MASSU François Paul Albert
Né le 16 janvier 1852 à Paris (2ème ancien), décédé le 23 juillet 1924 à Paris (16ème).
Fils de Jean-Baptiste Eugène Massu (Paris, paroisse Saint-Leu, 31/5/1819-4/8/1893 Lucerne, Suisse), avocat à la Cour, chef de bataillon de la Garde Nationale, ancien commissaire de la République près le conseil de guerre du 4ème secteur de Paris en 1871, chevalier de la Légion d’honneur en 1871, et de Marie Amélie Labie (Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, 26/1/1829-14/8/1875 Saint-Prix, Val-d’Oise), mariés le 16 avril 1849 à Neuilly-sur-Seine.
Petit-fils d’Hugues Jean-Baptiste Massu (? -3/10/1825 Paris 4ème ancien), négociant à Paris, et de Françoise Julie Fragerolle (Paris 1761-3/7/1845 Paris 10ème ancien), mariés le 11 juillet 1818 à Paris, paroisse Saint-Germain-des-Prés (10ème ancien). Petit-fils de Jean Labie (Brantôme, Dordogne, 2/12/1790-30/6/1851 Paris), notaire royal à Neuilly-sur-Seine (étude CXIV), maire de Neuilly-sur-Seine de 1832 à 1843, capitaine du bataillon de la Garde nationale de Neuilly, chevalier de la Légion d’honneur en 1836, et de Françoise Ernestine Santerre (Paris 28/5/1804-19/1/1870 Paris 9ème), mariés le 14 mai 1823 à Paris, paroisse Saint-Laurent.
Arrière-petit-fils de Louis Fragerolle (Paris ? –ap. 1811 Paris ?), marchand limonadier, et de Marie Josèphe Paquet (? –ap. 1811 Paris ?), fille d’un chef de bureau au Trésor public, mariés avant 1789 à Paris. Arrière-petit-fils de Pierre Labie (Cahors 1739 ? -ap. 1797 ?), procureur d’office de la juridiction de Brantôme, organiste à l’abbaye bénédictine de Brantôme, et de Marguerite Valette (Saint-Yrieix-la-Perche, Haute-Vienne ? -ap. 1797 ?), mariés le 20 janvier 1789 à Périgueux, paroisse Saint-Front. Arrière-petit-fils de Pierre Auguste Santerre (1776 ? -5/1/1843 Paris 9ème ancien), rentier, agent de change sous le Directoire, et d’Alexandrine Jeanne Désirée Courtin (1786 ? -15/12/1864 ?), mariés le 4 thermidor an XI, 23 juillet 1803 à Paris, paroisse Saint-Eustache.
Neveu de Jules Victor Massu (1821- ?), chasseur d’Afrique, puis négociant. Petit-neveu de Gabriel Auguste Massu (Grenoble, Isère, 11/11/1783-28/8/1818 Paris 4ème ancien), négociant, marié le 25 septembre 1812 à Paris (10ème ancien) à Marie Elisabeth Louise Fragerolle (Paris 20/6/1791- ?). Petit-neveu de Louise Victoire Fragerolle, mariée le 9 août 1821 à Paris, paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, à Louis Huet, notaire à Paris.
Sans alliance.
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Licencié en droit à Paris le 2 décembre 1874.
Reçu sixième au concours de 1877, auditeur de 2ème classe le 26 décembre 1878, de 1ère classe le 25 mars 1885. Membre adjoint de la commission chargé d’établir la liste de candidatures à des débits de tabac de 1ère classe pour 1885 et 1886. Conseiller référendaire de 2ème classe en 1892, démissionne le 11 septembre 1898. Carrière ultérieure non connue.
Membre de la Société de géographie.
Extrait de son éloge par l’avocat général Chantereau : « (…) La Cour ne voit pas s’éloigner sans peine ce magistrat distingué, jeune encore, et dont elle attendait beaucoup, connaissant la valeur de ses travaux et la sagacité de ses observations. (…) »
Domiciles : 59, rue de la Victoire (9ème), 24, rue Clément Marot (8ème).
Publication : Des biens dans leurs rapports… thèse pour la licence en droit, Pichon, Paris 1875.