de la SNCF - Caisse ORGANIC - Caisse d'Assurance Vieillesse des Artisans -.
La convention signée le 20 février 2003 avec la CRAM en application des articles
L 232-13 et L 232-16 du CASF, organise les transferts d’informations entre les deux
partenaires. Elle garantit la continuité des prises en charge par la caisse dans l’attente d’une
décision APA et les transmissions des dossiers des demandeurs non éligibles à l’un ou l’autre
des dispositifs.
Les accords passés permettent de régler le cas des personnes rejetées du GIR 4 mais
éligibles aux GIR 5 ou 6 et donc susceptibles de recevoir des aides des caisses de retraite. La
CRAM s'est engagée à accepter le « Girage » du Département et donc à prendre
éventuellement en charge les personnes au titre de GIR 5 et 6.». Un courrier du Département
informe la personne qu’elle peut se rapprocher de sa caisse de retraite.
La DPAPH indique par ailleurs qu’un partenariat avec le service social de la CRAM
est en cours sur le dispositif de sortie d'hospitalisation des personnes âgées du centre
hospitalier intercommunal de Toulon La Seyne mais rien n'a été formalisé à ce jour.
En conclusion le Département indique que le partenariat avec l’ensemble des acteurs
se développe au sein du CODERPA et des Centres locaux de coordination gérontologique
(CLIC), cofinancés à parité avec l’Etat et le Département et du comité de pilotage.
5) LES PROCEDURES D’ADMISSION A l’APA
5.1) Observations générales sur les délais d’instruction et les montants d’aides à
domicile
5.1.1) De longs délais de traitement
Les durées d'instruction des dossiers d'APA en 2002 et 2003 ont dépassé le délai de
deux mois fixé par la loi du 20 juillet 2001, en grande partie en raison de l'afflux massif des
dossiers sur cette période.
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Temps Moyen traitement dossiers selon le Département
(nombre de jours)
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
Pour les autres personnes, les plus nombreuses, quel qu’ait été le délai d'instruction de
la demande, le Département, n’a pas versé d’APA forfaitaire
7
comme le prévoyait la
réglementation. Il a seulement procédé, a posteriori, sur demande des intéressés et
présentation de justificatifs, à des régularisations sur la base des sommes effectivement
engagées par les personnes âgées pour leur maintien à domicile, avec effet rétroactif à la date
de réception de la demande.
5.1.3) La relative modicité des plans d’aide
Montants moyens des allocations
à domicile
par GIR
8
GIR 1
GIR 2
GIR 3
GIR 4
Moyenne
Moyenne
nationale
2002
638
585
431
273
447
500
2003
714
646
480
314
437
470
moyenne nationale selon
DREES
mars 2003
790
676
517
333
2004
707
628
465
308
423
Montants moyens mensuels des allocations
individuelles en établissement
GIR 1
GIR 2
GIR 3
GIR 4
Moyenne
Moyenne
nationale
2002
257
254
137
134
204
370
2003
279
273
147
145
311
371
moyenne nationale selon
DREES mars 2003
323
163
2004
270
262
141
137
Comme l’indique le tableau ci-dessus, les allocations versées par le Département du
Var sont nettement inférieures aux moyennes nationales.
Pour l’ordonnateur les plans d’aides seraient bien proposés par les équipes médico-
sociales au niveau du plafond mais ils seraient finalement arrêtés à un niveau inférieur en
fonction des seuls besoins exprimés par les personnes âgées.
On observe à cet égard que la plupart des plans reposent, pour l’essentiel, sur des aides
ménagères, près de la moitié ne contenant que cette prestation, l’essentiel des autres services
retenus étant constitué par le matériel incontinence et la téléalarme.
Dossiers d’APA
Nombre
%
Portage de repas
651
7%
Télé alarme
1499
17%
matériel technique
325
4%
matériel incontinence
1460
17%
hébergement temporaire
96
1%
accueil de jour
65
1%
Total dossiers
8755
7
Egale à la moitié du plan d’aide prévu pour le GIR 1
8
Moyennes calculées par rapport au montant payé pour un mois d’APA (décembre pour 2002 et 2003, mars pour
2004)
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5.1.4) Transition avec les dispositifs antérieurs
Pour les personnes antérieurement bénéficiaires d’une allocation couvrant la
dépendance, la loi du 20 juillet 2001 pose pour principe le maintien des droits acquis
notamment pour la PSD; l’allocation compensatrice pour tierce personne (ACTP), les
prestations servies par les caisses de retraite au titre des dépenses d’aide ménagère à domicile.
Les bénéficiaires de ces allocations, ont donc, lorsqu’elles sont plus favorables, la
possibilité de les conserver ou d’opter pour une APA complétée par une allocation
différentielle.
Le conseil général a prolongé les droits au titre de la PSD pour les personnes à
domicile jusqu'au 1er juillet 2002 (298 personnes en 2002 mais encore 97 en 2003) et pour les
personnes en établissement jusqu'au 31 décembre 2003 (393 personnes en 2002 et 158 en
2003). Aussi, les dépenses au titre de la PSD se maintiennent en 2002 à un niveau identique à
celui de 2001 avant de quasiment disparaître en 2003.
174 personnes en 2002 et 379 en 2003 ont perçu une allocation différentielle. La
grande majorité des bénéficiaires sont en établissement. Les situations de maintien ou de
versement d’allocations différentielles à domicile fin 2003, se révèlent en définitive peu
nombreuses. Le différentiel touche surtout des personnes classée en GIR 1 et donc plutôt en
fin de vie.
5.2) Le « girage » et la tarification en établissement
Le girage est effectué conformément au décret de 1999 à quelques adaptations près.
Le classement des personnes est fait par l’établissement. Le médecin départemental et
celui de la caisse font des contrôles de cohérence sur pièce. En fonction du taux d’erreur une
visite d’établissement peut être effectuée.
La visite n’est plus conjointe, elle est simplement validée, a posteriori, par l’instance
qui ne participe pas au contrôle.
Le contrôle du GIR moyen pondéré établissements, tel que défini par le décret 99-316
du 26 avril 1999, est entré en oeuvre en septembre 2000. Il est toujours effectué par un
médecin du Département et le praticien conseil de l'échelon local du service médical de
l'assurance maladie. Un procès-verbal de validation co-signé par les deux médecins est
transmis pour information et visa à la Commission Départementale de Coordination Médicale.
Il est à noter que la Commission n'a jamais enregistré de désaccord entre les deux médecins.
En ce qui concerne l’actualisation des GIR, en fonction de l’évolution du niveau de
dépendance des personnes suivies, l'unité de contrôle du Département est saisie, dans le cadre
de la réactualisation annuelle du budget des établissements, selon deux procédures différentes.
Si l'établissement n'a pas signé de convention tripartite, le médecin de l'unité
fonctionnelle répond à la saisine de l'unité de tarification et effectue le contrôle et validation
du GMP.
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Si une convention a été signée, la Commission Départementale de Coordination
Médicale veille au respect de l'actualisation des GIR : elle dresse la liste des établissements
concernés, les sollicite pour transmission du GIR et se réunit pour étudier les modalités de
contrôle et de validation.
5.3) L’APA à domicile
5.3.1) Le « girage »
Chaque demande d'APA fait l'objet d'une visite conjointe, au domicile de la personne
âgée, d'un enquêteur départemental et d'un médecin vacataire. Le girage est effectué par le
médecin qui dispose d'un ordinateur portable équipé du logiciel de la grille AGGIR.
L'information du niveau de GIR est donnée immédiatement à la personne âgée ou son
représentant légal.
Le plan d'aide est proposé par l'enquêteur en fonction des besoins exprimés et est
informatiquement évalué en fonction des ressources de la personne âgée. Le montant de sa
participation lui est précisé. Le service d'aide sociale notifie par courrier le plan d'aide
proposé. Il appartient à l’intéressé d’un retourner un exemplaire revêtu de son acceptation ou
de ses observations.
L'équipe médico-sociale du département se met concomitamment à disposition des
personnes âgées pour les aider à la mise en place de leur plan d'aide selon leur besoin. Le
Département gère l'intégralité de la mise en place du plan d'aide à domicile.
La procédure interne de contre-expertise prévoit, dans les cas de contestation du
niveau de dépendance, la visite d'un médecin autre que celui qui a procédé à la première
évaluation.
5.3.2) Modalités de versement de l’aide
L’allocation peut être versée directement au bénéficiaire du plan d’aide ou à la
structure qui effectue les prestations à domicile. Il existe aussi une possibilité de recourir à un
mandataire mais cette formule est nettement moins développée que les deux autres dans le
Var (cf. tableau ci annexé).
Le Département indique qu’il essaie d’inciter les bénéficiaires de l’APA à utiliser un
prestataire même si la formule de gré à gré est largement majoritaire. Néanmoins, en 2002 les
crédits inscrits au budget pour versement de l’APA au bénéficiaire sont néanmoins beaucoup
plus importants que ceux destinés aux prestataires : respectivement 11,8 et 2,9 M€. Les
réalisations sont bien en deçà des prévisions mais l’APA versée au prestataire semble avoir
connu plus de succès comme le démontrent les taux de réalisation de respectivement 43 et
63 %.
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VI) LA DEMARCHE D’EVALUATION
6.1) Un
contrôle interne volontairement peu structuré
6.1.1) L’absence de contrôle de gestion organisé
Il n’existe pas au sein du département de service contrôlant ou évaluant les procédures,
l’action et les résultats des services du conseil général. La direction en charge des personnes
âgées n’échappe pas à la règle.
Cela ne signifie pas que la DPAPH ne dispose pas d’instruments lui permettant de
mesurer son activité voire son efficacité. Ainsi en ce qui concerne les personnes âgées ont été
mis en place les outils suivants :
- bilan de la campagne budgétaire (cf. supra)
- tableau de suivi des conventions tripartites
- tableau des indicateurs d’activité par service
- tableau de bord pour les budgets des établissements jusqu'à l'exercice 2001.
De plus, le service Equipement-Programmation procède à une mise à jour constante
des lits créés et actualise le ratio d'équipement par cantons et communautés de communes.
La tenue des tableaux de bord a été abandonnée en raison de l’augmentation de la
charge de travail. En revanche depuis la mise en oeuvre de la réforme de la tarification, ont
été mis en place les indicateurs socio-économiques pour les EHPAD ayant signé la
convention tripartite.
Les informations statistiques détenues par la DPAPH, sont en partie reprises dans un
rapport annuel. Chaque direction établit en effet annuellement un plan d'actions détaillé pour
l'année à venir, en fonction des orientations prises par l'assemblée départementale. En fin
d'exercice un bilan d'activité par direction est dressé. Il s’agit des principales informations
destinées à la direction générale des services et au Conseil général.
Par ailleurs, des contrats d’objectifs lient chaque direction à la direction générale des
services. Des indicateurs financiers figurent dans ces contrats d’objectifs. 4 contrats
d'objectifs ont ainsi été passés avec les services de la DPAPH basés sur des critères
d'efficacité, de qualité des services rendus aux usagers, de satisfaction des besoins. On
observe que ces contrats ne constituent, à certains égards, qu’une liste d’opérations à réaliser
(MAMI). Certains objectifs sont néanmoins assortis d’indicateurs permettant de mesurer l’état
de mise en œuvre de la politique départementale concernée tels que les tableaux
d’avancement des procédures de créations d’établissements et de lits liés à la création de la
mission d’appui.
Il n’existe pas, toutefois, de système d’échange d’informations normalisées, basé sur
des indicateurs figurant dans des tableaux de bords et assurant une interface entre la direction
et les services du Conseil général.
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6.1.2) Une évaluation des politiques embryonnaire
Il n’a pas été procédé à ce jour, à une évaluation d’ensemble de la politique en
direction des personnes âgées dépendantes ou non. Compte tenu de la montée en charge
récente de l'APA, une évaluation de l'efficacité des plans d'aide auprès des personnes âgées
dépendantes n'a pas encore été entreprise.
Un point sur la mise en oeuvre du nouveau schéma gérontologique sera effectué à mi-
parcours, dans le cadre du suivi de la mise en oeuvre du schéma (page 97). La commission
plénière sera alors réunie.
6.2) Politique de contrôle des établissements et des bénéficiaires en établissement
Trois services de la DPAPH, intervenant dans le secteur des personnes âgées,
effectuent des contrôles : le service tarification dans le cadre du contrôle budgétaire et
comptable sur pièces, le service équipement pour l'activité et la mise en conformité des locaux
(vérification sur place de la conformité des établissements aux autorisations), le service
médico-social qui est doté d’une unité fonctionnelle de contrôle et de suivi pour la prise en
charge individuelle de la personne âgée et la mise en oeuvre du projet de soins.
Le service médico-social est doté d’un guide de contrôle plutôt axé qualité et d’un
guide de suivi budgétaire et comptable destinés à des contrôles sur place et d’une grille de
suivi des conventions tripartites. L’unité fonctionnelle comprend 3 personnes. Les contrôles
de l’UFC ont donné lieu à des mises en demeure, parfois à des fermetures et à des
signalements au comité des plaintes. Ces travaux ont confirme la nécessité de poursuivre la
proche collaboration avec les partenaires du département (DDASS, CPAM, ELSM, CRAM,
URSSAF, DDTEFP, DDCCRF, DSV), concrétisée dès 1995 par la création de la «
Commission de Surveillance des Maisons de Retraite ». La commission de surveillance a été
remplacée, à compter de 2002, par un Comite Technique de Suivi des Plaintes institué entre le
Conseil Général et la DDASS.
Pour les établissements non habilités à l'aide sociale pour l'hébergement, les
vérifications sont axées sur les prestations de dépendance et sur l’application des engagements
pris dans le cadre du dossier de création.
Le suivi des conventions tripartites est assuré par une équipe pluridisciplinaire. Le
règlement intérieur est vérifié lors du dossier de création ou d'extension ainsi que lors de la
signature de la convention tripartite. la conformité des prestations réellement fournies aux
personnes âgées dépendantes dans les établissements est également suivie, dans le cadre des
conventions tripartites, par l'instauration d'un «suivi de la mise en oeuvre de la convention
tripartite» auquel participent les unités concernées : équipement, contrôle, tarification ainsi
que les autorités de l'Etat.
Bilan des contrôles effectués
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
Totaux
Rapport de visite (orienté qualité)
45
36
44
44
40
34
20
263
Examen compte administratifs et
bilans
86
86
86
86
86
86
103
619
Contrôle gestion sur place et audits
2
9
2
1
14
Dont cabinet extérieur
2
2
Conventions tripartites
5
5
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Si globalement les contrôles sont en nombre non négligeables, les contrôles financiers
sur place sont moins développés. Le service a néanmoins diligenté sur la foi de présomptions
de dysfonctionnements, quelques audits dont 4, furent confiés à des cabinets extérieurs.
6.3) L’habilitation des familles d’accueil pour personnes âgées dépendantes
Il convient au préalable d’observer que ce mode d’hébergement est pour l’instant
marginal et une seule personne est affectée aux tâches de contrôle.
Les modalités d'agrément des familles d'accueil sont notamment soumises aux
dispositions législatives applicables en la matière, au règlement départemental d'Aide Sociale
et au cahier des charges fixe par le Schéma Gérontologique Départemental 2003-2007. Les
critères retenus sont : l'adaptation architecturale des locaux, la composition familiale, la
formation, les conditions de continuité de l'accueil, l'aptitude prévisionnelle du candidat (âge,
expérience, aptitude physique et psychologique)
Une procédure d’agrément est prévue, comportant une réunion d’information
préalable, des enquêtes complémentaires sur place, un avis au président du conseil général, et
la notification de la décision au demandeur.
Des contrôles de fonctionnement et d’aptitude à l’exercice de l’activité sont exercés
auprès des familles d'accueil agréées. Ils s’exercent aussi auprès de la personne âgée
sollicitant son admission en famille d'accueil pour vérifier l'adéquation entre l'état de
dépendance et les qualités médico-sociales de la prise en charge. Ce dispositif s’accompagne
de mesures d'information et de suivi psychologique tant auprès des accueillants que des
accueillis et leurs familles.
6.4) Contrôle de l’effectivité de l’aide à domicile
Le contrôle de l'effectivité de l'aide a été seulement entrepris en septembre 2003 par la
constitution d’une cellule de contrôle, la priorité ayant été de mettre préalablement en place
les plans d’aide.
Deux personnes sont affectées à ces tâches. Il s’agit pour l’essentiel d’un contrôle de
l’effectivité de l’aide qui demeure essentiellement un contrôle sur pièce.
6.4.1) Contrôle de l’embauche effective des salariés par le bénéficiaire
L'URSSAF du Var et le Centre National de Traitement du Chèque Emploi Service
transmettent chaque trimestre, depuis le mois d’octobre 2003, un état récapitulatif des
cotisations acquittées par les bénéficiaires de l'APA. Ces organismes saisissent aussi le
Département des situations révélatrices d'absence de déclaration des allocataires
Une première vérification est effectuée en comparant le nombre d'heures déclarées sur
les listes URSSAF avec celles définies dans le plan d'aide de chaque allocataire.
Le contrôle porte sur les 6 derniers mois de paiement de l'APA. Une lettre avec accusé
de réception est d’abord envoyée au bénéficiaire lui demandant les déclarations trimestrielles
URSSAF ou les avis de prélèvement des cotisations du Chèque Emploi Service pour la
période concernée. Le bénéficiaire dispose alors d'un mois pour adresser les justificatifs.
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Passé ce délai, la suspension de l'allocation est pratiquée. Si le bénéficiaire n'a pas répondu
dans le mois imparti et n'a pas réagi non plus à la suspension de son allocation, le dossier est
transmis aux contrôleurs des lois sociales chargés d'établir un constat de la situation en se
rendant au domicile de l’allocataire.
Dans 21 % des contrôles effectués (150 cas sur 719), le plan d’aide n’a été que
partiellement respecté. Il existe donc un trop perçu. Deux situations peuvent alors se
présenter. Si le trop perçu a un caractère ponctuel un titre de recette est alors émis a l'encontre
du bénéficiaire. Si le trop perçu a un caractère régulier, il est proposé au bénéficiaire de
réviser son plan d'aide et un titre est émis pour le trop-perçu. L’ensemble des trop perçus
ayant donné lieu à émission d’un titre de recette, s’élèvent à 240.000 € .
6.4.2) Contrôle de la réalité du service accompli lorsque les prestations sont
fournies par une tierce personne
6.4.3) Le développement attendu d'un contrôle de la qualité des prestations
Les techniques de contrôle précitées, susceptibles de pallier les fraudes manifestes et à
l’avenir de garantir une tarification en rapport avec la réalité d’exploitation, ne permettent
toutefois pas de s’assurer du contenu réel et de la qualité de la prestation fournie à la
personne. Des protocoles d’engagements réciproques, portant sur la qualité de l’encadrement,
la capacité d’écoute, la disponibilité et la coordination, ont été signés en 2003 avec les
prestataires. Une évaluation des protocoles devrait être engagée.
VII - LA POLITIQUE D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION DU
DEPARTEMENT
7.1) Un recours important au réseau des CCAS et CLIC
La politique de communication externe en direction des personnes âgées s'élabore en
partenariat avec la direction de la communication du conseil général, à partir de différents
supports :documents d'information diffusés auprès des usagers, des professionnels de l'action
sociale (plaquettes, revue Var Magazine), sites internet et extranet du Département via les
CLIC, articles de journaux parus dans la presse locale, participation régulière des médecins et
chefs de service aux colloques, séminaires, journées d'information 3
ème
âge, réunions du
CODERPA, etc...
Il apparaît toutefois que le département n’est pas structuré pour assurer lui-même une
information de masse. Il s’appuie donc sur un réseau de partenaires : mairies, CCAS, secteur
associatif, CODERPA, structures agréées qualité, établissements pour personnes âgées et
établissements hospitaliers, CLIC, réseaux de soins
Ce partenariat présente l’avantage de couvrir la majeure partie du territoire
départemental. Des lacunes ont été constatées notamment en zone rurale lorsqu'il n'y a pas de
CCAS vraiment organisé. Pour y remédier un plan d'action Haut Var est en préparation, dans
le cadre d'un plan d'aménagement économique plus général, avec le développement du
maillage territorial par les CLIC.
En ce qui concerne l'APA, le Département s’est doté d’une politique plus volontariste
de communication. Il a ainsi diffusé dès novembre 2001, un support d'information à tous les
partenaires associés à la constitution des dossiers (CCAS, établissement, tuteur). Par ailleurs,
plusieurs réunions d'information avec l'ensemble des associations de maintien à domicile et
des réunions avec les établissements d'hébergement pour personnes âgées ont été organisées.
Si on peut regretter une absence d’étude scientifique de l’impact de la communication
départementale, le grand nombre de demandes d’APA semble indiquer clairement que la
collectivité a su faire passer son message.
7.2) Une écoute à développer
Le Département est doté d'une cellule d'écoute téléphonique, à vocation sociale. Cette
cellule n’est pas spécialement orientée vers les personnes âgées.
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Un travail de partenariat a cependant été entrepris avec l'association ALMA (Allo
Maltraitance personnes âgées) afin qu’elle puisse s’implanter dans le département et mettre en
place un numéro vert.
Conclusion
La mise en œuvre de l’APA s’est traduite par quelques tâtonnements peut-être
inévitables mais au final, l’analyse de l’action du Département du Var en direction des
personnes âgées révèle d’incontestables points forts. La collectivité s’est ainsi dotée, dès
1997, d’un schéma gérontologique et plus récemment d’une mission d’appui à la création de
maisons de retraites publiques. Ces instruments, même s’ils demeurent perfectibles,
notamment en ce qui concerne la problématique du maintien à domicile, lui permettent d’agir
de manière rationnelle. Le Département a par ailleurs développé, pour accompagner l’APA,
un contrôle de l’effectivité de l’aide, lorsque l’allocation est servie à la personne.
Il demeure cependant que la collectivité ne peut entièrement planifier l’évolution des
tarifs hébergement et dépendance et assurer une unicité tarifaire de même qu’elle subit plus
qu’elle n’anticipe, la croissance de ses dépenses de fonctionnement en direction des personnes
âgées. Par ailleurs, le Département doit encore progresser en matière de contrôle de la qualité
du service rendu et dans l’évaluation d’ensemble de l’efficacité de sa politique en direction
des personnes âgées.
Le conseiller-rapporteur
Le Président de section-doyen,
Président de séance,
Patrick CAIANI
Christian BESOMBES
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ANNEXES
Nombre de demandes APA :
Année 2002
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
Septe
mbre
Octo
bre
Nove
mbre
Déce
mbre
TOTAL
APA en
établissement
45
84
253
814
236
301
412
463
968
424
238
282
4520
APA à domicile
108
293
415
283
439
559
602
770
417
765
811
832
6294
Année 2003
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
Septe
mbre
Octo
bre
Nove
mbre
Déce
mbre
TOTAL
APA en
établissement
269
328
421
246
180
198
149
158
326
275
180
83
2813
APA à domicile
1155
958
912
1159
882
1299
1040
268
730
723
352
596
10074
I – Liste des documents de planifications adoptés
Documents couvrant la période 1997/2003
Année de
réalisation
Période
couverte
Date de
révision
-Schéma gérontologique
1997
1997/2002
14/1/03
-Nouveau schéma gérontologique
2002
2003/2007
Sans objet
- Règlement départemental d’aide sociale
Dernière
révision
2000
En cours
-Schéma départemental des établissements et services sociaux (loi n° 75-535
du 30 juin 1975 modifiée notamment l’article 2-2 et loi n° 83-663 du 22
juillet 1983 modifiée notamment l’article 42)
Décliné en :
-
Schéma gérontologique
-
plan d’action en faveur des personnes handicapées
-
schéma départemental de l’enfance
Cf supra
DCG : juin 1999
Arrêté 26/1/01
2000/2006
2001/2006
-Plan d'équipement médico-social pour l'hébergement des personnes âgées
Cartographie jointe
au
schéma
gérontologique
-Etude prospective objectifs/moyens
Voir
orientations
du
schéma
gérontologique
1/16
(2004-0565)
2/16
(2004-0565)
II Données Démographiques
VAR
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
Population totale
882 587
891 598
897 585
907 525
919 306
932 460
932 460
5,7%
60 ans et plus
225 771
228 746
231 223
234 188
238 041
241 737
241 737
7,1%
6à à 75 ans
150 803
150 819
150 582
151 134
151 951
152 775
152 775
1,3%
75 et plus
74 968
77 927
80 641
83 054
86 090
88 962
88 962
18 ,7
%
Dont H
27 839
29 153
30 309
31 349
32 533
33 766
33 766
Dont F
47 129
48 774
50 332
51 705
53 557
55 196
55 196
% de 75 ans et plus sur
population totale
8,5%
8,7%
9,0%
9,2%
9,4%
9,5%
9,5%
France
métropolitaine
1 997
1998
1 999
2000
2 001
2002
2 003
60 et plus
11 827 924
11 929 445
12 022 935
12 120 747
12 184 998
12 225 812
12 225 812
3,4%
75 et plus
3 856 448
3 993 106
4 121 296
4 242 475
4 371 508
4 499 097
4 499 097
16,7%
% 60 et plus
20,4%
20,5%
20,6%
20,6%
20,6%
20,6%
20,6%
%
75 et plus
6,6%
6,8%
7,0%
7,2%
7,4%
7,6%
7,6%
(Données et prévisions de l’INSEE au 1
er
janvier de chaque année)
10
1998
1999
2000
2001
2002
2003
Bénéficiaires de l'aide
sociale
Nombre total
35 356
36 409
39 742
6 799
7 782
11 240
19 664
-44,4%
dont Personnes de plus de 60 ans
nc
nc
5 793
4 753
5 008
7 174
15 537
168,2%
dont Personnes de 60 à 75
1 259
960
1 013
1 186
2 261
79,6%
dont personnes de plus de 75 ans
4 534
3 793
3 995
5 988
13 276
192,8%
Personnes âgées
bénéficiaires selon type
d'hébergement
Aide à domicile
1 181
1 547
2 013
1 799
2 063
3 727
9 143
674,2%
Maison de retraite
1 630
1 658
1 692
1 613
1 494
1 398
1 331
-18,3%
Foyer logement
362
348
372
254
265
221
192
-47,0%
Tiers rémunérés (placements
familiaux)
7
13
10
9
7
3
5
-28,6%
Autre
Total
3 180
3 566
4 087
3 675
3 829
5 349
10 671
235,6%
10
Attention : le nombre de personnes bénéficiaires est celui recensé au 31 décembre de chaque exercice. En 2003 le nombre de personnes hébergées au 31 décembre est
ainsi plus faible qu’en 2002 bien que sur l’année le nombre de journée d’hébergement ait été plus élevé
3/16
1998
1999
2000
2001
2002
2003
Personnes âgées bénéficiaires
selon type d'aide (nombre)
Hébergement
1 999
2 019
2 074
1 767
1 766
1 709
1 523
-23,8%
PSD
7
949
1 479
1 511
2 112
719
583
ACTP + 60 ans
3 229
2 189
1 061
610
334
354
312
-90,3%
APA
0
0
0
0
0
5 032
14 357
Autre aide sociale
0
0
0
0
0
0
Total
5 235
5 157
4 614
3 888
4 212
7 814
16 775
220,4%
2 002
2 003
Nombre de bénéficiaires selon
GIR
GIR 1
Etablissement
436
978
GIR 2
951
2 536
GIR 3
472
1 193
GIR 4
478
1 203
Sous total
2 337
5 910
GIR 1
Domicile
227
876
GIR 2
733
1 803
GIR 3
651
1 899
GIR 4
1 013
3 869
Sous total
2 624
8 447
Total
4 961
14 357
(GIR 1 à 4)
Bénéficiaires APA à domicile
(2003)
Tranche d'age
Femmes
Hommes
De 60 à 74 ans
972
414
De 75 à 84 ans
2 657
887
de 85 à 99 ans
2 786
651
100 ans et +
84
16
6 499
1 968
Bénéficiaires APA
établissements (nombre)
Tranche d'age
Femmes
Hommes
De 60 à 74 ans
284
234
De 75 à 84 ans
1 324
447
de 85 à 99 ans
3 026
495
100 ans et +
94
6
4 728
1 182
4/16
II DONNEES FINANCIERES GENERALES
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Dépenses
Investissement
217 078 687
219 085 563
232 364 230
230 319 213
271 523 987
273 401 989
314 220 883
Dépenses
fonctionnement
327 923 602
344 605 580
358 166 036
350 867 978
370 197 620
404 596 203
475 723 212
45,1%
Total dépenses
545 002 289
563 691 143
590 530 266
581 187 191
641 721 607
677 998 192
789 944 095
44,9%
Dépenses de
fonctionnement hors
aide sociale
158 783 068
170 712 289
179 792 293
193 237 416
218 580 752
233 590 656
263 512 509
66,0%
Recettes fiscales
fonctionnement
189 947 593
197 551 062
202 162 252
203 909 053
211 739 139
226 127 302
239 294 954
26,0%
Aide sociale par
imputation
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
954 Aide sociale
légale
38 279 706
42 302 157
45 364 732
50 774 448
51 698 699
57 982 204
57 578 058
50,4%
955 Aide sociale
légale (suite)
1 213 710
1 333 009
1 580 560
1 275 892
467 353
335 196
314 295
-74,1%
956 Aide sociale
légale suite
111 942 673
109 781 929
109 553 890
80 450 675
73 280 469
77 264 747
80 134 168
-28,4%
957 Aide sociale
facultative et
régularisations
8 040 566
9 361 982
9 508 606
11 760 277
13 043 026
8 591 238
9 906 127
23,2%
959 Participation du
département à la
mise en œuvre du
RMI
9 661 882
11 112 216
12 363 956
13 367 270
13 125 320
14 734 580
16 838 757
74,3%
981 APA
12 095 580
47 437 295
Total aide sociale
169 140 534
173 893 291
178 373 743
157 630 562
151 616 868
171 005 547
212 210 703
25,5%
5/16
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Répartition des
dépenses
fonctionnement
d'aide sociale par
destination
Personnes âgées
29 576 243
33 649 869
40 460 512
38 156 991
36 072 613
46 918 305
82 250 087
178,1%
Handicapés (adultes et
PAACTP)
51 335 722
45 664 356
42 365 998
39 647 846
36 936 540
42 144 192
45 101 754
-12,1%
Enfance
36 993 840
40 299 861
43 148 035
47 973 094
49 255 151
55 773 210
55 423 379
49,8%
Insertion
9 229 933
10 523 982
10 557 860
11 951 418
11 234 493
12 593 707
14 082 792
52,6%
Aide médicale
31 030 706
30 467 704
26 727 380
2 645 838
271 315
297 829
219 622
-99,3%
Personnel
19 111 336
22 154 994
24 083 974
26 170 585
29 658 425
37 598 569
39 316 960
105,7%
Autres
10 582 918
12 740 663
13 322 997
16 060 172
16 327 078
11 445 481
12 703 810
20,0%
Total
187 860 698
195 501 429
200 666 756
182 605 944
179 755 615
206 771 293
249 098 404
32,6%
DONNNEES
FINANCIERES
(suite 1)
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Dépenses totales
de fonctionnement
d'aide sociale en
faveur des
personnes âgées
Hébergement en
établissement
26 294 925
28 183 688
31 687 541
28 645 688
26 104 052
25 440 306
30 802 928
17,1%
Maintien à domicile dont
aide ménagère
3 035 177
2 656 016
2 774 487
2 530 367
1 980 378
2 007 006
1 371 107
-54,8%
Adaptation du logement
0
0
0
0
0
0
0
PSD
3 104
2 180 965
5 646 502
6 526 495
7 555 719
6 498 158
1 497 014
APA
12 095 580
47 437 295
Sous total
29 333 206
33 020 669
40 108 530
37 702 550
35 640 149
46 041 050
81 108 344
176,5%
ACTP hors handicapés
15 495 027
12 012 549
7 135 176
4 631 991
2 995 137
2 454 943
2 438 508
-84,3%
Total selon le
Département (hors frais
administratifs et de
personnel)
44 828 233
45 033 218
47 243 706
42 334 541
38 635 286
48 495 993
83 546 852
86,4%
6/16
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Dont dépenses
fonctionnement
spécifiques
personnes âgées
dépendantes
Hébergement en
établissement
NC
NC
NC
NC
NC
14 717 456
22 881 483
Adaptation du logement
NC
NC
NC
NC
NC
0
0
PSD
3 104
2 180 965
5 646 502
6 526 495
7 555 719
6 498 158
1 497 014
APA (1)
NC
NC
NC
NC
NC
12 095 580
47 437 295
ACTP hors handicapés
15 495 027
12 012 549
7 135 716
4 631 991
2 995 137
2 454 943
2 438 508
Dépenses
administratives (dont
personnel)
NC
NC
NC
NC
NC
NC
NC
Autres
NC
NC
NC
NC
NC
NC
NC
Total PAD
15 498 131
14 193 514
12 782 218
11 158 486
10 550 856
35 766 137
74 254 300
Total hors
hébergement
15 498 131
14 193 514
12 782 218
11 158 486
10 550 856
21 048 681
51 372 817
7/16
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Dont subventions
services de
téléalarme
Associations
0
0
0
0
0
0
0
Communes
0
0
0
0
0
0
0
Autres
0
0
0
0
0
0
0
Dont subventions
services portages
de repas (les
dépenses de
portages sont
destinées à la
personnes. Il ne
s'agit donc pas de
subventions
Associations
0
0
0
0
0
0
0
Communes
0
0
0
0
0
0
0
Autres
0
0
0
0
0
0
0
Dont subventions
services
d'animation
Associations
0
0
0
55 537
139 134
237 634
346 090
Communes
0
0
0
0
0
0
0
Autres
0
0
0
0
0
0
0
Dont subventions
à des association
oeuvrant dans la
coordination
gérontologique
50 308
57 778
140 252
136 998
Dont financement
familles d'accueil
94 241
116 023
142 704
151 513
120 202
78 405
61 986
Dont financement
accueils de jour
NC
NC
NC
NC
NC
13 383
82 433
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Salaires et
traitements
Versés pour l'ensemble
du secteur personnes
âgées
NC
931 271
1 625 711
1 641 514
1 808 252
1 985 296
2 845 050
Versés pour le seul
secteur personnes
âgées dépendantes
NC
NC
NC
NC
NC
NC
NC
Versés au titre de la
gestion de l'APA
NC
NC
NC
NC
NC
NC
NC
8/16
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Dépenses
investissement
aide sociale
Chap 911
216 172
114 337
32 840
155 409
Chap 912
1 945 548
1 258 026
1 912 992
684 116
470 446
1 380 215
754 970
Chap 914
1 170 237
798 111
267 914
338 065
1 268 494
350 360
2 136 437
Total aide sociale
3 115 785
2 056 137
2 180 906
1 238 353
1 853 277
1 763 415
3 046 816
Dépenses totales
investissement
aide sociale pour
les personnes
âgées
Chap 911
216 172
114 337
32 840
155 409
Chap 912
1 801 354
1 107 311
1 859 227
615 900
421 106
1 317 510
636 189
Chap 914
1 096 433
596 076
68 602
157 425
472 892
50 709
409 832
Total
2 897 787
1 703 387
1 927 829
989 497
1 008 335
1 401 059
1 201 430
Dont travaux
dans les
maisons de
retraite
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Maisons de
retraite
2 662 310
1 022 890
1 679 995
666 657
636 234
938 714
1 040 961
Foyer logement
23 266
40 505
26 845
100 103
155 426
236 760
133 796
9/16
RECETTES
1 997
1 998
1 999
2 000
2 001
2 002
2 003
Recettes d'aide sociale
par secteurs d'aide
sociale (hors contingents
des communes)
Personnes âgées
15 312 799
15 708 125
16 139 998
15 293 588
15 343 097
27 598 019
35 640 548
132,8%
Adultes handicapés
5 659 327
5 391 881
5 507 064
5 176 263
4 828 210
5 251 969
5 139 742
-9,2%
Enfance
635 837
655 932
426 648
570 524
472 003
542 829
566 537
-10,9%
Insertion
autres
14 000 390
2 148 991
422 538
438 874
43 360
76 576
28 261
-99,8%
Total recettes d'aide sociale
35 608 353
23 904 929
22 496 248
21 479 249
20 686 669
33 469 393
41 375 088
16,2%
Recettes du secteur
personnes âgées par
nature
Recours sur successions
2 463 928
2 297 550
2 330 622
1 629 074
1 612 787
1 777 050
1 760 996
-28,5%
Obligation alimentaire
539 819
641 230
543 660
884 765
654 496
680 360
789 265
Participations des personnes
âgées
12 848 871
13 393 545
13 740 599
13 510 076
13 814 334
12 713 700
13 505 863
5,1%
Financement Etat
12 321 951
19 150 078
Financement sécurité sociale
Reversements de trop perçus
17 029
68 475
154 436
115 975
104 958
434 345
Total recettes PA
15 852 618
16 349 354
16 683 356
16 178 351
16 197 592
27 598 019
35 640 547
124,8%
Recettes du secteur
personnes âgées
dépendantes
par nature
Recours sur successions
NC
NC
NC
NC
NC
175 992
221 935
Obligation alimentaire
NC
NC
NC
NC
NC
473 523
658 633
Participations des personnes
âgées
NC
NC
NC
NC
NC
6 992 535
10 129 742
FAPA (article L. 3334-6 du
CGCT et L.232-11 alinéa II du
CASF)
12 321 951
19 150 078
Financement Etat
Financement sécurité sociale
Reversements de trop perçus
NC
NC
NC
NC
NC
104 958
434 345
Total recettes PAD
0
0
0
0
0
20 068 959
30 594 733
10/16
Dépenses totales
mandatées au titre
de l'APA et de la
tarification
ternaire
2 002
2 003
Domicile
6 872 669
32 297 351
Versements au titre de la
tarification ternaire en
établissement
5 222 910
15 139 944
12 095 579
47 437 295
Nombre d'établissements
concernés
317
611
Dont hors du Var
189
473
Dont signataires d'une
convention
22
41
Dont convention en
cours de signature
0
0
Précisions sur les
modalités de
versement au titre
de l'APA à domicile
Montants
versés
en
2002
Montants
versés en 2003
A la personne bénéficiaire
d’un plan d’aide
6 872 669
32 297 351
- qui passe un contrat de gré
à gré avec un intervenant
2 929 943
9 848 349
-qui
utilise
les
services
d’une structure mandataire
1 342 553
4 357 375
Au prestataire
1 823 315
14 968 355
11/16
III DONNEES STATISTIQUES
EFFECTIFS DE LA DPAPH secteur
personnes âgées
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2001/1997
2003/2001
Total
recrute
ments
Service
Equipement/Tarification/Coordination
Gérontologique/ contrôle médico-social
14,60
14,60
16,40
16,40
16,40
19,40
19,40
1,80
3,00
4,80
Service social spécialisé
1,00
9,00
9,00
11,00
12,80
16,80
24,80
11,80
12,00
23,80
Aide sociale Adulte
16,70
23,70
26,70
27,70
28,70
45,70
50,70
12,00
22,00
34,00
TOTAL ETP
32,30
47,30
52,10
55,10
57,90
81,90
94,90
25,60
37,00
62,60
+ Médecins vacataires ETP
1,43
2,67
1,67
2,21
2,61
4,11
7,66
1,18
5,05
6,23
TOTAL GENERAL ETP
33,73
49,97
53,77
57,31
60,51
86,01
102,56
26,78
42,05
68,83
RECRUTEMENTS 1998-2003 pour la PSD puis pour l’APA
1998
1999
2000
2001
2002
2003
Total
Service
Equipement/Tarification/Coordination
Gérontologique/ contrôle médico-social
1,80
3,00
4,80
Service social spécialisé / Equipe
PAD/Equipe PSD puis APA
8,00
2,00
1,80
4,00
8,00
23,80
Aide sociale Adulte /
7,00
3,00
1,00
1,00
17,00
5,00
34,00
Médecins vacataires (*)
1,24
-1,00
0,54
0,40
1,50
3,55
6,23
TOTAL ETP
16,24
2,00
3,54
3,20
25,50
16,55
67,03
*
Nombre
de
médecins
vacataires
PSD/APA sous contrat de 120 h/mois
maximum
8
8
8
8
14
18
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
Temps Moyen traitement
dossier (nombre de jours)
12/16
Nombre de dossiers traités
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
Placement en maison
de retraite
566
661
771
1049
1294
2085
2104
Foyers logements
105
128
141
198
218
249
245
Aide à l'amélioration
175
1381
3418
aide ménagère
434
523
523
652
774
702
608
ACTP
859
728
602
872
843
949
1070
PSD
16
370
471
1485
2004
1619
405
APA
10208
13396
1980
2410
2508
4256
5308
17193
21246
13/16
TRAITEMENT DES
DOSSIERS APA
Année 2002
Domicile
Etablissement
Total
Année 2003
Domicile
Etablissement
Total
Nombre de dossiers
reçus
10438
5723
16161
Nombre de
dossiers reçus
9126
3127
12253
Stock de dossiers au 31-
12
6880
2939
9819
Stock de dossiers
au 31-12
684
0
684
Dossiers traités dans le
délai de 2 mois
1622
411
2033
Dossiers traités
dans le délai de 2
mois
5174
3144
8318
Au-delà de 2 mois
4583
3592
8175
Au-delà de 2 mois
8948
4448
13396
Nombre de plans d'aide
en phase d'examen
6294
4520
10814
Nombre de plans
d'aide en phase
d'examen
10074
2813
12887
Nombre de dossiers
passés en commission
d’attribution
3738
3002
6740
Nombre de
dossiers passés en
commission
d’attribution
6666
4021
10687
Nombre de rejets
1140
701
1841
Nombre de rejets
4579
2849
7428
Nombre de recours
16
18
34
Nombre de
recours
23
15
38
Nombre d’évaluations du
niveau de dépendance
effectuées et à réaliser
6294
4520
10814
Nombre
d’évaluations du
niveau de
dépendance
effectuées et à
réaliser
10074
2813
12887
Nombre de plans d'aide
validés et à monter
6067
4054
10121
Nombre de plans
d'aide validés et à
monter
9821
3521
13342
Evolution mensuelle des
demandes
Année 2002
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
Septembre
Octobre
Novembre
Décembre
APA en établissement
45
84
253
814
236
301
412
463
968
424
238
282
APA à domicile
108
293
415
283
439
559
602
770
417
765
811
832
Année 2003
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
Septembre
Octobre
Novembre
Décembre
APA en établissement
269
328
421
246
180
198
149
158
326
275
180
83
APA à domicile
1155
958
912
1159
882
1299
1040
268
730
723
352
596
14/16
(2004-0565)
IV TARIFS ETABLISSEMENTS
2003
Prix de
journée
hébergement
Ecart par
rapport
moyenn e
Tarif
GIR
1 et 2
Ecart par
rapport
moyenne
Tarif
GIR 3
et 4
Ecart par
rapport
moyenne
Tarif
GIR 5
et 6
Ecart par
rapport
moyenne
CHI Fréjus St Raphaël
40,43
1,08
14,15
0,93
8,98
0,92
3,81
0,90
USL Public
USL CHG Draguignan
35,80
0,95
14,01
0,92
9,18
0,94
4,72
1,11
CHG Brignoles
36,80
0,98
11,50
0,76
7,29
0,75
3,10
0,73
CHI Toulon La Seyne
35,62
0,95
17,29
1,14
11,17
1,15
4,74
1,12
SLD Le Luc
41,38
1,10
14,44
0,95
9,10
0,94
3,94
0,93
CHG St Tropez
33,57
0,89
14,95
0,99
9,48
0,98
4,02
0,95
CHG Hyères
37,85
1,01
17,54
1,16
11,28
1,16
4,66
1,10
PJ moyen pondéré
37,58
15,15
9,72
4,25
USL Privé (gestion
associative)
Lachenaud Fréjus
54,24
1,06
14,67
0,98
9,31
0,98
3,94
0,98
Beauséjour Hyères
43,10
0,84
15,93
1,06
10,11
1,06
4,27
1,06
PJ moyen pondéré
51,06
15,03
9,54
4,03
MR publiques
autonomes
MR Cotignac
38,28
1,02
13,77
1,06
8,55
1,03
3,79
1,07
MR Solliès-Pont
38,51
1,03
13,67
1,05
8,68
1,05
3,68
1,04
MR Beausset
39,68
1,06
13,04
1,01
8,27
1,00
3,77
1,06
MR Rians
34,36
0,92
12,02
0,93
7,67
0,93
3,21
0,91
MR Seillans
40,39
1,08
13,14
1,01
8,34
1,01
3,54
1,00
MR Le Luc
39,49
1,06
12,37
0,95
7,85
0,95
3,32
0,94
MR Cogolin
39,54
1,06
12,23
0,94
7,76
0,94
3,29
0,93
MR Carcès
37,19
1,00
12,05
0,93
7,75
0,94
3,53
1,00
MR Lorgues
41,81
1,12
13,12
1,01
8,34
1,01
3,58
1,01
MR Bargemon
39,82
1,07
14,29
1,10
9,07
1,10
3,85
1,09
MR Aups
40,42
1,08
14,20
1,10
9,01
1,09
3,82
1,08
MR Salernes
41,00
1,10
15,54
1,20
10,20
1,23
4,50
1,27
MR Pignans
40,10
1,07
14,20
1,10
9,01
1,09
3,82
1,08
MR Grimaud
39,47
1,06
16,61
1,28
10,54
1,28
4,47
1,26
MR St Jacques CUERS
36,61
0,98
15,47
1,19
9,82
1,19
4,16
1,17
PJ moyen pondéré
37,35
12,96
8,26
3,55
Prix de
journée
hébergement
Ecart par
rapport
moyenne
Tarif
GIR
1 et 2
Ecart par
rapport
moyenne
Tarif
GIR 3
et 4
Ecart par
rapport
moyenne
Tarif
GIR 5
et 6
Ecart par
rapport
moyenne
MR Gérées par CHP
MR Toulon La Seyne
35,50
0,98
14,44
0,96
9,16
0,95
3,90
0,95
MR Fréjus Puget
37,78
1,04
11,54
0,76
7,32
0,76
3,11
0,75
MR Hyères
36,54
1,01
16,38
1,08
10,47
1,09
4,62
1,12
MR CHG Draguignan
35,80
0,99
17,49
1,16
11,10
1,16
4,71
1,14
MR Fréjus La Chenaie
35,52
0,98
15,71
1,04
9,97
1,04
4,23
1,03
0
Total lits / PJ moyen
36,23
15,11
9,60
4,11
PJ moyen pondéré
36,32
15,10
9,60
4,12
15/16
Prix de
journée
hébergeme
nt
Ecart par
rapport
moyenne
Tarif
GIR
1 et 2
Ecart
par
rapport
moyenn
e
Tarif
GIR 3
et 4
Ecart
par
rapport
moyenn
e
Tarif
GIR 5
et 6
Ecart
par
rapport
moyenn
e
Maisons gérées par un
CCAS et foyers logements
Bormes
39,48
1,09
9,35
0,95
5,93
0,95
2,52
0,95
Toulon
44,14
1,22
10,65
1,08
6,76
1,08
2,87
1,08
La Croix Valmer
43,80
1,21
10,49
1,06
6,66
1,07
2,82
1,06
St Julien
19,20
0,53
8,84
0,89
5,48
0,88
2,33
0,88
PJ moyen pondéré
36,27
9,89
6,24
2,65
MR privées
Entraide salesienne
44,07
0,96
9,95
0,77
6,31
0,76
2,68
0,77
St Maur Toulon
41,81
0,91
10,89
0,84
6,91
0,84
2,93
0,84
Bastide Baou Sanary
47,82
1,04
9,60
0,74
6,09
0,74
2,58
0,74
St Jean Brignolles
49,14
1,07
9,56
0,74
6,06
0,73
2,57
0,74
Espérance Toulon
40,44
0,88
14,93
1,15
9,48
1,15
4,02
1,15
Bonnetières Toulon
47,81
1,04
10,28
0,79
6,52
0,79
2,76
0,79
Beauséjour Hyères
51,43
1,12
14,83
1,14
9,41
1,14
3,99
1,14
Lou Jas Ollioules
38,47
0,84
11,75
0,91
7,46
0,90
3,16
0,90
Ste Catherine Laboure
Toulon
43,30
0,95
13,62
1,05
8,64
1,05
3,67
1,05
Maison du Lac Besse
43,42
0,95
14,56
1,12
8,76
1,06
3,57
1,02
Les platanes St Tropez
43,52
0,95
15,56
1,20
9,87
1,19
4,19
1,20
Cosor Toulon
42,76
0,93
14,55
1,12
9,24
1,12
3,92
1,12
L'hermitage St Raph
36,56
0,80
13,11
1,01
8,17
0,99
3,49
1,00
Marquisannes Toulon
46,59
1,02
10,79
0,83
6,85
0,83
2,91
0,83
La Pradon Callian
43,94
0,96
14,56
1,12
7,75
0,94
4,01
1,15
Le Home Arménien St
Raph
43,91
0,96
10,21
0,79
6,48
0,78
2,75
0,79
ND Anges Lorgues
46,73
1,02
13,68
1,05
8,68
1,05
3,68
1,05
Pré de la Roques
Fignagnières
48,48
1,06
15,12
1,17
9,60
1,16
4,07
1,17
Bellisa la Londe
48,10
1,05
12,45
0,96
7,90
0,96
3,35
0,96
Templiers Monfort
45,66
1,00
9,84
0,76
6,22
0,75
2,63
0,75
Aigue marine Bandol
42,60
0,93
13,12
1,01
8,32
1,01
3,53
1,01
Fontaines Barjols
42,60
0,93
14,14
1,09
8,98
1,09
3,85
1,10
Bois joli Cavalaire
43,70
0,95
11,46
0,88
7,27
0,88
3,08
0,88
Tonus Draguignan
11,78
0,91
7,48
0,90
3,17
0,91
Plénitude Garéoult
14,12
1,09
8,96
1,08
3,80
1,09
Rosaire Sanary
45,87
1,00
11,50
0,89
7,30
0,88
3,10
0,89
Palmiers La Seyne
12,91
1,00
8,20
0,99
3,47
0,99
Charmettes Six fours
13,36
1,03
8,47
1,02
3,56
1,02
Gensière Solliès Toucas
13,88
1,07
8,92
1,08
3,79
1,09
Alizés St Cyr
11,56
0,89
7,33
0,89
3,11
0,89
Pins bleus St mandrier
43,61
0,95
12,93
1,00
8,21
0,99
3,48
1,00
Marie-Madeleine St
Maximin
42,13
0,92
12,75
0,98
8,08
0,98
3,44
0,99
Jardin valescure ST
raphaël
49,39
1,08
12,98
1,00
8,24
1,00
3,49
1,00
Mayol Toulon
12,20
0,94
7,74
0,94
3,28
0,94
St Honorat La Seyne
13,23
1,02
8,69
1,05
3,57
1,02
Roseraie Toulon
13,09
1,01
7,71
0,93
3,52
1,01
Amandiers Toulons
10,83
0,84
6,87
0,83
2,92
0,84
Jeanne Marguerite
Toulon
14,28
1,10
9,06
1,10
3,85
1,10
Marjolaine Tourves
42,81
0,94
12,69
0,98
8,04
0,97
3,42
0,98
Canto Mai Ollioules
12,54
0,97
11,39
1,38
3,48
1,00
0
Total lits / PJ moyen
44,59
12,63
8,04
3,40
PJ moyen pondéré
45,77
12,97
8,27
3,49
FOYERS
LOGEMENTS en
tarification
ternaire
Prix de
journée
hébergeme
nt
Ecart par
rapport
moyenne
Tarif
GIR
1 et 2
Ecart
par
rapport
moyenn
e
Tarif
GIR 3
et 4
Ecart
par
rapport
moyenn
e
Tarif
GIR 5
et 6
Ecart
par
rapport
moyenn
e
Acampadou Fréjus
35,13
1,01
8,54
1,03
5,41
1,02
2,30
1,03
Jas de Callian
Roquebrune
32,72
0,94
8,53
1,03
5,41
1,02
2,30
1,03
Recampado Roquebrune
41,91
1,20
13,19
1,59
8,37
1,58
3,55
1,59
Le Nai Salernes
33,51
0,96
7,42
0,89
4,95
0,94
1,78
0,80
Maisons du Soleil Seillon
45,35
1,30
10,36
1,25
6,58
1,25
2,79
1,25
Louis Faraut Six Fours
32,36
0,93
4,37
0,53
2,78
0,53
1,18
0,53
Ressence Toulon
26,07
0,75
6,89
0,83
4,37
0,83
1,89
0,85
Tamaris La Valette
35,13
1,01
8,54
1,03
5,41
1,02
2,30
1,03
PJ moyen pondéré
34,90
8,30
5,28
2,23
FOYERS
LOGEMENTS en
tarification binaire
Prix de
journée
hébergeme
nt
Ecart par
rapport
moyenne
Les Accacias Bandol
28,22
0,91
Wetzel Carqueiranne
31,66
1,02
La Roque Fayence
31,87
1,03
Respelido Fréjus
23,35
0,76
Ste Madeleine La
Cadière
31,11
1,01
Roger Mistral La Farlède
43,85
1,42
Curie La Garde
28,31
0,92
Croizat La Seyne
29,38
0,95
Rai de Souleou La Pradet
35,62
1,15
Les Tilleuls Ste Maxime
22,75
0,74
Jean Bartolini La seyne
29,02
0,94
ND Les Arcs
29,11
0,94
Lorgues
31,50
1,02
Fondation Lelièvre
Six
Fours
23,20
0,75
F Mistral Six Four
30,80
1,00
La falquette St Cyr
28,26
0,91
Marquisanne Toulon
41,19
1,33
L'espérière St Maximin
32,90
1,06
Les Acacias St Raphaël
32,71
1,06
Porphyre Toulon
40,81
1,32
Port marchand Toulon
37,54
1,21
PJ moyen pondéré
30,91
16/16
(2004-0575)
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