
notamment scolaires ;
-
élaboration d’un schéma départemental des
transports.
STIF
Départements
-
organisation, financement et tarification des transports
ferroviaires et routiers d’intérêt régional,
conventionnement avec les exploitants ;
STIF
Région
-
élaboration du schéma régional des infrastructures de
transport ;
-
financement d’une partie des investissements
d’infrastructures de transports collectifs inscrits au contrat de
plan Etat-région (CPER).
Région
Région
10
7. Les coûts moyens des infrastructures en 2008
Coûts moyens des infrastructures en 2008
Ratios en M€/km pour
l’Île-de-France
Ratios en M€/km
pour la France
Mode
Minimum
Maximum
Fourchette
Tramway sur pneus
27
34
12 à 30
Tramway sur fer
28,5
59
12 à 30
Métro (en tunnel)
111
370
> 90
Source : STIF pour l’Île-de-France et guide AMF-AGIR d’après CETE de Lyon : guide de l’élu transport, 2009
11
8. Les investissements sur les réseaux franciliens
Les dépenses d’investissement sur les réseaux de transports collectifs franciliens ont atteint un pic au milieu des
années 1990, lorsque les projets Eole et Météor étaient en cours de réalisation (près de 2,1 Md€ en 1995, en euros
constants 2008), avant de chuter fortement au début des années 2000, puis de connaître une nouvelle phase de
croissance depuis lors.
Globalement, sur longue période, la dépense d’investissement en transport collectif par habitant de la région Île-
de-France a évolué comme suit en euro constant : 111 € par habitant en 1981, 183 € en 1995, 98 € en 2000, 117 € en
2005, 126 € en 2006 et 138 € en 2008.
Evolution des dépenses d’investissement pour les transports collectifs
en Île-de-France /1981-2008
Année
Dépenses, en M€ constants (2008)
1981
1 174
1985
1 036
1990
1 137
1995
2 079
2000
1 125
2005
1 421
2006
1 521
2007
1 500
2008
1 631
Source : comptes déplacements pour 2008 - STIF
12
9. Des ressources financières insuffisantes
L’Île-de-France représente 56 % des financements totaux consacrés aux transports urbains en France en 2008.
Cette
dépense est en hausse régulière ces dernières années, essentiellement du fait de la croissance des coûts
d’exploitation
.
En € constants 2008
2000
2005
2008
Coûts d’exploitation des réseaux franciliens
6 508
7 058
7 799
Source : volet transports collectifs du compte déplacements de l’Ile-de-France, STIF, 2010
Répartition des financements directs aux transports collectifs en Île-de-France
(investissement et fonctionnement)
2004
2008
Variation
2008/2004
Financeur
En M€
En % du
total
En M€
En % du
total
En %
Voyageurs
2 113
28,8 %
2 310
26,5 %
9,3 %
Employeurs
(1)
3 304
45,1 %
3 590
41,1 %
8,7 %
Région Île-de-France
524
7,1 %
888
10,2 %
69,5 %
Départements
594
8,1 %
943
10,8 %
58,8 %
Etat
228
3,1 %
201
2,3 %
-11,8 %
Autres
568
7,7 %
802
9,2 %
41,2 %
Total
7 331
100 %
8 734
100 %
19,2 %
(1) Versement de transport, acquitté auprès du STIF, et remboursement de 50 % de la « carte orange »,
versé directement aux salariés.
Source : GART d’après données STIF, L’année des transports urbains.
Le niveau de participation des usagers au coût de fonctionnement
des transports collectifs - Comparaison dans quelques villes françaises
En France, le taux de couvertures du coût de fonctionnement des transports urbains par les recettes tirées de la vente des
billets et forfaits est hétérogène. L’Île-de-France se situe plutôt dans une fourchette haute.
Recettes tarifaires/
dépenses d’exploitation
Lyon
27,7 %
Lille
25,6 %
Marseille
49,6 %
Toulouse
12,0 %
Bordeaux
17,9 %
Strasbourg
32,1 %
Paris
29,6 %
Source : CERTU, STIF et DGTIM.
13
Le niveau de participation des usagers au coût de fonctionnement des transports collectifs -
comparaison dans quelques grandes agglomérations de pays développés
En revanche, la part du coût de fonctionnement des transports collectifs acquittée par les usagers est moins élevée que
dans bon nombre de grandes agglomérations de pays développés, telles Londres ou Berlin.
Taux de couverture de
l’exploitation
Londres
52 %
Melbourne
50 %
Berlin
44,8 %
Madrid
41,3 %
Montréal
41,2 %
Amsterdam
40 %
New-York
40 %
Paris
40 %
Stockholm
37 %
Rome
35 à 37 %
Bruxelles
35,2 %
Source : d’après DGTPE, Gestion déléguée de services publics de transports collectifs urbains,
analyse comparative dans 15 pays, 2009.
14
10. Les prix des billets et abonnements mensuels en Europe
Le prix des billets et abonnements mensuels dans quelques
capitales européennes au 30 octobre 2009
2009 en €
Population
(en millions
d’habitants)
Billet à
l’unité
Abonnement
mensuel
Londres
8,6
7,40 (1)
109,80
Berlin
3,4
2,10
72,00
Stockholm
1,3
1,90
67,20
Paris
9,9
1,60
56,60
Vienne
2,3
1,80
49,50
Madrid
5,6
2,00
46,00
Rome
3,3
1,00
30,00
Source : L’année 2008 des transports urbains, GART, 2010
(1) Il n’existe pas de billet valable pour un seul trajet.
Ce tarif est celui du forfait pour la journée.
15
11. Evolution des tarifs des titres de transport et du coût de l’offre
Comparaison de l’évolution des tarifs des titres de transport
et du coût de l’offre – 2002 à 2010
Evolution – Base 100 au 1
er
juillet 2002
Au 1
er
juillet
2002
Au 1
er
juillet
2005
Au 1
er
février
2010
Indice des prix
100
106
112,4
Coût de l’offre de transport
collectif en Ile-de-France
100
113,5
136,9
Billet à l’unité
100
107,7
123,1
Carte Orange ou forfait Navigo
mensuels, zones 1-2
100
111,8
122,9
Carte Orange ou forfait Navigo
mensuels, zones 1-6
100
110
119,1
Carte Orange ou forfait Navigo
mensuels, zones 1-8
100
109,3
96,6
Sources : délibérations du conseil du STIF – Insee - rapport Carrez pour le coût de l’offre de transport
(fonctionnement)
Annexes
Carte réseau des transports en IdF
16
Carte des projets RFF Arc Express Grand Paris
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Tél : 01 42 98 55 77 –
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