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MALOUET Henri Dominique, baron

Né le 20 mai 1847 à Paris (10ème ancien), décédé le 22 mars 1925 à Paris (7ème).

Fils de Louis Victor Pierre, baron Malouet (Laon, Aisne, 17/4/1812-11/5/1878 Paris 7ème), conseiller référendaire (voir notice), et de Suzanne Henriette Cousin (Paris 20/5/1820-3/11/1887 Paris 7ème), mariés le 29 août 1844 à Paris (10ème ancien).

Petit-fils de Louis Antoine Victor Malouet (Paris 20/3/1780-13/10/1842 Paris), conseiller maître (voir notice), et de Christine de Chabanon-Maugris (Paris 6/6/1776-8/11/1818 Rouen, Seine-Maritime), mariés le 7 mars 1810 à Paris. Petit-fils d’Antoine Adrien Cousin (Paris 20/6/1785-9/5/1852 Paris 10ème ancien), notaire à Paris (étude XXVII) de 1812 à 1842, et de Suzanne Letissier (Paris an III, 1795-19/2/1860 Paris 7ème), mariés le 22 septembre 1812 à Paris.
Arrière-petit-fils de Pierre Victor Malouet (Riom, Puy-de-Dôme, 2/1740-7/9/1814 Paris), conseiller du roi, commissaire général des colonies, secrétaire du cabinet de Mme Adélaïde de France, ordonnateur de l’île de Cayenne et province de Guyane, intendant de marine à Toulon, député du baillage de Riom aux Etats Généraux et à l’Assemblée constituante, émigré en Angleterre de 1792 à 1801, commissaire général de la marine à Anvers en 1803, baron de l'Empire, conseiller d’Etat, ministre de la marine en 1814, commandeur de la Légion d’honneur en 1811, et de Marie Louise Behotte (Saint-Domingue  ?-1783), mariés le 25 avril 1768, veuve d’Olivier Samson. Arrière-petit-fils de Jean Claude Cousin, marchand brasseur, et de Marie Adrienne Jandon (1759 ? -26/10/1847 Paris 8ème ancien), mariés le 5 janvier 1782 à Paris, paroisse Sainte-Marguerite. Arrière-petit-fils de Pierre Letissier (? -8/10/1831 Paris) et de Marie Geneviève Colin (? -29/2/1824 Paris), mariés le 30 nivôse an VII, 19 janvier 1799, à Paris, ayant reconnu leur fille naturelle. Arrière-petit-fils de Charles François Chabanon de Maugris (Saint-Domingue 1736-1780), officier des vaisseaux du Roi, musicien, traducteur d’Horace, et de Jeanne Louise Aimée Béhotte (Saint-Domingue, 29/3/1745-29/10/1825 Verberie, Oise), mariés avant 1776.
Epouse le 8 janvier 1884 à Paris (7ème) Berthe Marie Augustine Guilhiermoz (Saint-Germain-en-Laye, Yvelines, 26/6/1859-18/3/1936 Paris 7ème), fille d’Emilien Jules Hyacinthe Guilhiermoz (Voiron, Isère, 1/5/1822-4/8/1882 Bois-le-Roi, Seine-et-Marne), agent de change, membre du cercle des chemins de fer, chevalier de la Légion d’honneur en 1872, et de Marie Thérèse Azevedo (Paris 17/11/1836-ap. 1884), mariés le 9 juin 1856 à Paris.
Petite-fille d’Augustin Jean Baptiste Guilhiermoz (Voiron 26/5/1781-30/3/1839 Paris), négociant, et de Marie Anne Julie Rey de Foresta (Marseille, Bouches-du-Rhône, 12/7/1786-28/5/1863 Paris 9ème), mariés le 22 septembre 1819 à Marseille. Petite-fille d’Augustin Azevedo (Paris 6 fructidor an XI, 24/8/1803-12/8/1875 Saint-Germain-en-Laye), propriétaire, et de Virginie Thérèse Archdeacon (Paris 26/4/1815-17/1/1888 Paris 9ème), mariés le 4 février 1834 à Paris (3ème ancien).  
Arrière-petite-fille de Claude Guilhiermoz (Voiron 15/2/1729-27 prairial an VI, 15/6/1798 Voiron), juge de paix, maire de Voiron de 1790 à 1792, et de Marie Rose Apprin (? -ap. 1819 ?), mariés avant 1782. Arrière-petite-fille de Jean Baptiste Rey de Foresta (Marseille 1/11/1748-1822 Marseille), officier d’artillerie, et de Marie Anne Emilie Bourlat de la Force (Marseille 1758-31/3/1838 Paris 9ème ancien), mariés le 16 février 1778 à Marseille, paroisse Saint-Martin. Arrière-petite-fille de Raphaël Azevedo (Bordeaux 1747 ? -10/10/1806 Joué-les-Tours, Indre-et-Loire), divorcé le 29/11/1799 à Paris (2ème ancien) de Mérigant Dalpuget, et de Marie Eugénie Augier (Paris ? –ap. 1806 Paris ?), mariés le 4 juillet 1801 à Paris, remariée (?) en 1813 à Paris à Louis Henri Toussaint Grandjean. Arrière-petite-fille de Maurice Hippolyte Archdeacon (Dunkerque, Nord, 2/10/1782-13/11/1867 Nogent-sur-Seine, Aube), courtier de commerce, et de Virginie Thérèse Devinck (Paris 20 nivôse an III, 9/1/1795-1/8/1880 Paris), mariés le 11 septembre 1813 à Paris (1er ancien).
Frère de Pierre Henri, baron Malouet (Paris 5/7/1845-4/12/1909 Paris), conseiller d’ambassade, chevalier de la Légion d’honneur en 1882, de Louis Adrien Emmanuel Malouet, avocat, et de Geneviève Christine Antoinette, mariée le 29 novembre 1876 à Marie Gaston Casimir Edouard Mounier (Grenoble 15/7/1841-25/9/1912 Seyssinet, Isère), général de division d’artillerie, commandeur de la Légion d’honneur en 1904, fils d’Hector Adolphe Mounier, magistrat, et de Marie Augustine Clémentine Mayol de Lupé.

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Elève du collège Stanislas, licencié en droit à Paris.

Conseiller référendaire de 2ème classe le 19 juillet 1873, à la retraite de son père, conseiller référendaire de 1ère classe le 6 juillet 1894. Honoraire à sa demande en juillet 1904.

Extrait de son éloge par le Procureur général Liotard-Vogt : « (…) Fils et petit-fils de magistrats des comptes, M. Henri Malouet a su se montrer digne d’un passé aussi honorable. Il n’a donc pas à craindre d’être oublié à la Cour. (…). »

Domicile : 104, rue de l’Université (7ème).

Chevalier de la Légion d’honneur le 5 janvier 1904.

Membre de la société antiesclavagiste de France. Membre de la Société hippique, du Cercle agricole, du Cercle d’escrime et du Cercle de l’Union artistique.